tag:blogger.com,1999:blog-61328367460905026092024-03-06T12:02:16.538-08:00La fermeture résidentielle en questionAmicale Sallanches Domancy Comblouxhttp://www.blogger.com/profile/08018039222851710148noreply@blogger.comBlogger28125tag:blogger.com,1999:blog-6132836746090502609.post-62206650842399571332013-09-07T00:24:00.000-07:002013-09-07T00:24:08.544-07:00Prochainement...<div dir="ltr" style="text-align: left;" trbidi="on">
<span style="-webkit-composition-fill-color: rgba(175, 192, 227, 0.230469); -webkit-composition-frame-color: rgba(77, 128, 180, 0.230469); -webkit-tap-highlight-color: rgba(26, 26, 26, 0.296875); font-family: '.Helvetica NeueUI'; font-size: 17px; text-align: -webkit-auto;">Prochainement une série d'articles sur la thématique: "Entre pression foncière et volonté de préservation paysagère : les communes de la CCPF" </span></div>
Amicale Sallanches Domancy Comblouxhttp://www.blogger.com/profile/08018039222851710148noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-6132836746090502609.post-90301674591044828302013-09-06T09:03:00.000-07:002013-09-06T09:03:01.436-07:00Dernier article en date: « Les villes à l’épreuve de la fermeture résidentielle : Des territoires fragmentés face à l'enjeu de la durabilité » <div dir="ltr" style="text-align: left;" trbidi="on">
<div style="background: #8DB3E2; border: solid windowtext 1.0pt; mso-background-themecolor: text2; mso-background-themetint: 102; mso-border-alt: solid windowtext .5pt; mso-element: para-border-div; padding: 1.0pt 4.0pt 1.0pt 4.0pt;">
<div align="center" class="MsoNormal" style="background-position: initial initial; background-repeat: initial initial; border: none; padding: 0cm; text-align: center;">
<b><span style="font-size: 16.0pt; line-height: 115%;">« Les villes à l’épreuve de la
fermeture résidentielle : Des territoires fragmentés face à l'enjeu de la
durabilité »</span> -
Cassandre DEWINTRE -<o:p></o:p></b></div>
</div>
<div class="MsoListParagraph" style="margin-bottom: 0.0001pt; text-align: justify; text-indent: -18pt;">
<!--[if !supportLists]--><b><i><span style="font-family: "Times New Roman","serif"; font-size: 12.0pt; mso-fareast-font-family: "Times New Roman";">1</span></i></b></div>
<div class="MsoListParagraph" style="margin-bottom: 0.0001pt; text-align: justify; text-indent: -18pt;">
<b><i><span style="font-family: Times New Roman, serif;"> </span><span style="font-family: 'Times New Roman'; font-size: 7pt; font-style: normal; font-weight: normal;"> </span></i></b><!--[endif]--><b><i><span style="font-family: "Times New Roman","serif"; font-size: 12.0pt;">Introduction<o:p></o:p></span></i></b></div>
<div class="MsoNormal" style="margin-bottom: 0.0001pt; text-align: justify;">
<br /></div>
<div class="MsoNormal" style="margin-bottom: 0.0001pt; text-align: justify;">
<span style="font-family: "Times New Roman","serif"; font-size: 12.0pt;">-
La multiplication des ensembles résidentiels fermés et sécurisés, en lien avec
les dynamiques de métropolisation dans un contexte de renforcement de la
mondialisation, a été largement analysée comme une manifestation de
fragmentation urbaine, voire, dans les cas les plus extrêmes, de sécession.
Elle est révélatrice, dans les espaces qui ont été les premiers marqués par
cette dynamique, d’une tendance forte des classes supérieures, voire des
classes moyennes, à se démarquer du reste de la société ainsi que « des
principes communs de gestion de l’agglomération » pour former une enclave
sécurisée, fondée sur une recherche de d’«entre-soi » et d’affinités de style
de vie (gated communities)<a href="file:///C:/Users/job/Desktop/th%C3%A8se/Articleterritoires%20CassandreDewintre.docx#_ftn1" name="_ftnref1" title=""><span class="MsoFootnoteReference"><!--[if !supportFootnotes]--><span class="MsoFootnoteReference"><span style="font-size: 12pt; line-height: 115%;">[1]</span></span><!--[endif]--></span></a>. Ce
phénomène a été analysé comme un risque d’éclatement spatial s’accompagnant
d’une perte de cohésion sociale et urbaine, comme une menace pour la ville
prédite à « devenir, à terme, une somme de territoires à forte connotation
identitaire, désengagés de toute référence globale »<a href="file:///C:/Users/job/Desktop/th%C3%A8se/Articleterritoires%20CassandreDewintre.docx#_ftn2" name="_ftnref2" title=""><span class="MsoFootnoteReference"><!--[if !supportFootnotes]--><span class="MsoFootnoteReference"><span style="font-size: 12pt; line-height: 115%;">[2]</span></span><!--[endif]--></span></a>, dans
des contextes où la pauvreté et les écarts sociaux vont en s’accroissant.<o:p></o:p></span></div>
<div class="MsoNormal" style="margin-bottom: 0.0001pt; text-align: justify;">
<br /></div>
<div class="MsoNormal" style="margin-bottom: 0.0001pt; text-align: justify;">
<span style="font-family: "Times New Roman","serif"; font-size: 12.0pt;">-
Que ce soit la volonté d’entre soi, d’autonomie, de sécurité ou tout simplement
de bien-être, les trajectoires des
populations sont diverses et variées et impliquent l’étude systématique de
chaque territoire touché par le phénomène. Enjeu social et culturel en premier
lieu à travers le risque de désaffiliation sociale, et, du point de vue des
pratiques et des représentations, d’une perte d’urbanité entendue comme «mode
d’être à la ville, comme système de représentation et comme construction
collective qui rend possible la convivialité entre différents groupes, entre
différentes populations usant d’espaces communs»<a href="file:///C:/Users/job/Desktop/th%C3%A8se/Articleterritoires%20CassandreDewintre.docx#_ftn3" name="_ftnref3" title=""><span class="MsoFootnoteReference"><!--[if !supportFootnotes]--><span class="MsoFootnoteReference"><span style="font-size: 12pt; line-height: 115%;">[3]</span></span><!--[endif]--></span></a> et
donc publics. Enjeu urbain et politique en second lieu. En effet, la réduction
des espaces publics au profit des espaces privés, les entraves à la circulation
des individus ainsi que la gestion de ces espaces fermés interrogent la gestion
publique de la ville. A l’échelle métropolitaine, la question se pose aussi de
la «disparition d'un système de fonctionnement, de régulation et de
représentation»<a href="file:///C:/Users/job/Desktop/th%C3%A8se/Articleterritoires%20CassandreDewintre.docx#_ftn4" name="_ftnref4" title=""><span class="MsoFootnoteReference"><!--[if !supportFootnotes]--><span class="MsoFootnoteReference"><span style="font-size: 12pt; line-height: 115%;">[4]</span></span><!--[endif]--></span></a>
face au risque de sécession urbaine.<o:p></o:p></span></div>
<div class="MsoNormal" style="margin-bottom: 0.0001pt; text-align: justify;">
<span style="font-family: "Times New Roman","serif"; font-size: 12.0pt;"> <o:p></o:p></span></div>
<div class="MsoNormal" style="margin-bottom: 0.0001pt; text-align: justify;">
<span style="font-family: "Times New Roman","serif"; font-size: 12.0pt;">-
La multiplication des fermetures résidentielles et leur expansion dans des
villes du « Nord » comme du « Sud », grandes ou moyennes, font de cette
question un enjeu crucial de société. Il existe en effet une forte demande
sociale au sein des collectivités locales pour une meilleure connaissance de
ces territoires fermés, généralement mal connus et abordés à travers la
littérature sur les villes américaines ou latino-américaines. Dans quelle
mesure cette dynamique fait-elle peser un risque de fragmentation sociale aux
villes ? Prend-elle son sens dans une recherche de sécurisation de l’espace et
de distanciation sociale ou s’inscrit-elle dans des mobilités résidentielles,
des pratiques et des représentations plus ordinaires ? Dans quelle mesure cette
forme urbaine participe-t-elle à l’étalement urbain et en quoi pose-t-elle un
problème pour la gestion et la gouvernance urbaines ?<o:p></o:p></span></div>
<div class="MsoListParagraph" style="margin-bottom: 0.0001pt; text-indent: -18pt;">
<!--[if !supportLists]--><b><i><span style="font-family: "Times New Roman","serif"; font-size: 12.0pt; mso-fareast-font-family: "Times New Roman";">2-<span style="font-family: 'Times New Roman'; font-size: 7pt; font-style: normal; font-weight: normal;">
</span></span></i></b><!--[endif]--><b><i><span style="font-family: "Times New Roman","serif"; font-size: 12.0pt;">La mondialisation du phénomène<o:p></o:p></span></i></b></div>
<div class="MsoNormal" style="margin-bottom: 0.0001pt;">
<br /></div>
<div class="MsoNormal" style="margin-bottom: 0.0001pt; text-align: justify;">
<span style="font-family: "Times New Roman","serif"; font-size: 12.0pt;">-
Le réseau de recherche pluridisciplinaire et international sur les gated
communities crée par G.Glasze a permis d’appréhender l’étendue du phénomène via
quatre grandes manifestations scientifiques en 1999 à Hambourg, en 2002 à
Mayence, en 2003 à Glasgow et enfin en 2005 à Pretoria. Celles-ci ont servi à
fixer des foyers de forte croissance des enclaves résidentielles : Les
Etats- Unis, et l’Amérique latine (Glatsze, Webster et Frantz)<a href="file:///C:/Users/job/Desktop/th%C3%A8se/Articleterritoires%20CassandreDewintre.docx#_ftn5" name="_ftnref5" title=""><span class="MsoFootnoteReference"><!--[if !supportFootnotes]--><span class="MsoFootnoteReference"><span style="font-size: 12pt; line-height: 115%;">[5]</span></span><!--[endif]--></span></a>.
Ainsi, les Etats-Unis représentent un des territoires les plus étudié notamment
au travers des espaces de la Sunbelt. Une dizaine de chercheurs,
essentiellement européens, ont étudié le sudest (Caroline du sud, Floride,
Géorgie, Texas) [J.Chevalier, S.Low]<a href="file:///C:/Users/job/Desktop/th%C3%A8se/Articleterritoires%20CassandreDewintre.docx#_ftn6" name="_ftnref6" title=""><span class="MsoFootnoteReference"><!--[if !supportFootnotes]--><span class="MsoFootnoteReference"><span style="font-size: 12pt; line-height: 115%;">[6]</span></span><!--[endif]--></span></a> et le
sud-est (Arizona, Californie) [K.Frantz, T.Frazier, R.Legoix, S.Degoutin]<a href="file:///C:/Users/job/Desktop/th%C3%A8se/Articleterritoires%20CassandreDewintre.docx#_ftn7" name="_ftnref7" title=""><span class="MsoFootnoteReference"><!--[if !supportFootnotes]--><span class="MsoFootnoteReference"><span style="font-size: 12pt; line-height: 115%;">[7]</span></span><!--[endif]--></span></a>,
permettant une très bonne connaissance des modèles d’enclosure aux Etats-Unis. C’est
en effet le territoire de genèse de recherche sur cette thématique avec
notamment les travaux de J .Blakely et G.Snyder<a href="file:///C:/Users/job/Desktop/th%C3%A8se/Articleterritoires%20CassandreDewintre.docx#_ftn8" name="_ftnref8" title=""><span class="MsoFootnoteReference"><!--[if !supportFootnotes]--><span class="MsoFootnoteReference"><span style="font-size: 12pt; line-height: 115%;">[8]</span></span><!--[endif]--></span></a> en
1997, chercheurs qui ont débuté le recensement des enclaves résidentielles et
ont ainsi permis de constater le poids de ce processus (20000 gated communities
abritant 8 millions d’habitants à la fin des années 90). Leurs travaux et plus
tard ceux de nombreux autres chercheurs ont mis à jour les rouages du
processus ; En premier lieu le développement d’une gouvernance privée
souhaitée par les communautés de résidents. Les gated communities aux Etats-Unis
seraient donc la conséquence des ambitions sécessionnistes ou plus généralement
d’entre soi des populations américaines. Concernant ensuite la diffusion spatiale de ces espaces résidentiels,
on peut trouver les foyers d’origine dans les régions propices aux « migrations
de retraite ou de loisir balnéaires de la Sunbelt »<a href="file:///C:/Users/job/Desktop/th%C3%A8se/Articleterritoires%20CassandreDewintre.docx#_ftn9" name="_ftnref9" title=""><span class="MsoFootnoteReference"><!--[if !supportFootnotes]--><span class="MsoFootnoteReference"><span style="font-size: 12pt; line-height: 115%;">[9]</span></span><!--[endif]--></span></a>. Nous
retrouvons donc ce processus dans des états comme la Californie, la Floride ou
le Texas, où l’ambition des populations et même la nécessité résident dans la
présence d’un environnement tranquille, sûr et propice au bien-être. Néanmoins,
et c’est tout l’intérêt du cas américain, ces enclaves se sont diffusées à tout
le pays en se positionnant dans les aires métropolitaines que ce soit en zone périurbaine,
mais également, comme l’a exposé Chevalier dans les centres urbains par
l’intermédiaire des différentes politiques de rénovation urbaine des centres
dégradés. En ce sens, et malgré la présence de foyers très propices au
développement de ce modèle d’habitat, la localisation des gated communities
reste très ubiquiste et semble marquer au fur et à mesure de son développement,
une diversification de ces formes et populations. En effet, en parallèle au
principe d’urbanisme affinitaire développé notamment par Ghorra Gobin<a href="file:///C:/Users/job/Desktop/th%C3%A8se/Articleterritoires%20CassandreDewintre.docx#_ftn10" name="_ftnref10" title=""><span class="MsoFootnoteReference"><!--[if !supportFootnotes]--><span class="MsoFootnoteReference"><span style="font-size: 12pt; line-height: 115%;">[10]</span></span><!--[endif]--></span></a>, des
chercheurs comme Renaud Le Goix<a href="file:///C:/Users/job/Desktop/th%C3%A8se/Articleterritoires%20CassandreDewintre.docx#_ftn11" name="_ftnref11" title=""><span class="MsoFootnoteReference"><!--[if !supportFootnotes]--><span class="MsoFootnoteReference"><span style="font-size: 12pt; line-height: 115%;">[11]</span></span><!--[endif]--></span></a> ont
invoqué une diversification sociale des populations résidentes avec de plus en
plus de gated communities ouvertes aux bas revenus. Ce modèle résidentiel n’est
donc plus cristallisé dans une image de cage dorée comme il l’avait été dans
les différents articles de la communauté journalistique.<o:p></o:p></span></div>
<div class="MsoNormal" style="margin-bottom: 0.0001pt; text-align: justify;">
<br /></div>
<div class="MsoNormal" style="margin-bottom: 0.0001pt; text-align: justify;">
<span style="font-family: "Times New Roman","serif"; font-size: 12.0pt;">-
L’Amérique latine ensuite se présente comme le deuxième grand foyer de localisation
des enclaves résidentielles fermées. Développé sur les bases d’une très forte
inégalité sociale mais aussi de très forts taux de violence et de criminalité,
ce modèle résidentiel connaît un remarquable essor en Colombie, en Argentine et
surtout au Brésil (M-F.Prevot-Schapira 1999)<a href="file:///C:/Users/job/Desktop/th%C3%A8se/Articleterritoires%20CassandreDewintre.docx#_ftn12" name="_ftnref12" title=""><span class="MsoFootnoteReference"><!--[if !supportFootnotes]--><span class="MsoFootnoteReference"><span style="font-size: 12pt; line-height: 115%;">[12]</span></span><!--[endif]--></span></a>. Caractérisés
par une fragmentation urbaine inscrite dans les modes d’habiter des populations,
ces pays observent une limitation très nette entre espace privatif et espace
public. De nombreux chercheurs tels que le pionnier en la matière T.Caldeira<a href="file:///C:/Users/job/Desktop/th%C3%A8se/Articleterritoires%20CassandreDewintre.docx#_ftn13" name="_ftnref13" title=""><span class="MsoFootnoteReference"><!--[if !supportFootnotes]--><span class="MsoFootnoteReference"><span style="font-size: 12pt; line-height: 115%;">[13]</span></span><!--[endif]--></span></a> ou
encore Menna Barretosilva, Becker, Reis ou De Souza e Silva ont montré
l’importance de la recherche d’entre soi social des populations brésiliennes
génératrices du modèle de fermeture résidentielle. Mais outre la prééminence de
ce phénomène au Brésil, nous avons pu constater sa diffusion en Argentine
(G.Thuillier)<a href="file:///C:/Users/job/Desktop/th%C3%A8se/Articleterritoires%20CassandreDewintre.docx#_ftn14" name="_ftnref14" title=""><span class="MsoFootnoteReference"><!--[if !supportFootnotes]--><span class="MsoFootnoteReference"><span style="font-size: 12pt; line-height: 115%;">[14]</span></span><!--[endif]--></span></a>,
au Mexique (Kanitscheider, Giglia, Guerrien, Scheinbaum)<a href="file:///C:/Users/job/Desktop/th%C3%A8se/Articleterritoires%20CassandreDewintre.docx#_ftn15" name="_ftnref15" title=""><span class="MsoFootnoteReference"><!--[if !supportFootnotes]--><span class="MsoFootnoteReference"><span style="font-size: 12pt; line-height: 115%;">[15]</span></span><!--[endif]--></span></a>, au
Pérou (Plöger)<a href="file:///C:/Users/job/Desktop/th%C3%A8se/Articleterritoires%20CassandreDewintre.docx#_ftn16" name="_ftnref16" title=""><span class="MsoFootnoteReference"><!--[if !supportFootnotes]--><span class="MsoFootnoteReference"><span style="font-size: 12pt; line-height: 115%;">[16]</span></span><!--[endif]--></span></a>
ou encore en Colombie (F.Dureau)<a href="file:///C:/Users/job/Desktop/th%C3%A8se/Articleterritoires%20CassandreDewintre.docx#_ftn17" name="_ftnref17" title=""><span class="MsoFootnoteReference"><!--[if !supportFootnotes]--><span class="MsoFootnoteReference"><span style="font-size: 12pt; line-height: 115%;">[17]</span></span><!--[endif]--></span></a>, où
le produit immobilier sécurisé situé majoritairement dans les grandes agglomérations
se destine de plus en plus aux classes moyennes qui souvent perçoivent ces
ensembles sécurisés comme favorisant le processus d’ascension sociale. Porteurs
de différentes dénominations : les condominios fechados au Brésil, les barrios cerrados
en Equateur, les con juntos cerrados en Colombie ou les country clubes en Argentine,
ces modèles résidentiels se banalisent et semblent même se systématiser,
témoignant d’un « cloisonnement croissant entre les différentes parties de la
ville »<a href="file:///C:/Users/job/Desktop/th%C3%A8se/Articleterritoires%20CassandreDewintre.docx#_ftn18" name="_ftnref18" title=""><span class="MsoFootnoteReference"><!--[if !supportFootnotes]--><span class="MsoFootnoteReference"><span style="font-size: 12pt; line-height: 115%;">[18]</span></span><!--[endif]--></span></a>.<o:p></o:p></span></div>
<div class="MsoNormal" style="margin-bottom: 0.0001pt;">
<br /></div>
<div class="MsoNormal" style="margin-bottom: 0.0001pt; text-align: justify;">
<span style="font-family: "Times New Roman","serif"; font-size: 12.0pt;">-
Outre ces deux pôles de développement et de recherche, des travaux commencent à
apparaître concernant les continents européen, africain et asiatique.
Néanmoins, le phénomène semble ici limité car peu abordé par la recherche et
surtout moins visible en proportion par rapport au processus se déroulant dans
les territoires décrits plus haut. L’Afrique tout d’abord, connaît une
croissance importante du phénomène surtout dans des zones de cohabitation entre
différentes ethnies. Les écarts sociaux, le racisme latent et les faits de
violence sont les facteurs favorisant la diffusion d’enclaves résidentielles
fermées sur ce continent. L’exemple le plus frappant en la matière est le
succès remporté par la fermeture résidentielle en Afrique du Sud. Pérouse De
Mont Clos<a href="file:///C:/Users/job/Desktop/th%C3%A8se/Articleterritoires%20CassandreDewintre.docx#_ftn19" name="_ftnref19" title=""><span class="MsoFootnoteReference"><!--[if !supportFootnotes]--><span class="MsoFootnoteReference"><span style="font-size: 12pt; line-height: 115%;">[19]</span></span><!--[endif]--></span></a>
parle de modèle de l’architecture du bunker, tant ces espaces résidentiels sont
fortifiés et pourvus en matériaux sécuritaires. Benit<a href="file:///C:/Users/job/Desktop/th%C3%A8se/Articleterritoires%20CassandreDewintre.docx#_ftn20" name="_ftnref20" title=""><span class="MsoFootnoteReference"><!--[if !supportFootnotes]--><span class="MsoFootnoteReference"><span style="font-size: 12pt; line-height: 115%;">[20]</span></span><!--[endif]--></span></a>, Jurgens
ou encore Landman ont mis en évidence cette volonté d’entre soi des classes
aisées en Afrique du Sud, influencée par un marché immobilier de la fermeture
très puissant dans le pays. D’autres pays, toutes proportions gardées, sont touchés
par la fermeture comme le Nigéria (Oluseyi)<a href="file:///C:/Users/job/Desktop/th%C3%A8se/Articleterritoires%20CassandreDewintre.docx#_ftn21" name="_ftnref21" title=""><span class="MsoFootnoteReference"><!--[if !supportFootnotes]--><span class="MsoFootnoteReference"><span style="font-size: 12pt; line-height: 115%;">[21]</span></span><!--[endif]--></span></a>, le
Ghana (Grant)<a href="file:///C:/Users/job/Desktop/th%C3%A8se/Articleterritoires%20CassandreDewintre.docx#_ftn22" name="_ftnref22" title=""><span class="MsoFootnoteReference"><!--[if !supportFootnotes]--><span class="MsoFootnoteReference"><span style="font-size: 12pt; line-height: 115%;">[22]</span></span><!--[endif]--></span></a>
ou l’Egypte (G.Meyer)<a href="file:///C:/Users/job/Desktop/th%C3%A8se/Articleterritoires%20CassandreDewintre.docx#_ftn23" name="_ftnref23" title=""><span class="MsoFootnoteReference"><!--[if !supportFootnotes]--><span class="MsoFootnoteReference"><span style="font-size: 12pt; line-height: 115%;">[23]</span></span><!--[endif]--></span></a>.
Nous retrouvons ces modèles résidentiels toujours localisés dans des grandes
aires urbaines et dans des zones cosmopolites. Les états se montrant souvent
impuissants face au développement de ces enclaves, accusent celles-ci de
reproduire un schéma de ségrégation raciale et sociale et de faire replonger le
pays au temps du colonialisme. Les intellectuels d’Afrique du Sud crient souvent
au scandale en prévenant du risque de retour à l’apartheid et aux montées des
violences conséquentes aux déséquilibres sociaux et à la fragmentation urbaine.<o:p></o:p></span></div>
<div class="MsoNormal" style="margin-bottom: 0.0001pt; text-align: justify;">
<br /></div>
<div class="MsoNormal" style="margin-bottom: 0.0001pt; text-align: justify;">
<span style="font-family: "Times New Roman","serif"; font-size: 12.0pt;">-
L’Asie ensuite, tout comme l’Europe, présente un développement beaucoup plus
lent de ce phénomène. Au niveau du continent asiatique, c’est le monde arabe
qui admet en plus forte proportion l’implantation de la fermeture. Au Liban
notamment, ce sont les différents conflits armés qui ont servi de terreaux
fertiles à l’élaboration de ces forteresses résidentielles. C’est donc ici
l’insécurité qui a primé dans le développement de la fermeture jusque dans les
années 1990<a href="file:///C:/Users/job/Desktop/th%C3%A8se/Articleterritoires%20CassandreDewintre.docx#_ftn24" name="_ftnref24" title=""><span class="MsoFootnoteReference"><!--[if !supportFootnotes]--><span class="MsoFootnoteReference"><span style="font-size: 12pt; line-height: 115%;">[24]</span></span><!--[endif]--></span></a>.
Depuis, tout comme l’Asie du Sud et l’Asie Orientale, le développement de la
fermeture résidentielle s’est appuyé sur l’influence notamment du modèle
étatsunien et du succès rencontré par celui-ci auprès des populations. On peut
donc parler dans ce cas d’un intérêt financier certain de la part des promoteurs
immobilier comme facteur de diffusion. Ainsi, la fermeture touche, depuis une
vingtaine d’années l’Inde (Dupont)<a href="file:///C:/Users/job/Desktop/th%C3%A8se/Articleterritoires%20CassandreDewintre.docx#_ftn25" name="_ftnref25" title=""><span class="MsoFootnoteReference"><!--[if !supportFootnotes]--><span class="MsoFootnoteReference"><span style="font-size: 12pt; line-height: 115%;">[25]</span></span><!--[endif]--></span></a>, l’Indonésie
(Leisch)<a href="file:///C:/Users/job/Desktop/th%C3%A8se/Articleterritoires%20CassandreDewintre.docx#_ftn26" name="_ftnref26" title=""><span class="MsoFootnoteReference"><!--[if !supportFootnotes]--><span class="MsoFootnoteReference"><span style="font-size: 12pt; line-height: 115%;">[26]</span></span><!--[endif]--></span></a>,
la Chine (Giroir.G)<a href="file:///C:/Users/job/Desktop/th%C3%A8se/Articleterritoires%20CassandreDewintre.docx#_ftn27" name="_ftnref27" title=""><span class="MsoFootnoteReference"><!--[if !supportFootnotes]--><span class="MsoFootnoteReference"><span style="font-size: 12pt; line-height: 115%;">[27]</span></span><!--[endif]--></span></a> ou
encore l’Australie (Billard, Madoré)<a href="file:///C:/Users/job/Desktop/th%C3%A8se/Articleterritoires%20CassandreDewintre.docx#_ftn28" name="_ftnref28" title=""><span class="MsoFootnoteReference"><!--[if !supportFootnotes]--><span class="MsoFootnoteReference"><span style="font-size: 12pt; line-height: 115%;">[28]</span></span><!--[endif]--></span></a> de
manière encore très limitée dans les zones urbaines à forte concentration en
population.<o:p></o:p></span></div>
<div class="MsoNormal" style="margin-bottom: 0.0001pt; text-align: justify;">
<br /></div>
<div class="MsoNormal" style="margin-bottom: 0.0001pt; text-align: justify;">
<span style="font-family: "Times New Roman","serif"; font-size: 12.0pt;">-
L’Europe enfin, qui concerne plus directement notre étude, n’a connu que plus tardivement
la fermeture résidentielle. Néanmoins, celle-ci semble se développer assez
rapidement selon Jaillet<a href="file:///C:/Users/job/Desktop/th%C3%A8se/Articleterritoires%20CassandreDewintre.docx#_ftn29" name="_ftnref29" title=""><span class="MsoFootnoteReference"><!--[if !supportFootnotes]--><span class="MsoFootnoteReference"><span style="font-size: 12pt; line-height: 115%;">[29]</span></span><!--[endif]--></span></a>. Les
principaux foyers sont d’une part la péninsule Ibérique (R.Wehrhahn)<a href="file:///C:/Users/job/Desktop/th%C3%A8se/Articleterritoires%20CassandreDewintre.docx#_ftn30" name="_ftnref30" title=""><span class="MsoFootnoteReference"><!--[if !supportFootnotes]--><span class="MsoFootnoteReference"><span style="font-size: 12pt; line-height: 115%;">[30]</span></span><!--[endif]--></span></a> et
notamment la capitale de l’Espagne Madrid, ainsi que l’Europe orientale (A.
Al-Hamarneh)<a href="file:///C:/Users/job/Desktop/th%C3%A8se/Articleterritoires%20CassandreDewintre.docx#_ftn31" name="_ftnref31" title=""><span class="MsoFootnoteReference"><!--[if !supportFootnotes]--><span class="MsoFootnoteReference"><span style="font-size: 12pt; line-height: 115%;">[31]</span></span><!--[endif]--></span></a>
et notamment la ville de Moscou depuis la chute du régime soviétique. Développé
à partir des années 1980 pour l’Espagne et le Portugal, 1990 pour les pays de
l’est, le modèle de la fermeture s’est installé dans les aires métropolitaines,
loin des centres-villes. Ces espaces clos regroupent des populations essentiellement
aisées dans les deux cas. Néanmoins, la recherche d’entre soi des populations
russes aisées est plus marquée et les nouveaux riches ayant fait fortune après
l’éclatement de l’URSS, cherchent à afficher ostentatoirement leurs richesses.
L’édification de véritables forteresses ultra sécurisées est donc un moyen pour
ces populations de mettre en avant leur ascension sociale, leur réussite fulgurante.
Outre la Russie, les chercheurs, dans une moindre mesure, se sont aussi intéressés
à la Hongrie (Bodnar)<a href="file:///C:/Users/job/Desktop/th%C3%A8se/Articleterritoires%20CassandreDewintre.docx#_ftn32" name="_ftnref32" title=""><span class="MsoFootnoteReference"><!--[if !supportFootnotes]--><span class="MsoFootnoteReference"><span style="font-size: 12pt; line-height: 115%;">[32]</span></span><!--[endif]--></span></a>, à
la Bulgarie ou à la Pologne où les facteurs de développement de la fermeture
résidentielle sont souvent très semblables à ceux de la Russie.<o:p></o:p></span></div>
<div class="MsoNormal" style="margin-bottom: 0.0001pt; text-align: justify;">
<br /></div>
<div class="MsoListParagraph" style="margin-bottom: 0.0001pt; text-align: justify; text-indent: -18pt;">
<!--[if !supportLists]--><b><i><span style="font-family: "Times New Roman","serif"; font-size: 12.0pt; mso-fareast-font-family: "Times New Roman";">3-<span style="font-family: 'Times New Roman'; font-size: 7pt; font-style: normal; font-weight: normal;">
</span></span></i></b><!--[endif]--><b><i><span style="font-family: "Times New Roman","serif"; font-size: 12.0pt;"> Le
cas français : répartition ubiquiste et diversification des enclaves
résidentielles fermées<o:p></o:p></span></i></b></div>
<div class="MsoNormal" style="margin-bottom: 0.0001pt; text-align: justify;">
<br /></div>
<div class="MsoNormal" style="margin-bottom: 0.0001pt; text-align: justify;">
<span style="font-family: "Times New Roman","serif"; font-size: 12.0pt;">-
La France a ceci de particulier comparée aux pays anglo-saxons, que traditionnellement,
espaces publics et espaces privés sont très nettement délimités par des
barrières physiques. C'est pourquoi, la question de la fermeture résidentielle apparaît
plus complexe à aborder dans le contexte français. Ancrée dans les valeurs
françaises, dans l'habitus, la clôture caractérise en France la force revêtue
par le droit de propriété. Au fil du temps, l'enclosure s'est banalisée et ne
s'attache donc pas forcément à la volonté d'appropriation de l'espace privé. Néanmoins
jusqu'ici, la fermeture s'attachait généralement au pavillonnaire et donc à
l'individuel, sans toucher le logement collectif. Ce dernier, fortement
développé dans la seconde moitié du XXe siècle via la construction de
nombreuses barres d'immeubles, voulait alors offrir une libre circulation aux
populations. <o:p></o:p></span></div>
<div class="MsoNormal" style="margin-bottom: 0.0001pt; text-align: justify;">
<br /></div>
<div class="MsoNormal" style="margin-bottom: 0.0001pt; text-align: justify;">
<span style="font-family: "Times New Roman","serif"; font-size: 12.0pt;">-
Néanmoins, il faut noter une évolution dans les années 1990 qui implique la
fermeture d'espaces résidentiels collectifs. En effet, nous pouvons observer la
multiplication des équipements sécuritaires dans les agglomérations françaises.
Ainsi, on note le passage des contrôles d'entrée des portes des logements aux
portes des bâtiments, déplaçant ainsi plus loin la frontière entre l'habitat et
la rue. Ce changement n'est pas anodin et montre la volonté de renforcer
toujours plus la frontière entre espaces publics et espaces privés. De ce fait,
on clarifie le statut de tel ou tel lieu, et on s'approprie l'ensemble de
l'espace résidentiel, que ce soient les parkings, les espaces verts, les aires
de jeux, les couloirs... En ce sens, l'habitat ne se limite plus à
l'appartement mais à tout immeuble, ses appendices et ceci jusqu'à la limite
que représente la voie publique. En mettant en avant ces transformations des
espaces résidentiels, nous comprenons que le processus de fermeture est bel et
bien présent en France. Dès lors, la complexité s'efface car l'idée du « chez
soi » est renforcée, mieux limitée par le filtrage des individus extérieurs. On
se retrouve désormais confronté à des cellules de voisinage s'appropriant et
partageant le même espace d'habiter limité bien sûr au seuil de l'appartement.
C'est donc le terme de communauté qui peut ressortir de ce nouveau modèle
résidentiel. Évidemment, il n'est pas question de comparer celui-ci avec le
modèle américain de la gated communitiy articulé autour d'une communauté
d'habitants soudés car socialement, politiquement ou culturellement en
adéquation. Néanmoins, il est évident que l'appropriation d'un plus grand
espace et le partage de cet espace privatisé seront symboles d'évolution quant
aux pratiques, attentes et représentations des populations résidentes. C'est
sur ces changements et sur les questionnements qu’ils soulèvent que les chercheurs
ont voulu travailler en traitant des enclaves résidentielles fermées en France.
Ici, il est pertinent d'observer l'historique et l'état des savoirs concernant cette
thématique. Quand ce phénomène est-il apparu ? Comment a-t-il été abordé ? Quelles
sont les modalités de développement de ce processus dans l'hexagone ? Où les
fermetures se localisent-elles sur le territoire français ?<o:p></o:p></span></div>
<div class="MsoNormal" style="margin-bottom: 0.0001pt; text-align: justify;">
<br /></div>
<div class="MsoNormal" style="margin-bottom: 0.0001pt; text-align: justify;">
<span style="font-family: "Times New Roman","serif"; font-size: 12.0pt;">-
La fermeture résidentielle est récente en France même s'il existe depuis le
XIXe siècle quelques espaces résidentiels clos comme les bastides présentes
notamment sur la Côte d'Azur. Mais depuis les années 90, de nombreux programmes
immobiliers neufs affichent l'avènement de dispositifs sécuritaires dans leur construction.
Mais ces recherches entreprises sur le sujet sont encore très restreintes. Ce
sont en premier lieu les journalistes qui ont mis au jour le développement du
phénomène en comparant bien souvent celui-ci au modèle des gated community afin
sans doute de créer la sensation. Cette émulation a débuté dès lors que le
journal le Monde en 1999<a href="file:///C:/Users/job/Desktop/th%C3%A8se/Articleterritoires%20CassandreDewintre.docx#_ftn33" name="_ftnref33" title=""><span class="MsoFootnoteReference"><!--[if !supportFootnotes]--><span class="MsoFootnoteReference"><span style="font-size: 12pt; line-height: 115%;">[33]</span></span><!--[endif]--></span></a> s’est
intéressé au sujet. Par la suite, les études entreprises par Hacène Belmessous
en 2000<a href="file:///C:/Users/job/Desktop/th%C3%A8se/Articleterritoires%20CassandreDewintre.docx#_ftn34" name="_ftnref34" title=""><span class="MsoFootnoteReference"><!--[if !supportFootnotes]--><span class="MsoFootnoteReference"><span style="font-size: 12pt; line-height: 115%;">[34]</span></span><!--[endif]--></span></a> pour
la revue Urbanisme, ainsi qu'en 2002 pour le journal le Monde<a href="file:///C:/Users/job/Desktop/th%C3%A8se/Articleterritoires%20CassandreDewintre.docx#_ftn35" name="_ftnref35" title=""><span class="MsoFootnoteReference"><!--[if !supportFootnotes]--><span class="MsoFootnoteReference"><span style="font-size: 12pt; line-height: 115%;">[35]</span></span><!--[endif]--></span></a> sont
plus élaborées car celui-ci s'est appuyé sur la description de plusieurs
résidences et notamment à Toulouse, afin de démontrer le processus de ségrégation
résidentielle dans des villes françaises. Enfin, le journaliste Mathieu en 2001<a href="file:///C:/Users/job/Desktop/th%C3%A8se/Articleterritoires%20CassandreDewintre.docx#_ftn36" name="_ftnref36" title=""><span class="MsoFootnoteReference"><!--[if !supportFootnotes]--><span class="MsoFootnoteReference"><span style="font-size: 12pt; line-height: 115%;">[36]</span></span><!--[endif]--></span></a>, à
travers son article « Ghettos pour millionnaires » paru dans le journal le
Monde, a décrit la mise en place dans le département du Var d'un véritable
ghetto de riches entièrement clos et ultra sécurisé. Or, et c'est bien souvent
le cas pour les articles journalistiques, l'analyse s'arrête là. En effet, les terrains
d'observations sont tous similaires, choisis selon le caractère aisé de leurs populations
ainsi que selon l'arsenal sécuritaire qui les constitue. Monique Pinçon-Charlot
et Michel Pinçon en 1994 évoquent à ce sujet «l'archétype du lotissement chic »<a href="file:///C:/Users/job/Desktop/th%C3%A8se/Articleterritoires%20CassandreDewintre.docx#_ftn37" name="_ftnref37" title=""><span class="MsoFootnoteReference"><!--[if !supportFootnotes]--><span class="MsoFootnoteReference"><span style="font-size: 12pt; line-height: 115%;">[37]</span></span><!--[endif]--></span></a>. Le
journalisme nous offre donc une vision faussée de la fermeture résidentielle
attachée aux principes communautaires et d'entre soi outre-Atlantique et non
aux réalités locales. Cependant, leurs travaux nous ont permis de montrer
l'importance du phénomène dans les agglomérations du sud de la France. Ainsi,
on distingue la ville de Toulouse, véritable pionnière en matière de fermeture
résidentielle via le promoteur Monné Decroix qui a progressivement diffusé ce
modèle en France. Plus largement, et toujours selon les différents articles,
les villes de Bordeaux, Montpellier, et de la Côte d'Azur (Marseille, Nice...)
seraient fortement touchées par le phénomène. Or, même si cet ancrage sur le
sud de la France n'affiche pas une très grande véracité, et même si aucune
étude sérieuse n'a réellement été réalisée par la sphère médiatique, ces
articles ont tout de même permis de comprendre l'importance prise par ce
phénomène depuis les années 90. Cette approche stéréotypée a cela de positif
qu'elle a pu servir d'impulsion aux travaux des différents chercheurs géographes
et sociologues confondus. François Madoré<a href="file:///C:/Users/job/Desktop/th%C3%A8se/Articleterritoires%20CassandreDewintre.docx#_ftn38" name="_ftnref38" title=""><span class="MsoFootnoteReference"><!--[if !supportFootnotes]--><span class="MsoFootnoteReference"><span style="font-size: 12pt; line-height: 115%;">[38]</span></span><!--[endif]--></span></a> en
tête, mais aussi quelques autres, ont donc débuté un recensement partiel de la
fermeture sur le sol français et ont établi des théories de localisation et de
diffusion. Il est essentiel d'expliquer, au vu des travaux réalisés sur le
sujet, le succès récent des enclaves résidentielles fermées en France. Cette
brève analyse sert d'introduction à une étude plus fine concernant les
changements intervenus dans les modes d'habiter. <o:p></o:p></span></div>
<div class="MsoNormal" style="margin-bottom: 0.0001pt; text-align: justify;">
<br /></div>
<div class="MsoNormal" style="margin-bottom: 0.0001pt; text-align: justify;">
<span style="font-family: "Times New Roman","serif"; font-size: 12.0pt;">-
Selon Madoré, mais aussi Éric Charmes<a href="file:///C:/Users/job/Desktop/th%C3%A8se/Articleterritoires%20CassandreDewintre.docx#_ftn39" name="_ftnref39" title=""><span class="MsoFootnoteReference"><!--[if !supportFootnotes]--><span class="MsoFootnoteReference"><span style="font-size: 12pt; line-height: 115%;">[39]</span></span><!--[endif]--></span></a> qui ont
traité du cas français, la fermeture résidentielle tiendrait à trois facteurs :
L'appropriation des espaces d'habiter, la recherche d'une meilleure qualité
environnementale dans l'habitat et d’un meilleur cadre de vie. En premier lieu,
la fermeture comme action d'appropriation des espaces d'habiter tient à un
discours et des représentations mondialisées ayant attrait à l'insécurité des
espaces urbains. L'augmentation de la criminalité croissante depuis les années
50 et la mondialisation de ce phénomène serait un facteur favorisant la
banalisation des programmes immobiliers de fermeture résidentielle. Le
sentiment d'insécurité lié en grande partie aux représentations est devenu un
véritable marché, non seulement pour les médias qui usent et abusent des faits
de violence dans leur journal télé ou rédaction, mais aussi pour les promoteurs
qui se servent de ces représentations comme argument marketing. François Madoré
signale ainsi que « selon l'enquête permanente sur les conditions de vie des
ménages de l'INSEE, le sentiment d'insécurité au domicile double lorsque les
individus ont été victimes, au cours des deux dernières années précédant
l'enquête, soit une agression physique ou verbale, soit d'un cambriolage ». L'auteur
ajoute qu'en parallèle de ce sentiment croissant d'insécurité, et participant d'ailleurs
de celui-ci, le taux d'élucidation des crimes et délits a quant à lui baissé fortement
en passant de 36 % en 1950 à 30 % en 2000. De ce fait, il est logique d'admettre
le manque de confiance des populations envers les institutions judiciaires ou
policières pour ce qui relève de la protection de leur lieu de vie. Les
citoyens selon cette même logique auraient été demandeurs et la fermeture
résidentielle afin de prendre en main leur propre sécurité et celle de leur
cellule familiale. La scission entre sphère publique et sphère privée devient
alors officielle et les régulations de l'insécurité deviennent progressivement
informelles pour justement s'inscrire dans cette sphère privée. L'avènement de
la prévention situationnelle et de l'espace défendable ont tous deux participé
à cette régulation informelle de l'insécurité et ont été les générateurs de
nouveaux modes d'habiter et type de bâti. L'appropriation d'un espace plus
large d'habiter participe à ce processus de régulation de l'insécurité.
Désormais, on ne protège plus seulement son appartement ou sa maison, mais
aussi le pas de sa porte, sa cage d'escalier, son parking ou même encore sa rue
dans le cas des lotissements fermés. Via ces nouvelles limites, il s'agit
d'établir de nouvelles frontières entre la rue et l'habitat et donc entre «
l'étranger » et son chez-soi. On limite ainsi toute tentative de larcin, du
moins en principe.<o:p></o:p></span></div>
<div class="MsoNormal" style="margin-bottom: 0.0001pt; text-align: justify;">
<br /></div>
<div class="MsoListParagraph" style="margin-bottom: 0.0001pt; text-align: justify; text-indent: -18pt;">
<!--[if !supportLists]--><b><i><span style="font-family: "Times New Roman","serif"; font-size: 12.0pt; mso-fareast-font-family: "Times New Roman";">4-<span style="font-family: 'Times New Roman'; font-size: 7pt; font-style: normal; font-weight: normal;">
</span></span></i></b><!--[endif]--><b><i><span style="font-family: "Times New Roman","serif"; font-size: 12.0pt;">Une fermeture mondialisée pour des formes
diversifiées<o:p></o:p></span></i></b></div>
<div class="MsoNormal" style="margin-bottom: 0.0001pt; text-align: justify;">
<br /></div>
<div class="MsoNormal" style="margin-bottom: 0.0001pt; text-align: justify;">
<span style="font-family: "Times New Roman","serif"; font-size: 12.0pt;">-
De par les multiples formes prises par la fermeture résidentielle aux
différentes échelles que constituent les territoires, et du fait des enjeux
sous-jacents, il est d’intéressant de s’interroger sur les contextes locaux
afin d’appréhender les mutations des espaces urbains.<o:p></o:p></span></div>
<div class="MsoNormal" style="margin-bottom: 0.0001pt; text-align: justify;">
<br /></div>
<div class="MsoNormal" style="margin-bottom: 0.0001pt; text-align: justify;">
<span style="font-family: "Times New Roman","serif"; font-size: 12.0pt;">-
Le recensement systémique des ensembles résidentiels fermés pour Montpellier et
Marrakech dans le cadre des recherches de thèse<a href="file:///C:/Users/job/Desktop/th%C3%A8se/Articleterritoires%20CassandreDewintre.docx#_ftn40" name="_ftnref40" title=""><span class="MsoFootnoteReference"><!--[if !supportFootnotes]--><span class="MsoFootnoteReference"><span style="font-size: 12pt; line-height: 115%;">[40]</span></span><!--[endif]--></span></a>
s’est inséré dans la logique d'une démarche inductive qui a été choisie pour
réaliser ces travaux. Partir d'un fait observé pour ensuite en expliquer les
causes a justifié le recensement minutieux de tous ces ensembles résidentiels
fermés, la description précise de toutes ces entités et leurs cartographies
afin de saisir les effets de de territoire sous-tendus par le processus de
fermeture. Dans le cas de ces deux grandes agglomérations, seules quelques
poches urbaines sont encore préservées de la présence d’entités résidentielles
fermées comme notamment les centre-ville historiques (l’Ecusson à Montpellier
et la Médina à Marrakech) ou plus globalement les zones les plus densément
urbanisées.<o:p></o:p></span></div>
<div class="MsoNormal" style="margin-bottom: 0.0001pt; text-align: justify;">
<br /></div>
<div class="MsoNormal" style="margin-bottom: 0.0001pt; text-align: justify;">
<span style="font-family: "Times New Roman","serif"; font-size: 12.0pt;">-
Dans le cas de la ville de Montpellier,
les ensembles résidentiels fermés sont répartis de manière ubiquiste avec une
prédominance au Nord et Nord-est, essentiellement les quartiers étudiants, et à
l’Est, au sein principalement des nouveaux quartiers d’extension urbaine.
L'implantation de ces ensembles résidentiels fermés correspond essentiellement,
soit à la proximité immédiate de zone de flux importantes comme les stations de
transports multimodales, soit aux zones d’urbanisation récentes et notamment
les zones d’aménagement concertées (Lironde, Millénaire, Malbosc, Euromédecine,
Croix d’ Argent, Grisettes). De manière moins significative, les quartiers
attenants à ces espaces de polarisation, réunissent de nombreux ensembles
résidentiels fermés du type habitats collectif notamment par le biais d'un
processus d'imitation de copropriétés privées environnantes et fermées
post-construction. <o:p></o:p></span></div>
<div class="MsoNormal" style="margin-bottom: 0.0001pt; text-align: justify;">
<br /></div>
<div class="MsoNormal" style="margin-bottom: 0.0001pt; text-align: justify;">
<span style="font-family: "Times New Roman","serif"; font-size: 12.0pt;">-
Concernant la répartition des ensembles résidentiels fermés par types de bâti,
l’habitat collectif reste majoritaire puisque représentant plus de 90 % de
l'ensemble des entités fermées et se trouve disséminé de manière ubiquiste dans
l'ensemble des quartiers montpelliérains. Les ensembles d'habitats individuels,
le deuxième type de bâti le plus représenté (8%), se localise en périphérie
urbaine, soit à proximité des grands flux de circulation, à proximité des
quartiers réunissant les populations les plus précaires ou enfin, à proximité
de zones d'activités (centres commerciaux, zones industrielles…). Par ailleurs,
le processus de fermeture prend de nouvelles orientations à partir des années
2000 en se développant de manière croissante dans les communes périurbaines et
en premier lieu au sein des communes les plus proches du pôle urbain et
disposant de frontières communes avec la ville centre.<o:p></o:p></span></div>
<div class="MsoNormal" style="margin-bottom: 0.0001pt; text-align: justify;">
<br /></div>
<div class="MsoNormal" style="margin-bottom: 0.0001pt; text-align: justify;">
<span style="font-family: "Times New Roman","serif"; font-size: 12.0pt;">-
Dans le cas marocain et plus particulièrement l’agglomération de Marrakech, la
fermeture résidentielle s'est orientée vers une clientèle aisée, en résidence
principale, mais surtout vers une population de saisonniers, qu'il s'agisse de
touristes, mais également de propriétaires de résidences secondaires.
S'agissant des lieux privilégiés de l'implantation de cette fermeture, les
schémas de développement sont également très différents de ce que l'on retrouve
dans les villes françaises dans le contexte d'une croissance urbaine très peu
planifiée. En effet, concernant de nombreux ensembles résidentiels fermés,
l'implantation relève souvent d’opportunismes fonciers dans une agglomération
où les investisseurs étrangers et plus globalement les marchés immobiliers
privés sont très puissants. Dans ce contexte, il est possible d’identifier
différentes formes prises par le processus de fermeture, à savoir d’une part le renforcement d'entre
soi déjà existants aux sein des anciens quartiers coloniaux (Guéliz et
Hivernage) et d'autre part la multiplication, voir la banalisation de ces
ensembles résidentiels fermés en périphérie urbaine à travers le développement
de superstructures de type gated community, rassemblant principalement des
maisons individuelles organisées autour d’espaces de loisir communs (golfs,
points d’eau, activités sportives…).<o:p></o:p></span></div>
<div class="MsoNormal" style="margin-bottom: 0.0001pt; text-align: justify;">
<br /></div>
<div class="MsoNormal" style="text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-family: "Times New Roman","serif"; font-size: 12.0pt; line-height: 115%;">-
Globalement, les populations résidantes sont essentiellement représentatives
des classes sociales les plus aisées avec une quasi majorité d'occidentaux
concernant les ensembles résidentiels des quartiers Est et Nord et une part de
plus en plus importante de résidents d'origine marocaine pour les quartiers de
Guéliz et d’Hivernage. Concernant les ensembles résidentiels fermés implantés
route de Targa et route de Casablanca notamment, les modèles d'habiter et les
clients ciblés se sont différenciés des clients fortunés des vastes ensembles
de types gated community avec une plus grande mixité du bâti et des populations
plus variées socialement allant des catégories moyennes supérieures, aux
catégories les plus aisées et rassemblant aussi bien des populations marocaines
qu’européennes ; la plupart du temps des actifs occupés travaillant dans la
ville centre. Cette répartition spatiale est une caractéristique très forte de
la fermeture résidentielle à Marrakech et plus largement dans les villes
les plus cosmopolites du Maroc.<o:p></o:p></span></div>
<div class="MsoNormal" style="text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-family: "Times New Roman","serif"; font-size: 12.0pt; line-height: 115%;">-
Concernant les formes de bâti, la fermeture résidentielle est répartie entre le
bâti individuel enclos (32 % des ensembles résidentiels fermés pour Marrakech
et 53 % pour l’ensemble de l’agglomération) et le bâti collectif enclos, ce
dernier constituant le modèle dominant, représenté à plus de 65 %.</span> <span style="font-family: "Times New Roman","serif"; font-size: 12.0pt; line-height: 115%;">Cette
forte représentation du logement individuel à l’échelle de l’agglomération
démontre la volonté d'un entre soi social et affinitaire et l'exigence de
prestations de haut standing de la part des touristes mais également des
propriétaires de résidences secondaires ou à l'année. Ces superstructures se sont implantées
progressivement depuis la fin des années 90 et de manière très sectorisée dans
la ville rouge.<o:p></o:p></span></div>
<div class="MsoListParagraph" style="margin-bottom: 0.0001pt; text-align: justify; text-indent: -18pt;">
<!--[if !supportLists]--><b><i><span style="font-family: "Times New Roman","serif"; font-size: 12.0pt; mso-fareast-font-family: "Times New Roman";">5-<span style="font-family: 'Times New Roman'; font-size: 7pt; font-style: normal; font-weight: normal;">
</span></span></i></b><!--[endif]--><b><i><span style="font-family: "Times New Roman","serif"; font-size: 12.0pt;"> La
fermeture résidentielle : quels enjeux pour les territoires?<o:p></o:p></span></i></b></div>
<div class="MsoNormal" style="margin-bottom: 0.0001pt; text-align: justify;">
<br /></div>
<div class="MsoNormal" style="margin-bottom: 0.0001pt; text-align: justify;">
<span style="font-family: "Times New Roman","serif"; font-size: 12.0pt;">-
L'étude la fermeture résidentielle est pertinente à plusieurs titres. En effet,
les changements globaux intervenus ces dernières années nous poussent à nous interroger
sur le développement durable des sociétés. La croissance des inégalités sociales,
la fragmentation et la progressive perte d'identité urbaine ainsi que le caractère
de plus en plus individualiste des individus sont des risques désormais clairement
identifiés. Or, la fermeture résidentielle doit être abordée comme un risque
potentiel au développement durable des espaces urbains. Il est donc important
d'appréhender la conjoncture dans laquelle se développe un tel phénomène en
traitant des nouvelles questions sociales et urbaines impliquées par le changement
des sociétés humaines. Nous abordons ici les thématiques d'urbanisme
affinitaire, de ségrégation sociale, de sécurisation des espaces ou encore de
sécession politique.<o:p></o:p></span></div>
<div class="MsoNormal" style="margin-bottom: 0.0001pt; text-align: justify;">
<br /></div>
<div class="MsoNormal" style="margin-bottom: 0.0001pt; text-align: justify;">
<span style="font-family: "Times New Roman","serif"; font-size: 12.0pt;">-
Jacques Donzelot<a href="file:///C:/Users/job/Desktop/th%C3%A8se/Articleterritoires%20CassandreDewintre.docx#_ftn41" name="_ftnref41" title=""><span class="MsoFootnoteReference"><!--[if !supportFootnotes]--><span class="MsoFootnoteReference"><span style="font-size: 12pt; line-height: 115%;">[41]</span></span><!--[endif]--></span></a>
parle de l'indispensable « ciment civique » et induit le besoin pour toute
société de faire « nation » afin de parer aux risques d'une désolidarisation sociale
qui mettrait en péril tel ou tel État. Le géographe traduit bien la difficulté
des sociétés à affronter la question de la mondialisation qui remet en cause
les systèmes socio-économiques et politiques établis. La globalisation
économique a eu pour conséquence la fragmentation des territoires. Les
concurrences accrues entre états, régions, localités, ont accentué les
inégalités sociales. La division des classes sociales a toujours été un fait de
nos sociétés. Néanmoins, nous observons que ces mêmes sociétés semblent perdre
leur fonction assimilatrice pour progressivement construire des tendances
d'entre soi. Cette fracture sociale et urbaine participe à la création de ces
nouvelles cellules d'habitat protectrices que sont les enclaves fermées. <o:p></o:p></span></div>
<div class="MsoNormal" style="margin-bottom: 0.0001pt; text-align: justify;">
<br /></div>
<div class="MsoNormal" style="margin-bottom: 0.0001pt; text-align: justify;">
<span style="font-family: "Times New Roman","serif"; font-size: 12.0pt;">-
À l'urbanisme fonctionnel instauré par la ville industrielle a succédé l'urbanisme
affinitaire. Celui-ci définit « toutes les formes de production de la ville qui
favorise l'agrégation entre des ménages de même rang social, aux goûts et aux modes
de vie similaires » (Guenola Capron)<a href="file:///C:/Users/job/Desktop/th%C3%A8se/Articleterritoires%20CassandreDewintre.docx#_ftn42" name="_ftnref42" title=""><span class="MsoFootnoteReference"><!--[if !supportFootnotes]--><span class="MsoFootnoteReference"><span style="font-size: 12pt; line-height: 115%;">[42]</span></span><!--[endif]--></span></a>.
C'est l'idée d'une « ville à la carte » qui serait choisie librement par les
individus selon Ascher<a href="file:///C:/Users/job/Desktop/th%C3%A8se/Articleterritoires%20CassandreDewintre.docx#_ftn43" name="_ftnref43" title=""><span class="MsoFootnoteReference"><!--[if !supportFootnotes]--><span class="MsoFootnoteReference"><span style="font-size: 12pt; line-height: 115%;">[43]</span></span><!--[endif]--></span></a> et
où les déterminismes que constituent les proximités spatiales seraient gommés
au profit de la capacité de déplacement des individus. Selon Donzelot, les
individus préféreraient s'affranchir des relations de voisinage au profit de
relations sociales électives et déterritorialisées. C'est enfin sur cette
logique que se sont construits certains modèles de ville comme « l'archipel »
de Viard<a href="file:///C:/Users/job/Desktop/th%C3%A8se/Articleterritoires%20CassandreDewintre.docx#_ftn44" name="_ftnref44" title=""><span class="MsoFootnoteReference"><!--[if !supportFootnotes]--><span class="MsoFootnoteReference"><span style="font-size: 12pt; line-height: 115%;">[44]</span></span><!--[endif]--></span></a>
qui admet des pratiques reliant différents morceaux de territoires similaires
autant socialement que dans leur fonctionnement en délaissant les autres espaces.
Ce repli des populations est souvent diagnostiqué par les géographes, les
sociologues comme un mal causé par la montée des individualismes ;
phénomène qui contribue à la progressive perte d'identité et de sociabilité de
la ville. L'espace public se voit dénigré et progressivement happé par l'espace
privé. Ici, les contraintes d'habiter imposées par la ville d’hier s'estompe au
profit de zones homogènes, d'un voisinage électif, sélectif et par conséquent
très excluant. Les déplacements permis par les transports, l'augmentation des
niveaux de vie mais aussi les écarts sociaux ont abouti à la capacité toujours
plus grande pour les populations de choisir leur espace de vie ainsi que leurs
relations de voisinage. Le développement des espaces périurbains et la multiplication
des centres névralgiques dans l'urbain ont développé l'autonomie de certains espaces
et de leurs populations. L'urbanisme affinitaire réinvente la ville. C'est
l'idée d'une ville du choix qui « déterritorialise les rapports sociaux,
éloigne les habitants des cadres socio culturels où ils ont grandi, libère les
individus de la pression du ou des groupes, leur donne la possibilité de choisir
par eux-mêmes un univers relationnel, élargi la possibilité du choix et des perspectives
» (G.Dubois-Taine, Y.Chalas)<a href="file:///C:/Users/job/Desktop/th%C3%A8se/Articleterritoires%20CassandreDewintre.docx#_ftn45" name="_ftnref45" title=""><span class="MsoFootnoteReference"><!--[if !supportFootnotes]--><span class="MsoFootnoteReference"><span style="font-size: 12pt; line-height: 115%;">[45]</span></span><!--[endif]--></span></a>. <o:p></o:p></span></div>
<div class="MsoNormal" style="margin-bottom: 0.0001pt; text-align: justify;">
<br /></div>
<div class="MsoNormal" style="margin-bottom: 0.0001pt; text-align: justify;">
<span style="font-family: "Times New Roman","serif"; font-size: 12.0pt;">-
Via ce processus, de nombreux constituants traditionnels de la ville
disparaissent comme les codes socioéconomiques mais aussi les espaces
identitaires comme le quartier dont le sens se perd peu à peu au profit de
nouveaux réseaux de sociabilité. Les travaux de Nicole Haumont<a href="file:///C:/Users/job/Desktop/th%C3%A8se/Articleterritoires%20CassandreDewintre.docx#_ftn46" name="_ftnref46" title=""><span class="MsoFootnoteReference"><!--[if !supportFootnotes]--><span class="MsoFootnoteReference"><span style="font-size: 12pt; line-height: 115%;">[46]</span></span><!--[endif]--></span></a>
traitent notamment de ces progressives pertes d'identité et de la destruction
de la cohésion sociale dans certains quartiers au profit notamment de réseaux
communautaires (Affinités autour d’un loisir, d’une croyance, d’une fonction,
d’un style de vie…). Le modèle de la gated community marque l'effondrement des
codes du vivre ensemble. Renaud Le Goix<a href="file:///C:/Users/job/Desktop/th%C3%A8se/Articleterritoires%20CassandreDewintre.docx#_ftn47" name="_ftnref47" title=""><span class="MsoFootnoteReference"><!--[if !supportFootnotes]--><span class="MsoFootnoteReference"><span style="font-size: 12pt; line-height: 115%;">[47]</span></span><!--[endif]--></span></a> a pu
dénombrer une multitude de cas issus de ces regroupements affinitaires en
Californie en mettant en avant les rapprochements autour d'un culte, d'une
catégorie sociale, d'une activité ou d'un idéal commun de sécurité. Ces
pratiques fragilisent le « faire société » qui fonde la ville. Il est complexe
de présager, en s’attachant à l’émergence de ces processus, de la fin de la
ville ou de l'émergence d'un nouveau modèle de ville. L'ambition pour les
populations réside-t-elle dans la création de nouvelles villes fidèles à leurs
attentes et représentations ? Par la présence de murs ou autres matériaux
sécuritaires ou encore via l'éloignement, les strates les plus aisées de la
population ont cherché à fuir la ville dans laquelle elles ne trouvaient pas de
tranquillité et de proximités de voisinage satisfaisantes. Les écarts de
richesse de plus en plus grands et les individualismes renforcés par les
processus de mondialisation ont participé à la sectorisation sociale et
affinitaire des populations. Pour appréhender ces changements globaux, il faut
comprendre tous les processus qui rentrent en compte dans leur développement. <o:p></o:p></span></div>
<div class="MsoNormal" style="margin-bottom: 0.0001pt; text-align: justify;">
<br /></div>
<div class="MsoNormal" style="margin-bottom: 0.0001pt; text-align: justify;">
<span style="font-family: "Times New Roman","serif"; font-size: 12.0pt;">-
Or, ces changements sociaux tendent à la production d'un risque de plus en plus
marqué à l'échelle mondiale : celui de la sécession. Cette nouvelle logique de
séparatisme des composantes sociales de la ville met en péril toute cohésion
des sociétés. Le principe d'évitement d'une population au profit d’une autre
est un principe qui se banalise pour notamment affirmer sa condition sociale.
André Bruston<a href="file:///C:/Users/job/Desktop/th%C3%A8se/Articleterritoires%20CassandreDewintre.docx#_ftn48" name="_ftnref48" title=""><span class="MsoFootnoteReference"><!--[if !supportFootnotes]--><span class="MsoFootnoteReference"><span style="font-size: 12pt; line-height: 115%;">[48]</span></span><!--[endif]--></span></a>
définit par le terme sécession le fait de se retirer à une distance perceptible
pour faire sentir, par le poids de son absence, le refus d'une situation
donnée. Cette définition implique le mécontentement d'individus face à une
société qu'ils désapprouvent mais dont ils ne s'excluent pas forcément. Cette
sécession peut d'ailleurs intervenir au sein de différentes catégories sociales
de la population. Ainsi, les violences urbaines sont une forme de sécession,
exprimant le rejet d'une société méprisant souvent les catégories les plus
pauvres, les excluant. À l'opposé, la sécession peut également englober les classes
de populations aisées, rejetant justement cette violence urbaine et les classes
les plus pauvres en se repliant spatialement. Jusqu'ici, la France et plus
largement l'Europe ont su se soustraire aux mouvements sécessionnistes par un
attachement commun à la notion de démocratie, de vivre ensemble qui faisait de
la cohabitation, de la mixité, une force pour les états concernés. La
spécialisation des lieux est une des conséquences envisagées par Sasskia Sassen<a href="file:///C:/Users/job/Desktop/th%C3%A8se/Articleterritoires%20CassandreDewintre.docx#_ftn49" name="_ftnref49" title=""><span class="MsoFootnoteReference"><!--[if !supportFootnotes]--><span class="MsoFootnoteReference"><span style="font-size: 12pt; line-height: 115%;">[49]</span></span><!--[endif]--></span></a>
lorsqu'il traite de l'existence d'une ville « duale ». Polarisation sociale et
inégalité d'attraction des lieux pour conséquence le développement des écarts
socio-spatiaux.<o:p></o:p></span></div>
<div class="MsoNormal" style="margin-bottom: 0.0001pt; text-align: justify;">
<br /></div>
<div class="MsoNormal" style="margin-bottom: 0.0001pt; text-align: justify;">
<span style="font-family: "Times New Roman","serif"; font-size: 12.0pt;">-
L'un des risques très présent dans les espaces urbains reste aujourd'hui encore
l'étalement urbain qui est d'ailleurs très profitable à l'établissement des
enclaves résidentielles qui s'étendent sur de grands espaces que l'on ne
retrouve pas dans des zones densément urbanisées. Cet étalement urbain se
définit par des espaces d'excroissance de la ville loin du centre historique et
urbanisés de manière discontinue, donc peu favorable aux grands principes de la
ville durable. Développé sous la forme du modèle pavillonnaire à partir des
années 70 en France, il renforce la spécialisation des lieux en abritant
globalement les classes moyennes. Ces zones d'étalement urbain sont des lieux
privilégiés d'installation des ensembles résidentiels fermés car la promesse
par les promoteurs d'un cadre de vie agréable et loin de la densité urbaine de
la ville centre tout en étant protégés par les équipements sécuritaires reste
un très bon argumentaire marketing. L'implantation de nombreuses gated
communities dans les zones d'étalement urbain aux États-Unis présage l'établissement
croissant de lotissements clos en France, certains promoteurs commençant à
importer ce modèle.<o:p></o:p></span></div>
<div class="MsoNormal" style="margin-bottom: 0.0001pt; text-align: justify;">
<br /></div>
<div class="MsoNormal" style="margin-bottom: 0.0001pt; text-align: justify;">
<span style="font-family: "Times New Roman","serif"; font-size: 12.0pt;">-
Mais l'établissement des enclaves en périphérie de la ville atteste d'un autre
processus issu des grands changements des modèles de ville : l'apparition de
nouvelles centralités. Via celles-ci, les exurbanisés peuvent profiter de tous
les équipements et services nécessaires en s'exilant néanmoins de la ville
centre. Ce processus rentre d'ailleurs dans l'argumentaire de vente des
promoteurs immobiliers. Les populations pourront donc profiter de tous les bons
côtés de la ville en oubliant les mauvais. La multiplication des centralités
entre donc dans un processus de fragmentation qui constitue un des périls
urbains. Cette recomposition de la centralité peut également s'inscrire dans
les mouvements de sécession des populations en promouvant une société choisie
et non pas subie. Désormais, la possibilité de choisir son lieu de résidence et
l'étalement urbain conséquent ont changé la donne. L'entre soi et plus
précisément la désolidarisation des sociétés d'aujourd'hui s'inscrivent alors
dans le concept de sécession. Cette fuite des populations vers un espace choisi
dont profite largement le modèle de la fermeture résidentielle représente un
enjeu majeur car un risque pour la ville. Le risque de la perte de cohésion
sociale, de lien entre les individus, donc la perte de l'identité urbaine. La
ville durable telle qu’elle est envisagée devrait permettre un équilibre
social, économique et environnemental. Or, la fragmentation, la spécialisation
des espaces, la multiplication des centres ainsi que les individualismes ne
sont pas envisageables à long terme si l'on souhaite le développement durable
de la ville. Bien entendu, la fermeture résidentielle n'est que l'une des
facettes de cette fragmentation et cette sécession aspirée par les populations
; mais ce processus en pleine expansion semble crucial puisqu'affichant les
dérives parfois extrêmes de sociétés dans leur recherche d'entre soi. En ce
sens, ce sujet s'inscrit pleinement dans les préoccupations attenantes à la
ville durable en considérant la fermeture résidentielle comme un risque
potentiel.<o:p></o:p></span></div>
<div class="MsoNormal" style="margin-bottom: 0.0001pt; text-align: justify;">
<br /></div>
<div class="MsoListParagraph" style="margin-bottom: 0.0001pt; text-align: justify; text-indent: -18pt;">
<!--[if !supportLists]--><b><i><span style="font-family: "Times New Roman","serif"; font-size: 12.0pt; mso-fareast-font-family: "Times New Roman";">6-<span style="font-family: 'Times New Roman'; font-size: 7pt; font-style: normal; font-weight: normal;">
</span></span></i></b><!--[endif]--><b><i><span style="font-family: "Times New Roman","serif"; font-size: 12.0pt;"> Conclusion<o:p></o:p></span></i></b></div>
<div class="MsoNormal" style="margin-bottom: 0.0001pt; text-align: justify;">
<br /></div>
<div class="MsoNormal" style="margin-bottom: 0.0001pt; text-align: justify;">
<span style="font-family: "Times New Roman","serif"; font-size: 12.0pt;">-
La fermeture résidentielle est un processus en plein développement. Conséquence
directe du renforcement de la mondialisation et des dynamiques de
métropolisation, ce phénomène s’est implanté sur l’ensemble du globe en se
diversifiant et en s’adaptant aux différents contextes locaux. Souvent
appréhendée comme une des manifestations du processus de fragmentation urbaine,
voire comme un risque de sécession dans le cas du modèle de la gated community
étatsunien, la fermeture résidentielle rentre pleinement dans les thématiques
et les enjeux de la ville durable. <o:p></o:p></span></div>
<div class="MsoNormal" style="margin-bottom: 0.0001pt; text-align: justify;">
<br /></div>
<div class="MsoNormal" style="margin-bottom: 0.0001pt; text-align: justify;">
<span style="font-family: "Times New Roman","serif"; font-size: 12.0pt;">-
Révélatrice d’une nouvelle mutation des espaces urbains, cette forme d’habiter
particulière marque également la volonté toujours plus forte des populations de
privilégier les entre soi. Cette ville à la carte, cette idée du voisinage
choisi et non subi, a donné lieu au concept d’urbanisme affinitaire. Via ce
concept, les acteurs de l’urbain ont envisagé la fermeture résidentielle comme
un risque de fragmentation spatiale, de désolidarisation du ciment social ; en
conclusion un espace ayant perdu toute référence globale : une ville éclatée.
Les différentes études sur le sujet, ainsi que les nombreux questionnements qui
ont découlé de ces travaux, nous ont montré toute la complexité d’un phénomène
tel que la fermeture résidentielle. Développé en premier lieu dans les pays
anglo-saxons, puis diffusé à l’Asie ou l’Afrique, ce phénomène a pu trouver un
cadre d’installation favorable en Europe et notamment en France où les
résidences sécurisées se sont implantées à partir des années 90. Principalement
localisés dans le sud de la France, les ensembles résidentiels fermés sont au
centre des débats politiques et médiatiques et ont progressivement infiltré le
champ de la recherche en sciences sociales.<o:p></o:p></span></div>
<div class="MsoNormal" style="margin-bottom: 0.0001pt; text-align: justify;">
<br /></div>
<div class="MsoNormal" style="margin-bottom: 0.0001pt; text-align: justify;">
<span style="font-family: "Times New Roman","serif"; font-size: 12.0pt;">-
Il est crucial d’appréhender ce phénomène comme une manifestation des
changements économiques, politiques, sociaux, culturels et urbains renvoyant
certes à des changements globaux, mais qui s’inscrivent d’une manière bien
spécifique dans les contextes sociétaux et les territoires locaux. Cette
approche apparaît novatrice concernant l’étude de la fermeture résidentielle
car l’objectif ultime est de faire ressortir l’ensemble des formes prises par
les enclaves résidentielles fermées en évitant les écueils que constituent les
renvois systématiques au modèle de la gated communities et au principe de
recherche d’entre soi des populations résidentes donc en évitant toute
généralisation d’un processus. Il convient d’analyser la fermeture
résidentielle en mettant en avant les effets de territoire via l’analyse des
logiques de diffusion ainsi que via l’appréhension de la médiatisation y étant
associée pour ensuite traiter de la variation des formes et des niveaux de
fermeture résidentielle que l’on pourra retrouver. Le recensement minutieux des
localisations de ces ensembles résidentiels fermés et l’analyse approfondie des
logiques de développement du phénomène permettra de capter les différentes
recompositions urbaines, la diversité des trajectoires et mobilités
résidentielles des habitants, leurs statuts via l’appréhension de leurs
différents niveaux socio-économiques ou encore les pratiques, représentations
ou attentes suscitées par ces nouveaux espaces de vie.<o:p></o:p></span></div>
<div class="MsoNormal" style="margin-bottom: 0.0001pt; text-align: justify;">
<br /></div>
<div style="border: solid windowtext 1.0pt; mso-border-alt: solid windowtext .5pt; mso-element: para-border-div; padding: 1.0pt 4.0pt 1.0pt 4.0pt;">
<div class="MsoNormal" style="border: none; margin-bottom: 0.0001pt; padding: 0cm;">
<span style="font-family: "Times New Roman","serif";">BIBLIOGRAPHIE<o:p></o:p></span></div>
</div>
<div class="MsoNormal" style="margin-bottom: 0.0001pt;">
<br /></div>
<div class="MsoNormal" style="margin-bottom: 0.0001pt; text-align: justify;">
<span style="font-family: "Times New Roman","serif";">-
Ackermann.W, Dulong.R, Jeudy.H-P, « Imaginaires de l'insécurité », Paris,
Librairie des méridiens, 1983, 122 p.<o:p></o:p></span></div>
<div class="MsoNormal" style="margin-bottom: 0.0001pt; text-align: justify;">
<span style="font-family: "Times New Roman","serif";">-
Ascher.F, « Métapolis ou l’avenir des villes », Odile Jacob, 1995, 345 p.<o:p></o:p></span></div>
<div class="MsoNormal" style="margin-bottom: 0.0001pt; text-align: justify;">
<span style="font-family: "Times New Roman","serif";">-Ascher.F,
Behar.D, Donzelot.J, Ghorra-Gobin, Godard.F, Jaillet.M-C, Prêvot-Schapira.MF, «
Quand la ville se défait », Revue Esprit, n°11, novembre 1999, p 83-190.<o:p></o:p></span></div>
<div class="MsoNormal" style="margin-bottom: 0.0001pt; text-align: justify;">
<span style="font-family: "Times New Roman","serif";">-
Belmessous.H, « France : ségrégation haut de gamme », Urbanisme, n°312, 2000, p
62-66.<o:p></o:p></span></div>
<div class="MsoNormal" style="margin-bottom: 0.0001pt; text-align: justify;">
<span style="font-family: "Times New Roman","serif";">-
Belmessous.H, « Voyage à travers la forteresse des riches », Le Monde
diplomatique, novembre 2002, p 5.<o:p></o:p></span></div>
<div class="MsoNormal" style="margin-bottom: 0.0001pt; text-align: justify;">
<span style="font-family: "Times New Roman","serif";">-
Berry-Chikhaoui.I., « Les citadins face aux enjeux d’internationalisation de la
ville.<o:p></o:p></span></div>
<div class="MsoNormal" style="margin-bottom: 0.0001pt; text-align: justify;">
<span style="font-family: "Times New Roman","serif";">Casablanca
et Marseille : où est le Nord, où est le Sud ? », <i>in </i>Gervais-Lambony P.,
Landy F., « On dirait le sud… », Autrepart, Revue de sciences sociales au sud,
n°41,2007, p. 149-163.<o:p></o:p></span></div>
<div class="MsoNormal" style="margin-bottom: 0.0001pt; text-align: justify;">
<span style="font-family: "Times New Roman","serif";">-
Berry-Chikhaoui.I., Deboulet.A., Roulleau-Berger.L., « <i>Villes internationales.
Entre tensions et réactions des habitants », </i>Paris La Découverte (coll. Recherches),
2007, 325p.<i><o:p></o:p></i></span></div>
<div class="MsoNormal" style="margin-bottom: 0.0001pt; text-align: justify;">
<span style="font-family: "Times New Roman","serif";">-
Berry-Chikhaoui.I., Haoues-Jouve.S., « La petite fabrique du développement
urbain durable à Marrakech », <i>in </i>Rouyer A. (sous la direction de),
rapport de recherche pour le PUCA, « La petite fabrique locale du développement
urbain durable. De la construction programmatique à la mise en oeuvre de
projets labellisés, une comparaison Nord-Sud des enjeux de la mobilisation dans
quatre métropoles : Berlin, Dakar, Marrakech et Toulouse », 2008, p. 188-255.<o:p></o:p></span></div>
<div class="MsoNormal" style="margin-bottom: 0.0001pt; text-align: justify;">
<span style="font-family: "Times New Roman","serif";">-
Besset.J-P, Kremer.P, « Le nouvel attrait pour les résidences sécurisées », Le Monde,
15 mai 1999<o:p></o:p></span></div>
<div class="MsoNormal" style="margin-bottom: 0.0001pt; text-align: justify;">
<span style="font-family: "Times New Roman","serif";">-
Billard.G, Chevalier.J, Madoré.F, « Ville fermée, ville surveillée », Presses
Universitaires de Rennes, 2005, 230 p.<o:p></o:p></span></div>
<div class="MsoNormal" style="margin-bottom: 0.0001pt; text-align: justify;">
<span lang="EN-US" style="font-family: "Times New Roman","serif"; mso-ansi-language: EN-US;">- Blakely.E-J, Snyder.M-G, « Fortress America: Gated
communities in the United States », Brooking Institution Press / Lincoln
Institute of Land Policy, 1997, 209 p.<o:p></o:p></span></div>
<div class="MsoNormal" style="margin-bottom: 0.0001pt; text-align: justify;">
<span lang="EN-US" style="font-family: "Times New Roman","serif"; mso-ansi-language: EN-US;">- Bodnar.J, « The freedom of exclusion: An American
housing model in post-socialist<o:p></o:p></span></div>
<div class="MsoNormal" style="margin-bottom: 0.0001pt; text-align: justify;">
<span style="font-family: "Times New Roman","serif";">Europe
», 2005. <o:p></o:p></span></div>
<div class="MsoNormal" style="margin-bottom: 0.0001pt; text-align: justify;">
<span style="font-family: "Times New Roman","serif";">-
Brun.J, Rhein.C, « La ségrégation dans la ville », Paris, L'Harmattan, 1994, 258
p.<o:p></o:p></span></div>
<div class="MsoNormal" style="margin-bottom: 0.0001pt; text-align: justify;">
<span style="font-family: "Times New Roman","serif";">-
Capron.G, « Quand la ville se ferme; Quartiers résidentiels sécurisés », Bréal,
2006, 288 p.<o:p></o:p></span></div>
<div class="MsoNormal" style="margin-bottom: 0.0001pt; text-align: justify;">
<span style="font-family: "Times New Roman","serif";">-
Chaline.C, « Les politiques de la ville », Paris, Presses universitaires de France,
1997, 128 p.<o:p></o:p></span></div>
<div class="MsoNormal" style="margin-bottom: 0.0001pt; text-align: justify;">
<span style="font-family: "Times New Roman","serif";">-
Charmes.E, « La vie périurbaine face à la menace des gated communities »,
l'Harmattan,<o:p></o:p></span></div>
<div class="MsoNormal" style="margin-bottom: 0.0001pt; text-align: justify;">
<span lang="EN-US" style="font-family: "Times New Roman","serif"; mso-ansi-language: EN-US;">2005, 219 p.<o:p></o:p></span></div>
<div class="MsoNormal" style="margin-bottom: 0.0001pt; text-align: justify;">
<span lang="EN-US" style="font-family: "Times New Roman","serif"; mso-ansi-language: EN-US;">- Cova.B, Cova.V, « Alternatives marketing », Dunod,
2003, 224 p.<o:p></o:p></span></div>
<div class="MsoNormal" style="margin-bottom: 0.0001pt; text-align: justify;">
<span style="font-family: "Times New Roman","serif";">-
Dewintre.C., « Les ensembles résidentiels fermés: Concepts, représentations,
espaces vécus et conjoncture montpelliéraine », mémoire de master 1 Recherche
ADNT (Acteurs, Développement et Nouvelles Territorialités), Université
Montpellier III, 2008, 200 p.<o:p></o:p></span></div>
<div class="MsoNormal" style="margin-bottom: 0.0001pt; text-align: justify;">
<span style="font-family: "Times New Roman","serif";">-
Dewintre.C, «</span><span style="font-family: "Times New Roman","serif"; mso-bidi-font-family: "Times New Roman"; mso-bidi-theme-font: minor-bidi;"> Les
enjeux, modèles et processus de diffusion des enclaves résidentielles
fermées : Construction d’une typologie de la fermeture pour le quartier
d’Aiguelongue à Montpellier », </span><span style="font-family: "Times New Roman","serif";"> mémoire de master 2 Recherche ADNT (Acteurs, Développement
et Nouvelles Territorialités), Université Montpellier III, 2009, 220 p.<o:p></o:p></span></div>
<div class="MsoNormal" style="margin-bottom: 0.0001pt;">
<span style="font-family: "Times New Roman","serif";">- Donzelot.J, « La ville à trois vitesses », Revue
Esprit, Mars/avril 2004, 32 p.<o:p></o:p></span></div>
<div class="MsoNormal" style="margin-bottom: 0.0001pt;">
<span style="font-family: "Times New Roman","serif";">- Donzelot.J, « La nouvelle question urbaine »,
Esprit, n°11, novembre 1999, p 87-114.<o:p></o:p></span></div>
<div class="MsoNormal" style="margin-bottom: 0.0001pt;">
<span style="font-family: "Times New Roman","serif";">- Dorier-Apprill. E., « Vocabulaire de la ville,
Notions et références <i>»</i>, Paris, Editions du Temps, 2003, p 67-68.<o:p></o:p></span></div>
<div class="MsoNormal" style="margin-bottom: 0.0001pt;">
<span style="font-family: "Times New Roman","serif";">- Dorier-Apprill. E., Gervais-Lambony P. [Dir], « <i>Vies
citadine s »</i>, Paris, Belin (coll. Mappemonde), 2007.<o:p></o:p></span></div>
<div class="MsoNormal" style="margin-bottom: 0.0001pt;">
<span style="font-family: "Times New Roman","serif";">- Dubois, « La sureté dans les espaces publics
urbains », IAURIF/PUCA, 2001, 133 p.<o:p></o:p></span></div>
<div class="MsoNormal" style="margin-bottom: 0.0001pt;">
<span style="font-family: "Times New Roman","serif";">- Dubois-Taine.G, Chalas.Y, « La ville émergente<i>»</i>,
Paris, Editions de l’Aube, 1997.<o:p></o:p></span></div>
<div class="MsoNormal" style="margin-bottom: 0.0001pt;">
<span style="font-family: "Times New Roman","serif";">- Dureau.F, « Les systèmes résidentiels : concepts
et applications », dans « L’accès à la ville. Les mobilités en question »,
Paris, L’Harmattan, coll. Habitat et sociétés, 2002, p 355-382.<o:p></o:p></span></div>
<div class="MsoNormal">
<span style="font-family: "Times New Roman","serif";">-
Eleb.M, Violeau.J-L, « Le partage des espaces », L'Humanité, 5 décembre 2000.<o:p></o:p></span></div>
<br />
<div>
<!--[if !supportFootnotes]--><br clear="all" />
<hr align="left" size="1" width="33%" />
<!--[endif]-->
<div id="ftn1">
<div class="MsoFootnoteText">
<a href="file:///C:/Users/job/Desktop/th%C3%A8se/Articleterritoires%20CassandreDewintre.docx#_ftnref1" name="_ftn1" title=""><span class="MsoFootnoteReference"><!--[if !supportFootnotes]--><span class="MsoFootnoteReference"><span style="font-family: "Calibri","sans-serif"; font-size: 10.0pt; line-height: 115%; mso-ansi-language: FR; mso-ascii-theme-font: minor-latin; mso-bidi-font-family: "Times New Roman"; mso-bidi-language: AR-SA; mso-bidi-theme-font: minor-bidi; mso-fareast-font-family: "Times New Roman"; mso-fareast-language: FR; mso-fareast-theme-font: minor-fareast; mso-hansi-theme-font: minor-latin;">[1]</span></span><!--[endif]--></span></a>
<span style="font-size: 8.0pt; mso-ascii-font-family: Calibri; mso-bidi-font-family: Calibri; mso-hansi-font-family: Calibri;">Dorier-Apprill E., 2003, « </span><i><span style="font-family: "Calibri\,Italic"; font-size: 8.0pt; mso-bidi-font-family: "Calibri\,Italic";">Vocabulaire
de la ville, Notions et références »</span></i><span style="font-size: 8.0pt; mso-ascii-font-family: Calibri; mso-bidi-font-family: Calibri; mso-hansi-font-family: Calibri;">, Paris, Editions du Temps (pp. 67-68)</span><o:p></o:p></div>
</div>
<div id="ftn2">
<div class="MsoNormal" style="margin-bottom: 0.0001pt;">
<a href="file:///C:/Users/job/Desktop/th%C3%A8se/Articleterritoires%20CassandreDewintre.docx#_ftnref2" name="_ftn2" title=""><span class="MsoFootnoteReference"><!--[if !supportFootnotes]--><span class="MsoFootnoteReference"><span style="font-family: "Calibri","sans-serif"; font-size: 11.0pt; line-height: 115%; mso-ansi-language: FR; mso-ascii-theme-font: minor-latin; mso-bidi-font-family: "Times New Roman"; mso-bidi-language: AR-SA; mso-bidi-theme-font: minor-bidi; mso-fareast-font-family: "Times New Roman"; mso-fareast-language: FR; mso-fareast-theme-font: minor-fareast; mso-hansi-theme-font: minor-latin;">[2]</span></span><!--[endif]--></span></a>
<span style="font-size: 8.0pt; mso-ascii-font-family: Calibri; mso-bidi-font-family: Calibri; mso-hansi-font-family: Calibri;">Navez-Bouchanine F. (sous la direction
de), 2002, « </span><i><span style="font-family: "Calibri\,Italic"; font-size: 8.0pt; mso-bidi-font-family: "Calibri\,Italic";">La fragmentation en question : Des
villes entre fragmentation spatiale et fragmentation sociale », </span></i><span style="font-size: 8.0pt; mso-ascii-font-family: Calibri; mso-bidi-font-family: Calibri; mso-hansi-font-family: Calibri;">Paris, L’Harmattan et 2003, « Des villes,
entre fragmentation spatiale et fragmentation sociale : une approche</span><i><span style="font-family: "Calibri\,Italic"; font-size: 8.0pt; mso-bidi-font-family: "Calibri\,Italic";">
</span></i><span style="font-size: 8.0pt; mso-ascii-font-family: Calibri; mso-bidi-font-family: Calibri; mso-hansi-font-family: Calibri;">critique de la
fragmentation », </span><i><span style="font-family: "Calibri\,Italic"; font-size: 8.0pt; mso-bidi-font-family: "Calibri\,Italic";">in </span></i><span style="font-size: 8.0pt; mso-ascii-font-family: Calibri; mso-bidi-font-family: Calibri; mso-hansi-font-family: Calibri;">Dorier-Apprill E., 2003, </span><i><span style="font-family: "Calibri\,Italic"; font-size: 8.0pt; mso-bidi-font-family: "Calibri\,Italic";">Vocabulaire
de la ville, Notions et références</span></i><span style="font-size: 8.0pt; mso-ascii-font-family: Calibri; mso-bidi-font-family: Calibri; mso-hansi-font-family: Calibri;">, Paris, Editions du Temps, pp. 109-118.</span><i><span style="font-family: "Calibri\,Italic"; font-size: 8.0pt; mso-bidi-font-family: "Calibri\,Italic";"><o:p></o:p></span></i></div>
</div>
<div id="ftn3">
<div class="MsoFootnoteText">
<a href="file:///C:/Users/job/Desktop/th%C3%A8se/Articleterritoires%20CassandreDewintre.docx#_ftnref3" name="_ftn3" title=""><span class="MsoFootnoteReference"><!--[if !supportFootnotes]--><span class="MsoFootnoteReference"><span style="font-family: "Calibri","sans-serif"; font-size: 10.0pt; line-height: 115%; mso-ansi-language: FR; mso-ascii-theme-font: minor-latin; mso-bidi-font-family: "Times New Roman"; mso-bidi-language: AR-SA; mso-bidi-theme-font: minor-bidi; mso-fareast-font-family: "Times New Roman"; mso-fareast-language: FR; mso-fareast-theme-font: minor-fareast; mso-hansi-theme-font: minor-latin;">[3]</span></span><!--[endif]--></span></a>
<span style="font-size: 8.0pt; mso-ascii-font-family: Calibri; mso-bidi-font-family: Calibri; mso-hansi-font-family: Calibri;">Navez-Bouchanine F., 2001, </span><i><span style="font-family: "Calibri\,Italic"; font-size: 8.0pt; mso-bidi-font-family: "Calibri\,Italic";">op.
cit.</span></i><o:p></o:p></div>
</div>
<div id="ftn4">
<div class="MsoFootnoteText">
<a href="file:///C:/Users/job/Desktop/th%C3%A8se/Articleterritoires%20CassandreDewintre.docx#_ftnref4" name="_ftn4" title=""><span class="MsoFootnoteReference"><!--[if !supportFootnotes]--><span class="MsoFootnoteReference"><span style="font-family: "Calibri","sans-serif"; font-size: 10.0pt; line-height: 115%; mso-ansi-language: FR; mso-ascii-theme-font: minor-latin; mso-bidi-font-family: "Times New Roman"; mso-bidi-language: AR-SA; mso-bidi-theme-font: minor-bidi; mso-fareast-font-family: "Times New Roman"; mso-fareast-language: FR; mso-fareast-theme-font: minor-fareast; mso-hansi-theme-font: minor-latin;">[4]</span></span><!--[endif]--></span></a>
<span style="font-size: 8.0pt; mso-ascii-font-family: Calibri; mso-bidi-font-family: Calibri; mso-hansi-font-family: Calibri;">Dorier-Apprill E., Gervais-Lambony P.
(sous la direction de.), 2007, « </span><i><span style="font-family: "Calibri\,Italic"; font-size: 8.0pt; mso-bidi-font-family: "Calibri\,Italic";">Vies
citadine s »</span></i><span style="font-size: 8.0pt; mso-ascii-font-family: Calibri; mso-bidi-font-family: Calibri; mso-hansi-font-family: Calibri;">, Paris, Belin
(coll. </span><span lang="EN-US" style="font-size: 8.0pt; mso-ansi-language: EN-US; mso-ascii-font-family: Calibri; mso-bidi-font-family: Calibri; mso-hansi-font-family: Calibri;">Mappemonde).</span><span lang="EN-US"><o:p></o:p></span></div>
</div>
<div id="ftn5">
<div class="MsoNormal" style="margin-bottom: 0.0001pt;">
<a href="file:///C:/Users/job/Desktop/th%C3%A8se/Articleterritoires%20CassandreDewintre.docx#_ftnref5" name="_ftn5" title=""><span class="MsoFootnoteReference"><!--[if !supportFootnotes]--><span class="MsoFootnoteReference"><span style="font-family: "Calibri","sans-serif"; font-size: 11.0pt; line-height: 115%; mso-ansi-language: FR; mso-ascii-theme-font: minor-latin; mso-bidi-font-family: "Times New Roman"; mso-bidi-language: AR-SA; mso-bidi-theme-font: minor-bidi; mso-fareast-font-family: "Times New Roman"; mso-fareast-language: FR; mso-fareast-theme-font: minor-fareast; mso-hansi-theme-font: minor-latin;">[5]</span></span><!--[endif]--></span></a> <span lang="EN-US" style="font-size: 10.0pt; mso-ansi-language: EN-US; mso-ascii-font-family: Calibri; mso-bidi-font-family: Calibri; mso-hansi-font-family: Calibri;">Glazse.G, Webster.C, Frantz.K, « The global
spread of gated communities », Environment and Planning, n°3, 2001, p 315-412<o:p></o:p></span></div>
</div>
<div id="ftn6">
<div class="MsoNormal" style="margin-bottom: 0.0001pt;">
<a href="file:///C:/Users/job/Desktop/th%C3%A8se/Articleterritoires%20CassandreDewintre.docx#_ftnref6" name="_ftn6" title=""><span class="MsoFootnoteReference"><!--[if !supportFootnotes]--><span class="MsoFootnoteReference"><span style="font-family: "Calibri","sans-serif"; font-size: 11.0pt; line-height: 115%; mso-ansi-language: FR; mso-ascii-theme-font: minor-latin; mso-bidi-font-family: "Times New Roman"; mso-bidi-language: AR-SA; mso-bidi-theme-font: minor-bidi; mso-fareast-font-family: "Times New Roman"; mso-fareast-language: FR; mso-fareast-theme-font: minor-fareast; mso-hansi-theme-font: minor-latin;">[6]</span></span><!--[endif]--></span></a> <span lang="EN-US" style="font-size: 10.0pt; mso-ansi-language: EN-US; mso-ascii-font-family: Calibri; mso-bidi-font-family: Calibri; mso-hansi-font-family: Calibri;">Low.S, « Unlocking the gated communities :
Moral minimalism and Social Disorder in gated communities in<o:p></o:p></span></div>
<div class="MsoFootnoteText">
<span lang="EN-US">the United States and Mexico », 2002</span><span lang="EN-US"><o:p></o:p></span></div>
</div>
<div id="ftn7">
<div class="MsoFootnoteText">
<a href="file:///C:/Users/job/Desktop/th%C3%A8se/Articleterritoires%20CassandreDewintre.docx#_ftnref7" name="_ftn7" title=""><span class="MsoFootnoteReference"><!--[if !supportFootnotes]--><span class="MsoFootnoteReference"><span style="font-family: "Calibri","sans-serif"; font-size: 10.0pt; line-height: 115%; mso-ansi-language: FR; mso-ascii-theme-font: minor-latin; mso-bidi-font-family: "Times New Roman"; mso-bidi-language: AR-SA; mso-bidi-theme-font: minor-bidi; mso-fareast-font-family: "Times New Roman"; mso-fareast-language: FR; mso-fareast-theme-font: minor-fareast; mso-hansi-theme-font: minor-latin;">[7]</span></span><!--[endif]--></span></a> <span style="font-size: 6.5pt; mso-ansi-language: EN-US; mso-ascii-font-family: Calibri; mso-bidi-font-family: Calibri; mso-hansi-font-family: Calibri;"> </span><span lang="EN-US">Degoutin.S, « Los Angeles
and the logic of the private urban system”, 2005</span><span lang="EN-US"><o:p></o:p></span></div>
</div>
<div id="ftn8">
<div class="MsoNormal" style="margin-bottom: 0.0001pt;">
<a href="file:///C:/Users/job/Desktop/th%C3%A8se/Articleterritoires%20CassandreDewintre.docx#_ftnref8" name="_ftn8" title=""><span class="MsoFootnoteReference"><!--[if !supportFootnotes]--><span class="MsoFootnoteReference"><span style="font-family: "Calibri","sans-serif"; font-size: 11.0pt; line-height: 115%; mso-ansi-language: FR; mso-ascii-theme-font: minor-latin; mso-bidi-font-family: "Times New Roman"; mso-bidi-language: AR-SA; mso-bidi-theme-font: minor-bidi; mso-fareast-font-family: "Times New Roman"; mso-fareast-language: FR; mso-fareast-theme-font: minor-fareast; mso-hansi-theme-font: minor-latin;">[8]</span></span><!--[endif]--></span></a> <span lang="EN-US" style="font-size: 10.0pt; mso-ansi-language: EN-US; mso-ascii-font-family: Calibri; mso-bidi-font-family: Calibri; mso-hansi-font-family: Calibri;">Blakely.E.J, Snyder.M.G, « Fortress America :
Gated Communities in the United States », Cambridge, Washington, Brooking
Institution Press, Lincoln Institute of Land Policy, 1997<o:p></o:p></span></div>
</div>
<div id="ftn9">
<div class="MsoNormal" style="margin-bottom: 0.0001pt;">
<a href="file:///C:/Users/job/Desktop/th%C3%A8se/Articleterritoires%20CassandreDewintre.docx#_ftnref9" name="_ftn9" title=""><span class="MsoFootnoteReference"><!--[if !supportFootnotes]--><span class="MsoFootnoteReference"><span style="font-family: "Calibri","sans-serif"; font-size: 11.0pt; line-height: 115%; mso-ansi-language: FR; mso-ascii-theme-font: minor-latin; mso-bidi-font-family: "Times New Roman"; mso-bidi-language: AR-SA; mso-bidi-theme-font: minor-bidi; mso-fareast-font-family: "Times New Roman"; mso-fareast-language: FR; mso-fareast-theme-font: minor-fareast; mso-hansi-theme-font: minor-latin;">[9]</span></span><!--[endif]--></span></a>
<span style="font-family: "Arial","sans-serif"; font-size: 8.0pt;">Billard.G,
Chevalier.J, Madoré.F, (2005), « <i>Ville fermée, ville surveillée »</i>,
Presses universitaires de Rennes, 230 p<o:p></o:p></span></div>
</div>
<div id="ftn10">
<div class="MsoFootnoteText">
<a href="file:///C:/Users/job/Desktop/th%C3%A8se/Articleterritoires%20CassandreDewintre.docx#_ftnref10" name="_ftn10" title=""><span class="MsoFootnoteReference"><!--[if !supportFootnotes]--><span class="MsoFootnoteReference"><span style="font-family: "Calibri","sans-serif"; font-size: 10.0pt; line-height: 115%; mso-ansi-language: FR; mso-ascii-theme-font: minor-latin; mso-bidi-font-family: "Times New Roman"; mso-bidi-language: AR-SA; mso-bidi-theme-font: minor-bidi; mso-fareast-font-family: "Times New Roman"; mso-fareast-language: FR; mso-fareast-theme-font: minor-fareast; mso-hansi-theme-font: minor-latin;">[10]</span></span><!--[endif]--></span></a>
Ghorra-Gobin.C, « Etats-Unis : gated communities
et private cities », Urbanisme, n°312, 2000, p 67-69<o:p></o:p></div>
</div>
<div id="ftn11">
<div class="MsoNormal" style="margin-bottom: 0.0001pt;">
<a href="file:///C:/Users/job/Desktop/th%C3%A8se/Articleterritoires%20CassandreDewintre.docx#_ftnref11" name="_ftn11" title=""><span class="MsoFootnoteReference"><!--[if !supportFootnotes]--><span class="MsoFootnoteReference"><span style="font-family: "Calibri","sans-serif"; font-size: 11.0pt; line-height: 115%; mso-ansi-language: FR; mso-ascii-theme-font: minor-latin; mso-bidi-font-family: "Times New Roman"; mso-bidi-language: AR-SA; mso-bidi-theme-font: minor-bidi; mso-fareast-font-family: "Times New Roman"; mso-fareast-language: FR; mso-fareast-theme-font: minor-fareast; mso-hansi-theme-font: minor-latin;">[11]</span></span><!--[endif]--></span></a>
<span style="font-size: 10.0pt; mso-ascii-font-family: Calibri; mso-bidi-font-family: Calibri; mso-hansi-font-family: Calibri;">Le Goix.R, « Les communautés fermées dans
les villes des Etats-Unis. Aspects géographiques d’une sécession urbaine »,
l’Espace géographique, n°1, 2001, p 81-93<o:p></o:p></span></div>
</div>
<div id="ftn12">
<div class="MsoNormal" style="margin-bottom: 0.0001pt;">
<a href="file:///C:/Users/job/Desktop/th%C3%A8se/Articleterritoires%20CassandreDewintre.docx#_ftnref12" name="_ftn12" title=""><span class="MsoFootnoteReference"><!--[if !supportFootnotes]--><span class="MsoFootnoteReference"><span style="font-family: "Calibri","sans-serif"; font-size: 11.0pt; line-height: 115%; mso-ansi-language: FR; mso-ascii-theme-font: minor-latin; mso-bidi-font-family: "Times New Roman"; mso-bidi-language: AR-SA; mso-bidi-theme-font: minor-bidi; mso-fareast-font-family: "Times New Roman"; mso-fareast-language: FR; mso-fareast-theme-font: minor-fareast; mso-hansi-theme-font: minor-latin;">[12]</span></span><!--[endif]--></span></a>
<span style="font-size: 10.0pt; mso-ascii-font-family: Calibri; mso-bidi-font-family: Calibri; mso-hansi-font-family: Calibri;">Prévôt-Schapira .M-F, « Amérique Latine.
Les quartiers privés comme objet de recherche », Urbanisme, n°337, 2004, p
64-66<o:p></o:p></span></div>
</div>
<div id="ftn13">
<div class="MsoNormal" style="margin-bottom: 0.0001pt;">
<a href="file:///C:/Users/job/Desktop/th%C3%A8se/Articleterritoires%20CassandreDewintre.docx#_ftnref13" name="_ftn13" title=""><span class="MsoFootnoteReference"><!--[if !supportFootnotes]--><span class="MsoFootnoteReference"><span style="font-family: "Calibri","sans-serif"; font-size: 11.0pt; line-height: 115%; mso-ansi-language: FR; mso-ascii-theme-font: minor-latin; mso-bidi-font-family: "Times New Roman"; mso-bidi-language: AR-SA; mso-bidi-theme-font: minor-bidi; mso-fareast-font-family: "Times New Roman"; mso-fareast-language: FR; mso-fareast-theme-font: minor-fareast; mso-hansi-theme-font: minor-latin;">[13]</span></span><!--[endif]--></span></a>
<span style="font-size: 10.0pt; mso-ascii-font-family: Calibri; mso-bidi-font-family: Calibri; mso-hansi-font-family: Calibri;">Caldeira.T, « Un nouveau modèle de
ségrégation spatiale : les murs de São Paulo », Revues internationale des
sciences sociales, n°147, 1996, p 75-77<o:p></o:p></span></div>
</div>
<div id="ftn14">
<div class="MsoNormal" style="margin-bottom: 0.0001pt;">
<a href="file:///C:/Users/job/Desktop/th%C3%A8se/Articleterritoires%20CassandreDewintre.docx#_ftnref14" name="_ftn14" title=""><span class="MsoFootnoteReference"><!--[if !supportFootnotes]--><span class="MsoFootnoteReference"><span style="font-family: "Calibri","sans-serif"; font-size: 11.0pt; line-height: 115%; mso-ansi-language: FR; mso-ascii-theme-font: minor-latin; mso-bidi-font-family: "Times New Roman"; mso-bidi-language: AR-SA; mso-bidi-theme-font: minor-bidi; mso-fareast-font-family: "Times New Roman"; mso-fareast-language: FR; mso-fareast-theme-font: minor-fareast; mso-hansi-theme-font: minor-latin;">[14]</span></span><!--[endif]--></span></a>
<span style="font-size: 10.0pt; mso-ascii-font-family: Calibri; mso-bidi-font-family: Calibri; mso-hansi-font-family: Calibri;">Thuillier.G, « Les quartiers enclos à
Buenos Aires : quand la ville devient country », Cahiers des Amériques latines,
n°35, 2001, p 41-56<o:p></o:p></span></div>
</div>
<div id="ftn15">
<div class="MsoNormal" style="margin-bottom: 0.0001pt;">
<a href="file:///C:/Users/job/Desktop/th%C3%A8se/Articleterritoires%20CassandreDewintre.docx#_ftnref15" name="_ftn15" title=""><span class="MsoFootnoteReference"><!--[if !supportFootnotes]--><span class="MsoFootnoteReference"><span style="font-family: "Calibri","sans-serif"; font-size: 11.0pt; line-height: 115%; mso-ansi-language: FR; mso-ascii-theme-font: minor-latin; mso-bidi-font-family: "Times New Roman"; mso-bidi-language: AR-SA; mso-bidi-theme-font: minor-bidi; mso-fareast-font-family: "Times New Roman"; mso-fareast-language: FR; mso-fareast-theme-font: minor-fareast; mso-hansi-theme-font: minor-latin;">[15]</span></span><!--[endif]--></span></a>
<span style="font-size: 10.0pt; mso-ascii-font-family: Calibri; mso-bidi-font-family: Calibri; mso-hansi-font-family: Calibri;">Guerrien.M, « Transformation et
fragmentation des espaces urbains. Le cas de la zone métropolitaine du bassin
de Mexico », l’Espace géographique n°4, 2004, p 336-352<o:p></o:p></span></div>
</div>
<div id="ftn16">
<div class="MsoNormal" style="margin-bottom: 0.0001pt;">
<a href="file:///C:/Users/job/Desktop/th%C3%A8se/Articleterritoires%20CassandreDewintre.docx#_ftnref16" name="_ftn16" title=""><span class="MsoFootnoteReference"><!--[if !supportFootnotes]--><span class="MsoFootnoteReference"><span style="font-family: "Calibri","sans-serif"; font-size: 11.0pt; line-height: 115%; mso-ansi-language: FR; mso-ascii-theme-font: minor-latin; mso-bidi-font-family: "Times New Roman"; mso-bidi-language: AR-SA; mso-bidi-theme-font: minor-bidi; mso-fareast-font-family: "Times New Roman"; mso-fareast-language: FR; mso-fareast-theme-font: minor-fareast; mso-hansi-theme-font: minor-latin;">[16]</span></span><!--[endif]--></span></a> <span lang="EN-US" style="font-size: 10.0pt; mso-ansi-language: EN-US; mso-ascii-font-family: Calibri; mso-bidi-font-family: Calibri; mso-hansi-font-family: Calibri;">Plöger.J, « The emergence of a city of cages –
Informal measures of socio-spatial control in the neighbourhoods of Lima,
Peru”, 2005<o:p></o:p></span></div>
</div>
<div id="ftn17">
<div class="MsoNormal" style="margin-bottom: 0.0001pt;">
<a href="file:///C:/Users/job/Desktop/th%C3%A8se/Articleterritoires%20CassandreDewintre.docx#_ftnref17" name="_ftn17" title=""><span class="MsoFootnoteReference"><!--[if !supportFootnotes]--><span class="MsoFootnoteReference"><span style="font-family: "Calibri","sans-serif"; font-size: 11.0pt; line-height: 115%; mso-ansi-language: FR; mso-ascii-theme-font: minor-latin; mso-bidi-font-family: "Times New Roman"; mso-bidi-language: AR-SA; mso-bidi-theme-font: minor-bidi; mso-fareast-font-family: "Times New Roman"; mso-fareast-language: FR; mso-fareast-theme-font: minor-fareast; mso-hansi-theme-font: minor-latin;">[17]</span></span><!--[endif]--></span></a>
<span style="font-size: 10.0pt; mso-ascii-font-family: Calibri; mso-bidi-font-family: Calibri; mso-hansi-font-family: Calibri;">Dureau.F, « Bogota : des stratégies
résidentielles très diverses marquées par une inégale maîtrise de l’espace »,
Métropoles en mouvement, Paris, Anthropos, 2000, p 165-173<o:p></o:p></span></div>
</div>
<div id="ftn18">
<div class="MsoFootnoteText">
<a href="file:///C:/Users/job/Desktop/th%C3%A8se/Articleterritoires%20CassandreDewintre.docx#_ftnref18" name="_ftn18" title=""><span class="MsoFootnoteReference"><!--[if !supportFootnotes]--><span class="MsoFootnoteReference"><span style="font-family: "Calibri","sans-serif"; font-size: 10.0pt; line-height: 115%; mso-ansi-language: FR; mso-ascii-theme-font: minor-latin; mso-bidi-font-family: "Times New Roman"; mso-bidi-language: AR-SA; mso-bidi-theme-font: minor-bidi; mso-fareast-font-family: "Times New Roman"; mso-fareast-language: FR; mso-fareast-theme-font: minor-fareast; mso-hansi-theme-font: minor-latin;">[18]</span></span><!--[endif]--></span></a>
<span style="font-family: "Arial","sans-serif";">Prêvot-Schapira M-F, « Amérique
latine : la ville fragmentée, Esprit, n°11, 1999, p128-144</span><o:p></o:p></div>
</div>
<div id="ftn19">
<div class="MsoNormal" style="margin-bottom: 0.0001pt;">
<a href="file:///C:/Users/job/Desktop/th%C3%A8se/Articleterritoires%20CassandreDewintre.docx#_ftnref19" name="_ftn19" title=""><span class="MsoFootnoteReference"><!--[if !supportFootnotes]--><span class="MsoFootnoteReference"><span style="font-family: "Calibri","sans-serif"; font-size: 11.0pt; line-height: 115%; mso-ansi-language: FR; mso-ascii-theme-font: minor-latin; mso-bidi-font-family: "Times New Roman"; mso-bidi-language: AR-SA; mso-bidi-theme-font: minor-bidi; mso-fareast-font-family: "Times New Roman"; mso-fareast-language: FR; mso-fareast-theme-font: minor-fareast; mso-hansi-theme-font: minor-latin;">[19]</span></span><!--[endif]--></span></a>
<span style="font-size: 10.0pt; mso-ascii-font-family: Calibri; mso-bidi-font-family: Calibri; mso-hansi-font-family: Calibri;">Pérouse De Montclos, « Afrique : ghettos
dorés et quartiers du pouvoir », Urbanisme, n°312, 2000, p 78-81<o:p></o:p></span></div>
</div>
<div id="ftn20">
<div class="MsoNormal" style="margin-bottom: 0.0001pt;">
<a href="file:///C:/Users/job/Desktop/th%C3%A8se/Articleterritoires%20CassandreDewintre.docx#_ftnref20" name="_ftn20" title=""><span class="MsoFootnoteReference"><!--[if !supportFootnotes]--><span class="MsoFootnoteReference"><span style="font-family: "Calibri","sans-serif"; font-size: 11.0pt; line-height: 115%; mso-ansi-language: FR; mso-ascii-theme-font: minor-latin; mso-bidi-font-family: "Times New Roman"; mso-bidi-language: AR-SA; mso-bidi-theme-font: minor-bidi; mso-fareast-font-family: "Times New Roman"; mso-fareast-language: FR; mso-fareast-theme-font: minor-fareast; mso-hansi-theme-font: minor-latin;">[20]</span></span><!--[endif]--></span></a>
<span style="font-size: 10.0pt; mso-ascii-font-family: Calibri; mso-bidi-font-family: Calibri; mso-hansi-font-family: Calibri;">Bénit.C, « Johannesburg : déségrégation
raciale, ségrégation sociale ? La banalisation des mobilités résidentielles
dans la ville d’apartheid », Métropoles en mouvement, Paris, Anthropos, 2000, p
269-280<o:p></o:p></span></div>
</div>
<div id="ftn21">
<div class="MsoNormal" style="margin-bottom: 0.0001pt;">
<a href="file:///C:/Users/job/Desktop/th%C3%A8se/Articleterritoires%20CassandreDewintre.docx#_ftnref21" name="_ftn21" title=""><span class="MsoFootnoteReference"><!--[if !supportFootnotes]--><span class="MsoFootnoteReference"><span style="font-family: "Calibri","sans-serif"; font-size: 11.0pt; line-height: 115%; mso-ansi-language: FR; mso-ascii-theme-font: minor-latin; mso-bidi-font-family: "Times New Roman"; mso-bidi-language: AR-SA; mso-bidi-theme-font: minor-bidi; mso-fareast-font-family: "Times New Roman"; mso-fareast-language: FR; mso-fareast-theme-font: minor-fareast; mso-hansi-theme-font: minor-latin;">[21]</span></span><!--[endif]--></span></a> <span lang="EN-US" style="font-size: 10.0pt; mso-ansi-language: EN-US; mso-ascii-font-family: Calibri; mso-bidi-font-family: Calibri; mso-hansi-font-family: Calibri;">Oluseyi.F.O, « Privatization of security and
gate neighbourhoods in Nigéria : a pilot survey of Ibadan metropolis », 2005<o:p></o:p></span></div>
</div>
<div id="ftn22">
<div class="MsoNormal" style="margin-bottom: 0.0001pt;">
<a href="file:///C:/Users/job/Desktop/th%C3%A8se/Articleterritoires%20CassandreDewintre.docx#_ftnref22" name="_ftn22" title=""><span class="MsoFootnoteReference"><!--[if !supportFootnotes]--><span class="MsoFootnoteReference"><span style="font-family: "Calibri","sans-serif"; font-size: 11.0pt; line-height: 115%; mso-ansi-language: FR; mso-ascii-theme-font: minor-latin; mso-bidi-font-family: "Times New Roman"; mso-bidi-language: AR-SA; mso-bidi-theme-font: minor-bidi; mso-fareast-font-family: "Times New Roman"; mso-fareast-language: FR; mso-fareast-theme-font: minor-fareast; mso-hansi-theme-font: minor-latin;">[22]</span></span><!--[endif]--></span></a> <span lang="EN-US" style="font-size: 10.0pt; mso-ansi-language: EN-US; mso-ascii-font-family: Calibri; mso-bidi-font-family: Calibri; mso-hansi-font-family: Calibri;">Grant.R.J, « The rise of gated communities in
Accra, Ghana : Between economic and globalisation and local land markets »,
2005<o:p></o:p></span></div>
</div>
<div id="ftn23">
<div class="MsoFootnoteText">
<a href="file:///C:/Users/job/Desktop/th%C3%A8se/Articleterritoires%20CassandreDewintre.docx#_ftnref23" name="_ftn23" title=""><span class="MsoFootnoteReference"><!--[if !supportFootnotes]--><span class="MsoFootnoteReference"><span style="font-family: "Calibri","sans-serif"; font-size: 10.0pt; line-height: 115%; mso-ansi-language: FR; mso-ascii-theme-font: minor-latin; mso-bidi-font-family: "Times New Roman"; mso-bidi-language: AR-SA; mso-bidi-theme-font: minor-bidi; mso-fareast-font-family: "Times New Roman"; mso-fareast-language: FR; mso-fareast-theme-font: minor-fareast; mso-hansi-theme-font: minor-latin;">[23]</span></span><!--[endif]--></span></a> <span lang="EN-US">Meyer.G, « Gated Communities in Egypt », 1999</span><span lang="EN-US"><o:p></o:p></span></div>
</div>
<div id="ftn24">
<div class="MsoNormal" style="margin-bottom: 0.0001pt;">
<a href="file:///C:/Users/job/Desktop/th%C3%A8se/Articleterritoires%20CassandreDewintre.docx#_ftnref24" name="_ftn24" title=""><span class="MsoFootnoteReference"><!--[if !supportFootnotes]--><span class="MsoFootnoteReference"><span style="font-family: "Calibri","sans-serif"; font-size: 11.0pt; line-height: 115%; mso-ansi-language: FR; mso-ascii-theme-font: minor-latin; mso-bidi-font-family: "Times New Roman"; mso-bidi-language: AR-SA; mso-bidi-theme-font: minor-bidi; mso-fareast-font-family: "Times New Roman"; mso-fareast-language: FR; mso-fareast-theme-font: minor-fareast; mso-hansi-theme-font: minor-latin;">[24]</span></span><!--[endif]--></span></a>
<span style="font-family: "Arial","sans-serif"; font-size: 10.0pt;">Glasze.G, «
l’essor planétaire des espaces résidentiels sécurisés », Etudes foncières,
n°101, 2003,<o:p></o:p></span></div>
<div class="MsoFootnoteText">
<span style="font-family: "Arial","sans-serif";">p8-13</span><o:p></o:p></div>
</div>
<div id="ftn25">
<div class="MsoNormal" style="margin-bottom: 0.0001pt;">
<a href="file:///C:/Users/job/Desktop/th%C3%A8se/Articleterritoires%20CassandreDewintre.docx#_ftnref25" name="_ftn25" title=""><span class="MsoFootnoteReference"><!--[if !supportFootnotes]--><span class="MsoFootnoteReference"><span style="font-family: "Calibri","sans-serif"; font-size: 11.0pt; line-height: 115%; mso-ansi-language: FR; mso-ascii-theme-font: minor-latin; mso-bidi-font-family: "Times New Roman"; mso-bidi-language: AR-SA; mso-bidi-theme-font: minor-bidi; mso-fareast-font-family: "Times New Roman"; mso-fareast-language: FR; mso-fareast-theme-font: minor-fareast; mso-hansi-theme-font: minor-latin;">[25]</span></span><!--[endif]--></span></a>
<span style="font-size: 10.0pt; mso-ascii-font-family: Calibri; mso-bidi-font-family: Calibri; mso-hansi-font-family: Calibri;">Dupont.V, « Delhi : une dynamique de
peuplement centrifuge », Métropoles en mouvement, Paris, Anthropos, 2000, p
93-103<o:p></o:p></span></div>
</div>
<div id="ftn26">
<div class="MsoFootnoteText">
<a href="file:///C:/Users/job/Desktop/th%C3%A8se/Articleterritoires%20CassandreDewintre.docx#_ftnref26" name="_ftn26" title=""><span class="MsoFootnoteReference"><!--[if !supportFootnotes]--><span class="MsoFootnoteReference"><span style="font-family: "Calibri","sans-serif"; font-size: 10.0pt; line-height: 115%; mso-ansi-language: FR; mso-ascii-theme-font: minor-latin; mso-bidi-font-family: "Times New Roman"; mso-bidi-language: AR-SA; mso-bidi-theme-font: minor-bidi; mso-fareast-font-family: "Times New Roman"; mso-fareast-language: FR; mso-fareast-theme-font: minor-fareast; mso-hansi-theme-font: minor-latin;">[26]</span></span><!--[endif]--></span></a> <span lang="EN-US">Leisch.H, « Gated Communities in Indonesia », 1999</span><span lang="EN-US"><o:p></o:p></span></div>
</div>
<div id="ftn27">
<div class="MsoNormal" style="margin-bottom: 0.0001pt;">
<a href="file:///C:/Users/job/Desktop/th%C3%A8se/Articleterritoires%20CassandreDewintre.docx#_ftnref27" name="_ftn27" title=""><span class="MsoFootnoteReference"><!--[if !supportFootnotes]--><span class="MsoFootnoteReference"><span style="font-family: "Calibri","sans-serif"; font-size: 11.0pt; line-height: 115%; mso-ansi-language: FR; mso-ascii-theme-font: minor-latin; mso-bidi-font-family: "Times New Roman"; mso-bidi-language: AR-SA; mso-bidi-theme-font: minor-bidi; mso-fareast-font-family: "Times New Roman"; mso-fareast-language: FR; mso-fareast-theme-font: minor-fareast; mso-hansi-theme-font: minor-latin;">[27]</span></span><!--[endif]--></span></a>
<span style="font-size: 10.0pt; mso-ascii-font-family: Calibri; mso-bidi-font-family: Calibri; mso-hansi-font-family: Calibri;">Giroir.G, « Le phénomène des gated
communities à Pékin, ou les nouvelles cités interdites », Bulletin de l’Association
des Géographes Français, n°4, 2002, p 423-436<o:p></o:p></span></div>
</div>
<div id="ftn28">
<div class="MsoFootnoteText">
<a href="file:///C:/Users/job/Desktop/th%C3%A8se/Articleterritoires%20CassandreDewintre.docx#_ftnref28" name="_ftn28" title=""><span class="MsoFootnoteReference"><!--[if !supportFootnotes]--><span class="MsoFootnoteReference"><span style="font-family: "Calibri","sans-serif"; font-size: 10.0pt; line-height: 115%; mso-ansi-language: FR; mso-ascii-theme-font: minor-latin; mso-bidi-font-family: "Times New Roman"; mso-bidi-language: AR-SA; mso-bidi-theme-font: minor-bidi; mso-fareast-font-family: "Times New Roman"; mso-fareast-language: FR; mso-fareast-theme-font: minor-fareast; mso-hansi-theme-font: minor-latin;">[28]</span></span><!--[endif]--></span></a> <span lang="EN-US">Billard.G, Madoré.F, « Fortress Australia », Urbanisme, n°337, 2004, p
56-60</span><span lang="EN-US"><o:p></o:p></span></div>
</div>
<div id="ftn29">
<div class="MsoNormal" style="margin-bottom: 0.0001pt;">
<a href="file:///C:/Users/job/Desktop/th%C3%A8se/Articleterritoires%20CassandreDewintre.docx#_ftnref29" name="_ftn29" title=""><span class="MsoFootnoteReference"><!--[if !supportFootnotes]--><span class="MsoFootnoteReference"><span style="font-family: "Calibri","sans-serif"; font-size: 11.0pt; line-height: 115%; mso-ansi-language: FR; mso-ascii-theme-font: minor-latin; mso-bidi-font-family: "Times New Roman"; mso-bidi-language: AR-SA; mso-bidi-theme-font: minor-bidi; mso-fareast-font-family: "Times New Roman"; mso-fareast-language: FR; mso-fareast-theme-font: minor-fareast; mso-hansi-theme-font: minor-latin;">[29]</span></span><!--[endif]--></span></a>
<span style="font-size: 10.0pt; mso-ascii-font-family: Calibri; mso-bidi-font-family: Calibri; mso-hansi-font-family: Calibri;">Jaillet.M-C, « Peut-on parler de
sécession urbaine à propos des villes européennes ? », Esprit, n°11, 1999, p<o:p></o:p></span></div>
<div class="MsoFootnoteText">
<span lang="EN-US">145-167</span><span lang="EN-US"><o:p></o:p></span></div>
</div>
<div id="ftn30">
<div class="MsoFootnoteText">
<a href="file:///C:/Users/job/Desktop/th%C3%A8se/Articleterritoires%20CassandreDewintre.docx#_ftnref30" name="_ftn30" title=""><span class="MsoFootnoteReference"><!--[if !supportFootnotes]--><span class="MsoFootnoteReference"><span style="font-family: "Calibri","sans-serif"; font-size: 10.0pt; line-height: 115%; mso-ansi-language: FR; mso-ascii-theme-font: minor-latin; mso-bidi-font-family: "Times New Roman"; mso-bidi-language: AR-SA; mso-bidi-theme-font: minor-bidi; mso-fareast-font-family: "Times New Roman"; mso-fareast-language: FR; mso-fareast-theme-font: minor-fareast; mso-hansi-theme-font: minor-latin;">[30]</span></span><!--[endif]--></span></a> <span lang="EN-US">Wehrhahn.R « Gated Communities in Madrid. Origin and causes of the
actual expansion”, 2002</span><span lang="EN-US"><o:p></o:p></span></div>
</div>
<div id="ftn31">
<div class="MsoNormal" style="margin-bottom: 0.0001pt;">
<a href="file:///C:/Users/job/Desktop/th%C3%A8se/Articleterritoires%20CassandreDewintre.docx#_ftnref31" name="_ftn31" title=""><span class="MsoFootnoteReference"><!--[if !supportFootnotes]--><span class="MsoFootnoteReference"><span style="font-family: "Calibri","sans-serif"; font-size: 11.0pt; line-height: 115%; mso-ansi-language: FR; mso-ascii-theme-font: minor-latin; mso-bidi-font-family: "Times New Roman"; mso-bidi-language: AR-SA; mso-bidi-theme-font: minor-bidi; mso-fareast-font-family: "Times New Roman"; mso-fareast-language: FR; mso-fareast-theme-font: minor-fareast; mso-hansi-theme-font: minor-latin;">[31]</span></span><!--[endif]--></span></a> <span lang="EN-US" style="font-size: 10.0pt; mso-ansi-language: EN-US; mso-ascii-font-family: Calibri; mso-bidi-font-family: Calibri; mso-hansi-font-family: Calibri;">Al-Hamarneh.A, « From Government Datcha
Settlements of the Apparatchiks to the gated communities of the New
Russians-the development of gated communities in Russia and the Ukraine”, 1999<o:p></o:p></span></div>
</div>
<div id="ftn32">
<div class="MsoFootnoteText">
<a href="file:///C:/Users/job/Desktop/th%C3%A8se/Articleterritoires%20CassandreDewintre.docx#_ftnref32" name="_ftn32" title=""><span class="MsoFootnoteReference"><!--[if !supportFootnotes]--><span class="MsoFootnoteReference"><span style="font-family: "Calibri","sans-serif"; font-size: 10.0pt; line-height: 115%; mso-ansi-language: FR; mso-ascii-theme-font: minor-latin; mso-bidi-font-family: "Times New Roman"; mso-bidi-language: AR-SA; mso-bidi-theme-font: minor-bidi; mso-fareast-font-family: "Times New Roman"; mso-fareast-language: FR; mso-fareast-theme-font: minor-fareast; mso-hansi-theme-font: minor-latin;">[32]</span></span><!--[endif]--></span></a> <span lang="EN-US">Bodnar.J, « The freedom of exclusion : An American housing model in
post-socialist Europe », 2005</span><span lang="EN-US"><o:p></o:p></span></div>
</div>
<div id="ftn33">
<div class="MsoFootnoteText">
<a href="file:///C:/Users/job/Desktop/th%C3%A8se/Articleterritoires%20CassandreDewintre.docx#_ftnref33" name="_ftn33" title=""><span class="MsoFootnoteReference"><!--[if !supportFootnotes]--><span class="MsoFootnoteReference"><span style="font-family: "Calibri","sans-serif"; font-size: 10.0pt; line-height: 115%; mso-ansi-language: FR; mso-ascii-theme-font: minor-latin; mso-bidi-font-family: "Times New Roman"; mso-bidi-language: AR-SA; mso-bidi-theme-font: minor-bidi; mso-fareast-font-family: "Times New Roman"; mso-fareast-language: FR; mso-fareast-theme-font: minor-fareast; mso-hansi-theme-font: minor-latin;">[33]</span></span><!--[endif]--></span></a>
Besset.J-P, Krémer.P, « Le nouvel attrait pour
les résidences sécurisées », Le Monde, 15 mai 1999<o:p></o:p></div>
</div>
<div id="ftn34">
<div class="MsoFootnoteText">
<a href="file:///C:/Users/job/Desktop/th%C3%A8se/Articleterritoires%20CassandreDewintre.docx#_ftnref34" name="_ftn34" title=""><span class="MsoFootnoteReference"><!--[if !supportFootnotes]--><span class="MsoFootnoteReference"><span style="font-family: "Calibri","sans-serif"; font-size: 10.0pt; line-height: 115%; mso-ansi-language: FR; mso-ascii-theme-font: minor-latin; mso-bidi-font-family: "Times New Roman"; mso-bidi-language: AR-SA; mso-bidi-theme-font: minor-bidi; mso-fareast-font-family: "Times New Roman"; mso-fareast-language: FR; mso-fareast-theme-font: minor-fareast; mso-hansi-theme-font: minor-latin;">[34]</span></span><!--[endif]--></span></a>
Belmessous.H, « France : ségrégation haut de
gamme », Urbanisme, n°312, 2000, p 62-66<o:p></o:p></div>
</div>
<div id="ftn35">
<div class="MsoNormal" style="margin-bottom: 0.0001pt;">
<a href="file:///C:/Users/job/Desktop/th%C3%A8se/Articleterritoires%20CassandreDewintre.docx#_ftnref35" name="_ftn35" title=""><span class="MsoFootnoteReference"><!--[if !supportFootnotes]--><span class="MsoFootnoteReference"><span style="font-family: "Calibri","sans-serif"; font-size: 11.0pt; line-height: 115%; mso-ansi-language: FR; mso-ascii-theme-font: minor-latin; mso-bidi-font-family: "Times New Roman"; mso-bidi-language: AR-SA; mso-bidi-theme-font: minor-bidi; mso-fareast-font-family: "Times New Roman"; mso-fareast-language: FR; mso-fareast-theme-font: minor-fareast; mso-hansi-theme-font: minor-latin;">[35]</span></span><!--[endif]--></span></a>
<span style="font-size: 10.0pt; mso-ascii-font-family: Calibri; mso-bidi-font-family: Calibri; mso-hansi-font-family: Calibri;">Belmessous.H, « Des villes privées à la
française. Voyage à travers les forteresses des riches », Le Monde
diplomatique, n°584, 2002<o:p></o:p></span></div>
</div>
<div id="ftn36">
<div class="MsoNormal" style="margin-bottom: 0.0001pt;">
<a href="file:///C:/Users/job/Desktop/th%C3%A8se/Articleterritoires%20CassandreDewintre.docx#_ftnref36" name="_ftn36" title=""><span class="MsoFootnoteReference"><!--[if !supportFootnotes]--><span class="MsoFootnoteReference"><span style="font-family: "Calibri","sans-serif"; font-size: 11.0pt; line-height: 115%; mso-ansi-language: FR; mso-ascii-theme-font: minor-latin; mso-bidi-font-family: "Times New Roman"; mso-bidi-language: AR-SA; mso-bidi-theme-font: minor-bidi; mso-fareast-font-family: "Times New Roman"; mso-fareast-language: FR; mso-fareast-theme-font: minor-fareast; mso-hansi-theme-font: minor-latin;">[36]</span></span><!--[endif]--></span></a>
<span style="font-size: 10.0pt; mso-ascii-font-family: Calibri; mso-bidi-font-family: Calibri; mso-hansi-font-family: Calibri;">Mathieu.M, « Des habitants du Var
protestent contre la construction d’un ghetto pour millionnaires », Le<o:p></o:p></span></div>
<div class="MsoFootnoteText">
Monde, 22 août 2001<o:p></o:p></div>
</div>
<div id="ftn37">
<div class="MsoNormal" style="margin-bottom: 0.0001pt;">
<a href="file:///C:/Users/job/Desktop/th%C3%A8se/Articleterritoires%20CassandreDewintre.docx#_ftnref37" name="_ftn37" title=""><span class="MsoFootnoteReference"><!--[if !supportFootnotes]--><span class="MsoFootnoteReference"><span style="font-family: "Calibri","sans-serif"; font-size: 11.0pt; line-height: 115%; mso-ansi-language: FR; mso-ascii-theme-font: minor-latin; mso-bidi-font-family: "Times New Roman"; mso-bidi-language: AR-SA; mso-bidi-theme-font: minor-bidi; mso-fareast-font-family: "Times New Roman"; mso-fareast-language: FR; mso-fareast-theme-font: minor-fareast; mso-hansi-theme-font: minor-latin;">[37]</span></span><!--[endif]--></span></a>
<span style="font-size: 10.0pt; mso-ascii-font-family: Calibri; mso-bidi-font-family: Calibri; mso-hansi-font-family: Calibri;">Pinçon.M, Pinçon-Charlot.M, « Propriétés
individuelles et gestion collective. Les lotissements chics », Les<o:p></o:p></span></div>
<div class="MsoFootnoteText">
Annales de la Recherche Urbaine, n°65,
1994, p 35-46<o:p></o:p></div>
</div>
<div id="ftn38">
<div class="MsoNormal" style="margin-bottom: 0.0001pt;">
<a href="file:///C:/Users/job/Desktop/th%C3%A8se/Articleterritoires%20CassandreDewintre.docx#_ftnref38" name="_ftn38" title=""><span class="MsoFootnoteReference"><!--[if !supportFootnotes]--><span class="MsoFootnoteReference"><span style="font-family: "Calibri","sans-serif"; font-size: 11.0pt; line-height: 115%; mso-ansi-language: FR; mso-ascii-theme-font: minor-latin; mso-bidi-font-family: "Times New Roman"; mso-bidi-language: AR-SA; mso-bidi-theme-font: minor-bidi; mso-fareast-font-family: "Times New Roman"; mso-fareast-language: FR; mso-fareast-theme-font: minor-fareast; mso-hansi-theme-font: minor-latin;">[38]</span></span><!--[endif]--></span></a>
<span style="font-family: "Arial","sans-serif"; font-size: 8.0pt;">Billard.G,
Chevalier.J, Madoré.F, (2005), « <i>Ville fermée, ville surveillée »</i>,<o:p></o:p></span></div>
<div class="MsoFootnoteText">
<span style="font-family: "Arial","sans-serif"; font-size: 8.0pt;">Presses
universitaires de Rennes, 230 p</span><o:p></o:p></div>
</div>
<div id="ftn39">
<div class="MsoFootnoteText">
<a href="file:///C:/Users/job/Desktop/th%C3%A8se/Articleterritoires%20CassandreDewintre.docx#_ftnref39" name="_ftn39" title=""><span class="MsoFootnoteReference"><!--[if !supportFootnotes]--><span class="MsoFootnoteReference"><span style="font-family: "Calibri","sans-serif"; font-size: 10.0pt; line-height: 115%; mso-ansi-language: FR; mso-ascii-theme-font: minor-latin; mso-bidi-font-family: "Times New Roman"; mso-bidi-language: AR-SA; mso-bidi-theme-font: minor-bidi; mso-fareast-font-family: "Times New Roman"; mso-fareast-language: FR; mso-fareast-theme-font: minor-fareast; mso-hansi-theme-font: minor-latin;">[39]</span></span><!--[endif]--></span></a>
Charmes.E, « <i><span style="font-family: "Calibri\,Italic"; mso-bidi-font-family: "Calibri\,Italic";">La Vie périurbaine
face à la menace des </span></i>gated communities
», Paris, L’Harmattan, 2005, 219 p<o:p></o:p></div>
</div>
<div id="ftn40">
<div class="MsoFootnoteText">
<a href="file:///C:/Users/job/Desktop/th%C3%A8se/Articleterritoires%20CassandreDewintre.docx#_ftnref40" name="_ftn40" title=""><span class="MsoFootnoteReference"><!--[if !supportFootnotes]--><span class="MsoFootnoteReference"><span style="font-family: "Calibri","sans-serif"; font-size: 10.0pt; line-height: 115%; mso-ansi-language: FR; mso-ascii-theme-font: minor-latin; mso-bidi-font-family: "Times New Roman"; mso-bidi-language: AR-SA; mso-bidi-theme-font: minor-bidi; mso-fareast-font-family: "Times New Roman"; mso-fareast-language: FR; mso-fareast-theme-font: minor-fareast; mso-hansi-theme-font: minor-latin;">[40]</span></span><!--[endif]--></span></a>
Dewintre.C., « Les villes face à la fermeture résidentielle : Etude
comparative Montpellier-Marrakech », Travaux de thèse, 2012.<o:p></o:p></div>
</div>
<div id="ftn41">
<div class="MsoFootnoteText">
<a href="file:///C:/Users/job/Desktop/th%C3%A8se/Articleterritoires%20CassandreDewintre.docx#_ftnref41" name="_ftn41" title=""><span class="MsoFootnoteReference"><!--[if !supportFootnotes]--><span class="MsoFootnoteReference"><span style="font-family: "Calibri","sans-serif"; font-size: 10.0pt; line-height: 115%; mso-ansi-language: FR; mso-ascii-theme-font: minor-latin; mso-bidi-font-family: "Times New Roman"; mso-bidi-language: AR-SA; mso-bidi-theme-font: minor-bidi; mso-fareast-font-family: "Times New Roman"; mso-fareast-language: FR; mso-fareast-theme-font: minor-fareast; mso-hansi-theme-font: minor-latin;">[41]</span></span><!--[endif]--></span></a>
Donzelot.J, « La nouvelle question urbaine »,
Esprit, n°11, novembre 1999, p 87-114<o:p></o:p></div>
</div>
<div id="ftn42">
<div class="MsoFootnoteText">
<a href="file:///C:/Users/job/Desktop/th%C3%A8se/Articleterritoires%20CassandreDewintre.docx#_ftnref42" name="_ftn42" title=""><span class="MsoFootnoteReference"><!--[if !supportFootnotes]--><span class="MsoFootnoteReference"><span style="font-family: "Calibri","sans-serif"; font-size: 10.0pt; line-height: 115%; mso-ansi-language: FR; mso-ascii-theme-font: minor-latin; mso-bidi-font-family: "Times New Roman"; mso-bidi-language: AR-SA; mso-bidi-theme-font: minor-bidi; mso-fareast-font-family: "Times New Roman"; mso-fareast-language: FR; mso-fareast-theme-font: minor-fareast; mso-hansi-theme-font: minor-latin;">[42]</span></span><!--[endif]--></span></a>
GUENOLA.C, « Quand la ville se ferme : Quartiers
résidentiels sécurisés », Bréal, 2006, 288 p<o:p></o:p></div>
</div>
<div id="ftn43">
<div class="MsoFootnoteText">
<a href="file:///C:/Users/job/Desktop/th%C3%A8se/Articleterritoires%20CassandreDewintre.docx#_ftnref43" name="_ftn43" title=""><span class="MsoFootnoteReference"><!--[if !supportFootnotes]--><span class="MsoFootnoteReference"><span style="font-family: "Calibri","sans-serif"; font-size: 10.0pt; line-height: 115%; mso-ansi-language: FR; mso-ascii-theme-font: minor-latin; mso-bidi-font-family: "Times New Roman"; mso-bidi-language: AR-SA; mso-bidi-theme-font: minor-bidi; mso-fareast-font-family: "Times New Roman"; mso-fareast-language: FR; mso-fareast-theme-font: minor-fareast; mso-hansi-theme-font: minor-latin;">[43]</span></span><!--[endif]--></span></a>
Ascher.F, « Métapolis ou l’avenir des villes »,
Odile Jacob, 1995, 345 p.<o:p></o:p></div>
</div>
<div id="ftn44">
<div class="MsoFootnoteText">
<a href="file:///C:/Users/job/Desktop/th%C3%A8se/Articleterritoires%20CassandreDewintre.docx#_ftnref44" name="_ftn44" title=""><span class="MsoFootnoteReference"><!--[if !supportFootnotes]--><span class="MsoFootnoteReference"><span style="font-family: "Calibri","sans-serif"; font-size: 10.0pt; line-height: 115%; mso-ansi-language: FR; mso-ascii-theme-font: minor-latin; mso-bidi-font-family: "Times New Roman"; mso-bidi-language: AR-SA; mso-bidi-theme-font: minor-bidi; mso-fareast-font-family: "Times New Roman"; mso-fareast-language: FR; mso-fareast-theme-font: minor-fareast; mso-hansi-theme-font: minor-latin;">[44]</span></span><!--[endif]--></span></a>
Viard.J, « <i><span style="font-family: "Calibri\,Italic"; mso-bidi-font-family: "Calibri\,Italic";">La société d'archipel
»</span></i>, éditions Charles Léopold Mayer/l'aube,
1994, 126 p<o:p></o:p></div>
</div>
<div id="ftn45">
<div class="MsoFootnoteText">
<a href="file:///C:/Users/job/Desktop/th%C3%A8se/Articleterritoires%20CassandreDewintre.docx#_ftnref45" name="_ftn45" title=""><span class="MsoFootnoteReference"><!--[if !supportFootnotes]--><span class="MsoFootnoteReference"><span style="font-family: "Calibri","sans-serif"; font-size: 10.0pt; line-height: 115%; mso-ansi-language: FR; mso-ascii-theme-font: minor-latin; mso-bidi-font-family: "Times New Roman"; mso-bidi-language: AR-SA; mso-bidi-theme-font: minor-bidi; mso-fareast-font-family: "Times New Roman"; mso-fareast-language: FR; mso-fareast-theme-font: minor-fareast; mso-hansi-theme-font: minor-latin;">[45]</span></span><!--[endif]--></span></a>
Dubois-Taine.G, Chalas.Y, « <i><span style="font-family: "Calibri\,Italic"; mso-bidi-font-family: "Calibri\,Italic";">La
ville émergente»</span></i>, Paris, Editions
de l’Aube, 1997<o:p></o:p></div>
</div>
<div id="ftn46">
<div class="MsoFootnoteText">
<a href="file:///C:/Users/job/Desktop/th%C3%A8se/Articleterritoires%20CassandreDewintre.docx#_ftnref46" name="_ftn46" title=""><span class="MsoFootnoteReference"><!--[if !supportFootnotes]--><span class="MsoFootnoteReference"><span style="font-family: "Calibri","sans-serif"; font-size: 10.0pt; line-height: 115%; mso-ansi-language: FR; mso-ascii-theme-font: minor-latin; mso-bidi-font-family: "Times New Roman"; mso-bidi-language: AR-SA; mso-bidi-theme-font: minor-bidi; mso-fareast-font-family: "Times New Roman"; mso-fareast-language: FR; mso-fareast-theme-font: minor-fareast; mso-hansi-theme-font: minor-latin;">[46]</span></span><!--[endif]--></span></a>
Haumont.N, « La ville : agrégation et ségrégation
sociales », Habitats et Sociétés, 1996, 220 p<o:p></o:p></div>
</div>
<div id="ftn47">
<div class="MsoNormal" style="margin-bottom: 0.0001pt;">
<a href="file:///C:/Users/job/Desktop/th%C3%A8se/Articleterritoires%20CassandreDewintre.docx#_ftnref47" name="_ftn47" title=""><span class="MsoFootnoteReference"><!--[if !supportFootnotes]--><span class="MsoFootnoteReference"><span style="font-family: "Calibri","sans-serif"; font-size: 11.0pt; line-height: 115%; mso-ansi-language: FR; mso-ascii-theme-font: minor-latin; mso-bidi-font-family: "Times New Roman"; mso-bidi-language: AR-SA; mso-bidi-theme-font: minor-bidi; mso-fareast-font-family: "Times New Roman"; mso-fareast-language: FR; mso-fareast-theme-font: minor-fareast; mso-hansi-theme-font: minor-latin;">[47]</span></span><!--[endif]--></span></a> <span lang="EN-US" style="font-size: 10.0pt; mso-ansi-language: EN-US; mso-ascii-font-family: Calibri; mso-bidi-font-family: Calibri; mso-hansi-font-family: Calibri;">Le Goix.R, « Gated communities in Southern
California : assessing the geographical aspects of an urban secession », 2002<o:p></o:p></span></div>
</div>
<div id="ftn48">
<div class="MsoFootnoteText">
<a href="file:///C:/Users/job/Desktop/th%C3%A8se/Articleterritoires%20CassandreDewintre.docx#_ftnref48" name="_ftn48" title=""><span class="MsoFootnoteReference"><!--[if !supportFootnotes]--><span class="MsoFootnoteReference"><span style="font-family: "Calibri","sans-serif"; font-size: 10.0pt; line-height: 115%; mso-ansi-language: FR; mso-ascii-theme-font: minor-latin; mso-bidi-font-family: "Times New Roman"; mso-bidi-language: AR-SA; mso-bidi-theme-font: minor-bidi; mso-fareast-font-family: "Times New Roman"; mso-fareast-language: FR; mso-fareast-theme-font: minor-fareast; mso-hansi-theme-font: minor-latin;">[48]</span></span><!--[endif]--></span></a>
BRUSTON.A, « <i><span style="font-family: "Calibri\,Italic"; mso-bidi-font-family: "Calibri\,Italic";">Des cultures et des
villes, mémoires au futur »</span></i>, éditions de
l’Aube, 2005<o:p></o:p></div>
</div>
<div id="ftn49">
<div class="MsoFootnoteText">
<a href="file:///C:/Users/job/Desktop/th%C3%A8se/Articleterritoires%20CassandreDewintre.docx#_ftnref49" name="_ftn49" title=""><span class="MsoFootnoteReference"><!--[if !supportFootnotes]--><span class="MsoFootnoteReference"><span style="font-family: "Calibri","sans-serif"; font-size: 10.0pt; line-height: 115%; mso-ansi-language: FR; mso-ascii-theme-font: minor-latin; mso-bidi-font-family: "Times New Roman"; mso-bidi-language: AR-SA; mso-bidi-theme-font: minor-bidi; mso-fareast-font-family: "Times New Roman"; mso-fareast-language: FR; mso-fareast-theme-font: minor-fareast; mso-hansi-theme-font: minor-latin;">[49]</span></span><!--[endif]--></span></a>
Sassen.S, « La ville globale: New York, Tokyo,
Descartes & Cie », 1991<o:p></o:p></div>
</div>
</div>
</div>
Amicale Sallanches Domancy Comblouxhttp://www.blogger.com/profile/08018039222851710148noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-6132836746090502609.post-52671809680995598302012-06-18T02:12:00.000-07:002012-06-18T02:12:56.788-07:00<div dir="ltr" style="text-align: left;" trbidi="on">
<b>Prolifération des ensembles résidentiels fermés de type "superstructure" dans le quartier d'Annakhil à Marrakech</b><br />
<br />
<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEj2NfyJUz-GfJIRD7qlsnvKQEyRs7AbBCFi_0TBuVaoAS7OZ64-uIttX9RV3zg7HNiBAeEtMtepuq24MRDhfrAY-aQYE5ab0zU9iczfC9pRuMV_Eh5TQj1MWzZkEyBc_OIEWdVxnrfzAME/s1600/quartierannakhil.png" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="400" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEj2NfyJUz-GfJIRD7qlsnvKQEyRs7AbBCFi_0TBuVaoAS7OZ64-uIttX9RV3zg7HNiBAeEtMtepuq24MRDhfrAY-aQYE5ab0zU9iczfC9pRuMV_Eh5TQj1MWzZkEyBc_OIEWdVxnrfzAME/s400/quartierannakhil.png" width="281" /></a></div>
<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhKdQXALpc4fgtzKzkzIX5cL2Bfbj7lg4XJiE4fKnS76sfVAAgE66Nx5DAydg_xvqof26ZIoNSi4tNlV5VvNOD3ep7584DzhHv10BrdmNHFAEBAY9-fBZDgiVjJ3pzCP6RSUEwCtDY6mLk/s1600/residencepalmeraie.png" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="362" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhKdQXALpc4fgtzKzkzIX5cL2Bfbj7lg4XJiE4fKnS76sfVAAgE66Nx5DAydg_xvqof26ZIoNSi4tNlV5VvNOD3ep7584DzhHv10BrdmNHFAEBAY9-fBZDgiVjJ3pzCP6RSUEwCtDY6mLk/s400/residencepalmeraie.png" width="400" /></a></div>
<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjKnpmP0zsyiz6fFtDCLBhRhILj4igd5RxpaxXBgh1YserCe9KFJ61hImDKIGtKfq40pD3rXZnblLYPoX5oDpwvMZdjk_6iT9xhgT28R9piRZt-G2ScWGHFZGgQ4vVoLLlLmgaj0iDENII/s1600/golfamelkis.png" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="279" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjKnpmP0zsyiz6fFtDCLBhRhILj4igd5RxpaxXBgh1YserCe9KFJ61hImDKIGtKfq40pD3rXZnblLYPoX5oDpwvMZdjk_6iT9xhgT28R9piRZt-G2ScWGHFZGgQ4vVoLLlLmgaj0iDENII/s400/golfamelkis.png" width="400" /></a></div>
<br /></div>Amicale Sallanches Domancy Comblouxhttp://www.blogger.com/profile/08018039222851710148noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-6132836746090502609.post-29761472715470276382012-05-12T23:45:00.003-07:002012-05-12T23:47:24.560-07:00Le processus de fermeture post-construction: Exemple de la copropriété l'Oasis à Montpellier<div dir="ltr" style="text-align: left;" trbidi="on">
<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiMQKVBKXqUTIU5HgN0TogZph4vpZT857kGdMwjJPjo81x2CrtfVtiJstJB387f0J6su3XXZA24hQgua8mf67AKvl3YeemJxeQ1MiuofkAd9oZsuC15fsUHAJ_VEajeX-BawPggV6ep6PQ/s1600/oasis.jpg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="221" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiMQKVBKXqUTIU5HgN0TogZph4vpZT857kGdMwjJPjo81x2CrtfVtiJstJB387f0J6su3XXZA24hQgua8mf67AKvl3YeemJxeQ1MiuofkAd9oZsuC15fsUHAJ_VEajeX-BawPggV6ep6PQ/s320/oasis.jpg" width="320" /></a></div>
<div class="MsoNormal" style="line-height: 150%; margin-bottom: 10pt; text-align: justify;">
<br /></div>
<div class="MsoNormal" style="line-height: 150%; margin-bottom: 10pt; text-align: justify;">
<span style="font-family: "Arial","sans-serif"; font-size: 12pt; line-height: 150%;">Le processus de
fermeture s'est souvent opéré par émulation et non pas par nécessité dans la
plupart des cas s'agissant de l'agglomération montpelliéraine. En effet, le
sentiment d'insécurité se révèle plus symbolique qu'émanant de réalités
récurrentes, quotidiennes, d'agressions ou autre incivilités. Néanmoins,
lorsqu'une population se retrouve confrontée au renforcement des violences
urbaines, des dégradations et à la matérialisation du danger, celle-ci se
tourne préférentiellement vers la fermeture résidentielle. Dans les quartiers
les plus précaires où l'exclusion a favorisé la dégradation du climat
social et l’insécurité, certains ont succombé à la tentation d'édifier des barrières physiques jugées protectrices.</span></div>
<div class="MsoNormal" style="line-height: 150%; margin-bottom: 10pt; text-align: justify;">
<span style="font-family: "Arial","sans-serif"; font-size: 12pt; line-height: 150%;">À proximité immédiate
du quartier du Petit Bard, l'ensemble résidentiel l’Oasis, situé rue des
Avelaniers fait partie de ces copropriétés qui ont répondu aux incivilités par la fermeture. Composée de six immeubles et d'une dizaine de villas, la copropriété a été construite dans les années 60, au
moment où de nombreux rapatriés d'Algérie affluaient en nombre en quête de
logements sur le sol français. À l'époque, la population se compose
majoritairement de couples avec enfants d'une trentaine, voire d'une
quarantaine d'années, génération qui a été progressivement remplacée au début
des années 2000 par des couples d'actifs avec toujours une majorité de
propriétaires occupants dans les villas et pour moitié dans les appartements
(50 % de locataires environ).</span></div>
<div class="MsoNormal" style="line-height: 150%; margin-bottom: 10pt; text-align: justify;">
<span style="font-family: "Arial","sans-serif"; font-size: 12pt; line-height: 150%;">En 2005, une demande
des propriétaires des différentes entités (immeubles, villas) est remontée au
conseil syndical afin de regrouper l'ensemble des logements situés de part et
d'autre de l'allée de l'Oasis, alors voie privée, dans une seule et même
enceinte fermée. Cette demande a été notamment déposée par les habitants les
plus proches des immeubles d'habitations sociales du Petit Bard qui se
plaignaient du flux incessant de dealers, de personnes inhibées dans les espaces
verts et des nuisances occasionnées de jour comme de nuit. « En effet le matin,
on retrouvait des choses dans le jardin, des seringues tout ça, mais ce n'était
pas de la délinquance à proprement parler, mais des avis des enfants… Et en
plus, il y avait du bruit tout ça… ». Lors du vote de la copropriété, seule une
part minoritaire s'est opposée au projet de fermeture en affirmant qu'un
grillage ne dissuaderait pas les personnes malintentionnées de pénétrer dans la
résidence. Mais face aux propriétaires les plus demandeurs qui se situaient en
première ligne et qui étaient les plus nombreux, la demande de fermeture a
abouti.</span></div>
<div class="MsoNormal" style="line-height: 150%; margin-bottom: 10pt; text-align: justify;">
<span style="font-family: "Arial","sans-serif"; font-size: 12pt; line-height: 150%;">La fermeture s'est
ici matérialisée par l'édification de grillages tout autour de la résidence et
la sécurisation de trois accès, comportant chacun une séparation pour les
voitures et les piétons. En plus de ce premier sas, chaque immeuble de la
copropriété s'est équipé de halls d'entrée sécurisés et accessibles par
digicodes et interphones, ce qui a multiplié les frontières physiques à
l'intérieur de l'ensemble résidentiel. Les villas à l'époque partiellement
fermées sont désormais totalement encloses car les plus sujettes aux
cambriolages. Ce processus de fermeture a remodelé l'ensemble résidentiel sans
pour autant permettre l'installation dans les espaces d'usage commun
d'équipements de loisirs ou de cheminement à travers la résidence qui
permettrait de faciliter le lien social. Le complexe résidentiel dispose de
quelques espaces verts mais qui ne sont pas très esthétiques et qui ne font pas
partie des préoccupations des différents conseils syndicaux qui se sont
succédés au sein de la copropriété. Disposant d'un concierge, l'ensemble
résidentiel a progressivement sous-traité ses services à des entreprises
privées, limitant les charges de copropriété au nettoyage et au jardinage de
l’ensemble.</span></div>
<div class="MsoNormal" style="line-height: 150%; margin-bottom: 10pt; text-align: justify;">
<span style="font-family: "Arial","sans-serif"; font-size: 12pt; line-height: 150%;">Le climat social est
assez bon dans la résidence et les conflits très limités. L’Oasis regroupe une
population assez homogène autant au niveau des classes d'âge avec
essentiellement des populations actives, qu'au niveau socio-économique avec
majoritairement des populations appartenant à la classe moyenne. Certains
voisins essaient de mettre en place des activités et des animations au sein de
la résidence et ainsi développer le lien social sans forcément recueillir le
succès escompté. En effet, lors d'activités comme les fêtes de voisins, Noël,
ou Halloween, seule une dizaine de copropriétaires se réunissent régulièrement.
Insidieusement, la fermeture a progressivement induit le renforcement de
règlements de copropriété, ce qui a été mal vécu par certains résidents qui ont
perçu cette dynamique comme une réduction de leur liberté individuelle. Les avantages
apportés par la fermeture ont néanmoins été très largement perçue par les
copropriétaires comme la possibilité pour les enfants de jouer en toute
sécurité dans la copropriété ou de trouver des places de parking plus
facilement et l’ont tout de même emporté sur les restrictions d'usage.
Aujourd'hui, les enfants n'ont plus le droit de jouer au ballon dans la
copropriété et les espaces verts ne sont plus très usités, mais ces
interdictions sont considérés comme un moindre mal pour des copropriétaires
aujourd'hui rassuré par les nouvelles frontières physiques qui entourent leur
résidence. Dans les faits, il existe toujours des actes de cambriolage, mais
les incivilités se sont souvent arrêtées au grillage de l'ensemble résidentiel et se
sont reportées à d'autre espaces d’habiter.</span></div>
Cassandre Dewintre, tous droits réservés</div>Amicale Sallanches Domancy Comblouxhttp://www.blogger.com/profile/08018039222851710148noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-6132836746090502609.post-2970722787590937172012-05-10T07:31:00.001-07:002012-05-11T10:45:07.176-07:00La banalisation et la diversification des programmes fermés dans l'agglomération montpelliéraine<div dir="ltr" style="text-align: left;" trbidi="on">
<br />
<div class="MsoNormal" style="line-height: 150%; text-align: justify;">
<span style="font-family: "Arial","sans-serif"; font-size: 12pt; line-height: 150%;">C'est
depuis les années 90 majoritairement que le processus de fermeture
résidentielle s'est implanté à l'échelle des aires urbaines de manière certes
assez ubiquiste mais néanmoins selon des stratégies d'implantation souvent
convergentes. Dans le cas de l'agglomération de Montpellier et plus largement en
province, se sont ainsi près de 60 % des programmes qui s'implantent dans une
ville centre alors que seulement un tiers de ces programmes se retrouvent en commune
de banlieue et 1/10 au sein des couronnes périurbaines<a href="http://www.blogger.com/blogger.g?blogID=6132836746090502609#_ftn1" name="_ftnref1" title=""><span class="MsoFootnoteReference"><span class="MsoFootnoteReference"><span style="font-family: "Arial","sans-serif"; font-size: 12pt; line-height: 115%;">[1]</span></span></span></a>. Ces statistiques révèlent
certes le développement du processus de fermeture résidentielle non plus
uniquement dans les grandes métropoles françaises mais aussi dans les
agglomérations plus modestes de province, mais surtout la banalisation, la
standardisation d'un produit immobilier qui remplace progressivement les formes
urbaines existantes. La polarisation de la fermeture résidentielle dans les
villes centre se développe de manière exponentielle du fait de l'existence
d'opportunités foncières qui résident essentiellement en la forte demande en
logements existantes dans les centres urbains. La demande constante en logements
dans le cas de la ville de Montpellier a permis de favoriser l'implantation de
ce type de produits, généralement de l'habitat collectif adapté aux attentes
des investisseurs locatifs dans une agglomération qui ne compte qu'une part
réduite de propriétaires occupants. De
manière généralisée, les ensembles résidentiels fermés s'implantent dans les
marges urbaines, les zones d'urbanisation que constituent les quartiers
périphériques. Dans le cas de l'agglomération de Montpellier et de façon très
marquée, la plupart des programmes résidentiels fermés dès la construction sont
localisés dans ces quartiers périphériques et plus précisément dans les zones
d'extension développées et planifiées par les politiques urbaines. Souvent
impulsés dans le cas de la capitale languedocienne par la construction de ZAC en
périphérie qui intègrent le plus souvent des ensembles résidentiels fermés, et
par imitation, se sont développés de véritables îlots d'enclave où la
fermeture s'est généralisée. La ZAC Millénaire, pionnière en termes de
fermeture, un îlot d'habitat collectif développé dans les années 90, a
rapidement créé l'émulation en termes d'utilisation standardisée des barrières
physiques entre l'espace privé des ensembles résidentiels et l'espace public de
la rue.</span></div>
<div class="MsoNormal" style="line-height: 150%; text-align: justify;">
<span style="font-family: "Arial","sans-serif"; font-size: 12pt; line-height: 150%;">La
nouveauté dans le cas des agglomérations françaises consiste au développement
de la fermeture résidentielle dans les communes périurbaines, le plus souvent
dans les premières couronnes et de manière disparate dans les communes
périurbaines plus excentrées. Bien souvent, lorsqu'il s'agit des communes
périphériques les plus excentrées, la fermeture est envisagée comme une réponse
aux besoins croissants de construction de logements sociaux. La fermeture
résidentielle est considérée par de nombreux maires comme une forme urbaine
plus « digeste » pour les habitants lorsqu'il s'agit d'imposer un
parc de logement social dans la commune. Néanmoins, cette fermeture utilisée
comme un outil de planification urbaine par les maires se retrouve
également dans les premières couronnes périurbaines ou comme dans la commune de
Grabels, les îlots d'habitats sociaux ont été édifiés en marge de la commune-centre
traditionnelle, accolés au quartier Euromédecine de Montpellier et constitués exclusivement d'ensembles résidentiels fermés. Dans ce cas de figure, le
logement social relégué en périphérie de la vie communale et presque
englobé à la ville de Montpellier de parler forme urbaine constitue une rupture en matière d'aménagement. </span></div>
<div class="MsoNormal" style="line-height: 150%; text-align: justify;">
<span style="font-family: "Arial","sans-serif"; font-size: 12pt; line-height: 150%;">Dans le cas des copropriétés privées, la fermeture
résidentielle s'est souvent développée du fait de la croissance des réseaux de
transports en commun reliant de plus en plus communément le pôle urbain aux
communes périurbaines. Ces réseaux de transports en commun et notamment, dans
le cas de Montpellier, le réseau de tramways, a joué le rôle de front
pionnier en matière de développement de la fermeture résidentielle en
participant à l'augmentation des prix du foncier et aux stratégies commerciales
des promoteurs immobiliers. Le boom de la fermeture résidentielle dans le
quartier périphérique de Port Marianne par exemple à l'est de la ville et plus
particulièrement le long de l'avenue du Mondial 98 a marqué le succès d'un
produit immobilier aujourd'hui banalisé. Ce succès très nettement marqué dans
les communes de Castelnau-Le-Lez, Lattes, Grabels, pour ne citer que les
principales a reconfiguré les paysages urbains et fait de la barrière un
matériau urbain commun.</span></div>
<div class="MsoNormal" style="line-height: 150%; text-align: justify;">
<span style="font-family: "Arial","sans-serif"; font-size: 12pt; line-height: 150%;"> Mais outre cette multiplication des ensembles
résidentiels fermés neufs en périphérie urbaine reflet des opportunismes
commerciaux des promoteurs immobiliers mais également des orientations
publiques en matière de planification urbaine, il est nécessaire de prendre en
compte l'ampleur pris par le processus de fermeture post-construction depuis la
fin des années 90 et ceci dans l'ensemble des quartiers des villes
hormis le centre-ville très densément urbanisé, dans le cas de Montpellier
l'Ecusson. Sur Montpellier, cette enclosure post- construction représente
presque 40 % des ensembles résidentiels fermés et a été impulsée le plus
souvent par: la construction à proximité d'une résidence fermée neuve, les
politiques de résidentialisation à l'ouest de la ville autour des quartiers
Paillade et Petit Bard notamment ou encore l'action de fermeture
post-construction d'une copropriété privée voisine. Lors des assemblées de
copropriété, la proximité de la fermeture a souvent influencé les
copropriétaires à clôturer leur propre résidence. S'agissant pour les quartiers
centraux d'un parc de logements datant de la fin des années 60 et des années
70, la décision de débuter des travaux de ravalement de façade est souvent
prétexte à l'installation de nouvelles barrières physiques délimitant l'espace
public de l'espace privé de la résidence. Il s'agit également face à une
violence et des incivilités de plus en plus médiatisées, de pratiquer de la part
des résidents une politique de prévention même si la plupart du temps la
confrontation à la violence ordinaire s'avère plus symbolique que réelle. Cette
volonté de repousser le risque toujours plus loin en fermant tour à tour
l'ensemble des résidences d'un quartier a favorisé la banalisation du modèle
de la fermeture résidentielle. Cette standardisation explique aujourd'hui la
faible prise en compte des collectivités de l'étendue du phénomène car celles-ci
éprouvent de grandes difficultés à définir la notion même de fermeture
résidentielle s'agissant d'un produit si banalisé.</span></div>
<div class="MsoNormal" style="line-height: 150%; text-align: justify;">
<span style="font-family: "Arial","sans-serif"; font-size: 12pt; line-height: 150%;">Mais
ce modèle en se banalisant a également développé des formes diversifiées,
s'adaptant aux contextes sociétaux, à l'espace implantation et/ou aux populations
résidentes. La fermeture résidentielle est en ce sens un véritable reflet de la
diversité des attentes et des représentations des clients et producteurs de ces
produits immobiliers. De ce fait, il est important de dépasser une vision trop
homogène des formes prises par ce processus qui ne s'attache en aucune façon
exclusivement à un type d'habitat ou un mode d'occupation particulier. Bien que
dans le cas de l'agglomération montpelliéraine, le parc de logements collectifs
fermés soit majoritaire, la présence d'ensemble individuel fermé et de bâti
mixte enclos à hauteur de 10 % implique de prendre en considération la
diversité des formes existantes. De la même manière, et lorsqu'on considère le
statut d'occupation, la part majoritaire des locataires au sein de ces
ensembles résidentiels fermés, ne doit pas occulter la part des propriétaires
occupants qui peut dans certains cas et notamment lorsqu'il s'agit de résidence
fermée post-construction être majoritaire voire exclusive dans certaines
résidences.</span></div>
<div class="MsoNormal" style="line-height: 150%; text-align: justify;">
<span style="font-family: "Arial","sans-serif"; font-size: 12pt; line-height: 150%;"> En s'appuyant sur le croisement des données et l'établissement de
la typologie de la fermeture résidentielle à l'échelle de l'agglomération
montpelliéraine, la banalisation du processus a permis le développement de
nombreux types d'ensemble résidentiels fermés . De l'habitat
individuel fermé occupé majoritairement par des propriétaires occupants comme
dans le cas de superstructures comme le golf de Massane à Baillargues dans les
communes des deuxième voire troisième couronnes de l'agglomération aux habitats
collectifs qui regroupent une diversité de situations liées au déterminisme
sociaux et territoriaux, les modèles apparaissent très divers. </span></div>
<div class="MsoNormal" style="line-height: 150%; text-align: justify;">
<span style="font-family: "Arial","sans-serif"; font-size: 12pt; line-height: 150%;">L'avènement
des politiques de résidentialisation depuis la fin des années 90 a appuyé
l'orientation de la fermeture résidentielle en direction des locataires qui
sont la plupart du temps majoritaires au sein des ensembles résidentiels fermés
collectifs. Cette représentation dominante des locataires et des ensembles
collectifs fermés s'inscrit finalement dans une logique nationale qui veut que
les quatre cinquièmes des ménages résidants dans une maison individuelle soient
propriétaires contre seulement un quart des ménages habitant dans un ensemble
collectif<a href="http://www.blogger.com/blogger.g?blogID=6132836746090502609#_ftn2" name="_ftnref2" title=""><span class="MsoFootnoteReference"><span class="MsoFootnoteReference"><span style="font-family: "Arial","sans-serif"; font-size: 12pt; line-height: 115%;">[2]</span></span></span></a>. Enfin, la diversité des
résidents est à mettre en exergue et il apparaît très difficile de retrouver,
s'agissant de l'agglomération montpelliéraine une réelle homogénéité dans les
situations socio-économiques des populations. Le fait que ces ensembles
résidentiels, lorsqu'il s'agit de programmes neufs soient quasi exclusivement
ou du moins en grande majorité dédiés aux investissements locatifs,
participe à la coexistence au sein de même des ensembles de différentes
générations et classes sociales. Concernant Montpellier et même si l'on retrouvera
une majorité d'actifs et d'étudiants, la clientèle sera beaucoup plus
diversifiée avec notamment une représentation assez forte des résidents
retraités très souvent lorsqu'il s'agit de programmes neufs des propriétaires
occupants. À l'opposé, c'est dans les ensembles résidentiels fermés post-
construction que l'homogénéisation sociale et générationnelle sera la plus
forte avec dans le cas des petites copropriétés privées la présence de familles
avec enfants ou de retraités propriétaires surreprésentés ou encore dans le cas
de l'habitat social fermé une population de familles précaires. </span></div>
<div class="MsoNormal" style="line-height: 150%; text-align: justify;">
<span style="font-family: "Arial","sans-serif"; font-size: 12pt; line-height: 150%;">Enfin,
la standardisation du processus de fermeture résidentielle a également permis
l'émergence de nouvelles formes d'habiter basées sur la spécialisation résidentielle
et l'accueil de populations de classes d'âge ou de revenus ciblées. Ainsi, la
multiplication des résidences ou lotissements fermés destinés aux populations
retraitées comme les villages d'or à Castelnau le lez, le lotissement Mas de
Calenda dans le quartier d’Aiguelongue à Montpellier, ou encore les résidences
estudiantines comme le Quartier latin dans le quartier hôpitaux facultés au
nord de la ville, reflète l'importation de la part des promoteurs des modèles
anglo-saxons d'entre soi communautaires résidentiels. Bien sûr, les cités
étudiantes, les maisons de retraite ou encore les lotissements huppés ont
toujours existé ,mais l'apposition de barrières physiques autour de ces entités résidentielles a renforcé ce communautarisme notamment par la régulation de plus en
plus stricte des accès et la fracture spatiale de plus en plus importante entre
les classes d'âge et les classes sociales induite par celle-ci.</span></div>
<div class="MsoNormal" style="line-height: 150%; text-align: justify;">
<br /></div>
<div>
</div>
<div>
Cassandre DEWINTRE, tous droits réservés.<br />
<hr align="left" size="1" width="33%" />
<div id="ftn1">
<div class="MsoFootnoteText">
<a href="http://www.blogger.com/blogger.g?blogID=6132836746090502609#_ftnref1" name="_ftn1" title=""><span class="MsoFootnoteReference"><span class="MsoFootnoteReference"><span style="font-family: "Calibri","sans-serif"; font-size: 10pt; line-height: 115%;">[1]</span></span></span></a>
F.Madoré, quartier sécurisé, un nouveau défi pour la ville, les carnets de
l'info, 2011,205 p</div>
</div>
<div id="ftn2">
<div class="MsoFootnoteText">
<a href="http://www.blogger.com/blogger.g?blogID=6132836746090502609#_ftnref2" name="_ftn2" title=""><span class="MsoFootnoteReference"><span class="MsoFootnoteReference"><span style="font-family: "Calibri","sans-serif"; font-size: 10pt; line-height: 115%;">[2]</span></span></span></a> enquête
INSEE annuelle du recensement en 2007.</div>
</div>
</div>
</div>Amicale Sallanches Domancy Comblouxhttp://www.blogger.com/profile/08018039222851710148noreply@blogger.com1tag:blogger.com,1999:blog-6132836746090502609.post-40652575619652637082012-05-10T06:54:00.001-07:002012-05-10T12:21:11.241-07:00Une fermeture assumée? Le cas de la promotion immobilière au Maroc<div dir="ltr" style="text-align: left;" trbidi="on">
<br />
<div class="MsoNormal" style="line-height: 150%; text-align: justify;">
<span style="font-family: "Arial","sans-serif"; font-size: 12pt; line-height: 150%;">Dans
le cas des ensembles résidentiels fermés implantés à Marrakech et plus
largement au Maroc, les discours des promoteurs de l'immobilier sont très
différents. Ici, la fermeture a été induite dès le départ par les processus
sociaux existants. Dans le contexte d'une ville dont la surface urbanisée s'est
principalement accrue et développée depuis les années 90, la plupart des
constructions périphériques à la médina et aux quartiers coloniaux sont
récentes et ont été édifiées majoritairement pour des catégories socialement privilégiées
de la population. Ce facteur d'entre soi social a sous-tendu la fermeture dans
une agglomération déjà sectorisée. Essentiellement investis par des
occidentaux, ou des Marocains aisés voire fortunés, ces ensembles résidentiels
se sont généralisés en regroupant toujours plus d'équipements et de services
pour devenir concurrentiels dans le contexte d'un marché très disputé. Dans ce
cadre, les équipements de fermeture et de contrôle des accès ne sont pas comme
dans le cas français comptabilisés comme une prestation mais comme une base, un
caractère standardisé. De ce fait, la stratégie commerciale ne se fera par sur
cet élément banalisé mais sur la multiplication et l'originalité des services,
équipements et formes architecturales que l'on pourra retrouver à l'intérieur
de ces ensembles. </span></div>
<div class="MsoNormal" style="line-height: 150%; text-align: justify;">
<span style="font-family: "Arial","sans-serif"; font-size: 12pt; line-height: 150%;">Néanmoins, cette sécurisation ne s'est pas imposée partout et
certains secteurs urbanisés par de petits promoteurs isolés ont su préserver
des formes plus traditionnelles d'îlots de Riyad certes modernisés mais non
englobés au sein d'un même ensemble fermé. Mais même dans ce cas de figure, la
présence de gardiens abrités dans de petits cabanons à l'entrée de ces pseudo
lotissements s'est généralisée à toute la ville et représente, bien que de façon
plus symbolique, une banalisation du contrôle des accès dans la grande majorité
des espaces d'habiter des catégories moyennes supérieures et aisées de la
population Marrakchie. </span></div>
<div class="MsoNormal" style="line-height: 150%; text-align: justify;">
<span style="font-family: "Arial","sans-serif"; font-size: 12pt; line-height: 150%;">Au niveau des formes, le produit commercial « ensembles
résidentiels fermés » se différencie nettement de ce que l'on peut trouver
en France et notamment dans l'agglomération montpelliéraine. Destiné
principalement à une clientèle étrangère qu'il s'agisse de touristes,
d'habitants saisonniers ou encore d'habitants permanents, ces ensembles
résidentiels ont été construits pour plus de 50 % d'entre eux sur le modèle de
la gated community américaine. La présence de nombreux investisseurs
anglo-saxons a également joué un rôle dans le développement de ces
superstructures fonctionnant en quasi autonomie car disposant d'équipements, de
services et de personnels diversifiés et présents en nombre. La promotion
d'ensembles comme le Samanah Country Club, le Golf d’Amelkis, ou le Royal Palm,
pour ne citer que ces trois domaines a montré l'exemple à toute une
génération d'investisseurs et de promoteurs implantés dans la ville de
Marrakech au début des années 2000 et qui ont voulu investir et développer le
marché du luxe à Marrakech par le biais de l'implantation de ces grands
ensembles résidentiels en périphérie urbaine et notamment dans le quartier d’Annakhil. </span></div>
<div class="MsoNormal" style="line-height: 150%; text-align: justify;">
<span style="font-family: "Arial","sans-serif"; font-size: 12pt; line-height: 150%;">S'agissant de ce type d'ensembles résidentiels fermés, les promoteurs n'ont pas
eu à imposer une offre car la demande était présente du moins jusqu’à la crise
immobilière de 2008 qui n’a pas épargné la ville de Marrakech. Néanmoins et
lorsque l'on traite du marché de très haut de gamme avec des biens dépassant le
million d'euros, la clientèle a toujours été présente et demandeuse de ces
ensembles résidentiels fermés disposant de tous les services et équipements les
plus innovants. Cette orientation de la promotion immobilière vers le marché du
luxe est réservé à une poignée de promoteurs, généralement des investisseurs œuvrant
à l'échelle internationale et ne représente qu'une petite proportion du marché
immobilier global. En effet, en parallèle à ce marché du luxe et à l'apparition
de ces grands ensembles fermés constitués de maisons individuelles se sont
développées des formes de fermeture très diversifiées à mi-chemin entre
plusieurs cultures et modes de vie. </span></div>
<div class="MsoNormal" style="line-height: 150%; text-align: justify;">
<span style="font-family: "Arial","sans-serif"; font-size: 12pt; line-height: 150%;">Les formes de la fermeture résidentielle
qui se sont développées au sein de la ville de Marrakech sont souvent issues
d'une influence extérieure et notamment l'influence de ses premiers
investisseurs, les promoteurs français qui ont multiplié les projets sur
Marrakech depuis la fin des années 90. Le premier secteur économique étant le
tourisme, de nombreux ensembles résidentiels fermés ont été conçus afin de de
permettre la coexistence au sein du même ensemble de populations saisonnières
et de propriétaires occupants. Cette ambition de la part des promoteurs mais
aussi des politiques de la ville a orienté les formes du bâti vers un modèle de
fermeture résidentielle assez généralisé dans les quartiers « modernes »
(anciens quartiers coloniaux) et plus globalement à l'ouest de la ville. Les promoteurs,
pour vendre leur produit immobilier ont donc pratiqué le consensus entre d'une
part un habitat de style traditionnel en préservant quelques aspects et
matériaux orientaux et d'autre part ont permis le développement de la
modernisation et des équipements de loisirs dans ces mêmes résidences afin
d'attirer les extérieurs et notamment les occidentaux. </span></div>
<div class="MsoNormal" style="line-height: 150%; text-align: justify;">
<span style="font-family: "Arial","sans-serif"; font-size: 12pt; line-height: 150%;">Ces différentes
adaptations de la part des promoteurs qu'ils soient occidentaux ou à partir des
années 2000 Marocains ont permis de commercialiser plus facilement les produits
immobiliers dans la ville de Marrakech et de faire très nettement augmenter les
prix du foncier. Le public a été conquis par le confort et la sécurité apportés
par ces logements construits dans des ensembles clos et apportant tout le
confort dont il disposait en Europe, le tout à moindre coût. La fermeture
s'étant banalisée au départ de la construction de la plupart des résidences
d'habitat collectif mais aussi de lotissement à Marrakech, l'offre immobilière
se fonde progressivement sur des demandes toujours plus poussées en matière de
confort au sein des ensembles résidentiels fermés. Dans ce cas de figure, la
balance entre offre et demande est plus équilibrée que dans le cas français.</span><br />
<br />
<span style="font-family: "Arial","sans-serif"; font-size: 12pt; line-height: 150%;">Cassandre DEWINTRE, tous droits réservés. </span></div>
</div>Amicale Sallanches Domancy Comblouxhttp://www.blogger.com/profile/08018039222851710148noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-6132836746090502609.post-22433242961042284762012-05-10T06:29:00.002-07:002012-05-10T06:29:48.022-07:00Une fermeture assumée ? Le cas de la promotion immobilière française<div dir="ltr" style="text-align: left;" trbidi="on">
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<br />
<div class="MsoNormal" style="line-height: 150%; text-align: justify;">
<span style="font-family: "Arial","sans-serif"; font-size: 12pt; line-height: 150%;">L'analyse des différents discours a permis d'envisager une différenciation très nette
entre les représentations et les stratégies commerciales des promoteurs œuvrant en France d'une part et des promoteurs œuvrant au Maroc d'autre part.
En effet, la thématique de la fermeture et de la sécurisation d'un ensemble
résidentiel n'est pas vécue et abordée dans le discours de la même façon. En
France, ce processus de fermeture des espaces d'habiter reste tabou pour la
plupart des promoteurs qui n'insistent pas dans les entretiens sur cette notion
de frontières physiques mais insistent surtout sur l'esthétique des bâtiments
et la préservation du cadre de vie de l'environnement au sein de la résidence.
L’apposition de barrières et de portails autour de la résidence est souvent envisagée
comme la nécessité de préserver une place de parking ou un espace de verdure au
sein d'un espace densément urbanisé. Néanmoins, la plupart de ces promoteurs
français déclarent clôturer et ceci depuis le début des années 2000 quasi
systématiquement leurs nouveaux programmes, sans forcément se préoccuper des
formes résidentielles déjà existantes sur les milieux d'implantation de ceux-ci. </span></div>
<div class="MsoNormal" style="line-height: 150%; text-align: justify;">
<span style="font-family: "Arial","sans-serif"; font-size: 12pt; line-height: 150%;">Lorsque l'on observe les sites de promotion immobilière de ces différents
intervenants, on constate que la thématique de la fermeture n'est pas le
premier argument de vente pour la plupart des promoteurs. En effet, au prime
abord sont abordés les questions de prix, de financement, de qualité de
construction et de lieu d'implantation sans que la fermeture soit envisagée.
Par ailleurs, lors des entretiens, mais aussi d'événements comme les salons de
l'immobilier, la question de la sécurisation peut très vite passer au premier
plan des argumentaires de vente. Dans ce contexte et à l'unanimité, les
promoteurs communiquent alors auprès du public sur la clôture de leur programme
devenue une prestation standardisée et censée répondre à la demande de la
clientèle. Cette dualité dans le discours qu'il soit d'une part construit entre
le chercheur et le promoteur où le poids de la fermeture sera minimisé ou entre
le client et le promoteur où au contraire le discours sécuritaire participera
fortement à la construction de l'argumentaire promotionnel, préfigure d'un
certain malaise existant autour de cette thématique. </span></div>
<div class="MsoNormal" style="line-height: 150%; text-align: justify;">
<span style="font-family: "Arial","sans-serif"; font-size: 12pt; line-height: 150%;">Dès lors que l'on parle de
chiffres, que l'on place les promoteurs dans la réalité du fait accompli, la
fermeture est envisagée comme un produit immobilier à succès, facilement
commercialisable et idéal pour les investisseurs. Cette facilité à vendre ce
type de produit immobilier qui permet aux promoteurs de justifier de la réalité
d'une demande de la part des populations, sans que cette demande ait jamais été
chiffrée est avérée. En recoupant les différents discours, on perçoit que la
standardisation et la banalisation d'un produit immobilier a en quelque sorte
imposé la demande car ce produit immobilier s'est vu progressivement idéalisé
et promu comme une forme d'habiter pérenne et notamment pour les investisseurs,
ce qui a fondé le succès de ces ensembles résidentiels fermés.</span></div>
<div class="MsoNormal" style="line-height: 150%; text-align: justify;">
<br /></div>
<div class="MsoNormal" style="line-height: 150%; text-align: justify;">
<span style="font-family: "Arial","sans-serif"; font-size: 12pt; line-height: 150%;">Cassandre DEWINTRE, tous droits réservés. </span></div>
</div>Amicale Sallanches Domancy Comblouxhttp://www.blogger.com/profile/08018039222851710148noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-6132836746090502609.post-41922768895633768362012-04-03T09:58:00.000-07:002012-04-03T09:58:07.493-07:00Breaking news !<div dir="ltr" style="text-align: left;" trbidi="on">
<b>Présentation de l'avancée des travaux de thèse sur la fermeture résidentielle ce jeudi 5 avril à l'Unîmes. Une occasion d'échanger avec les étudiants de Master intéressés par la poursuite en thèse.</b></div>Amicale Sallanches Domancy Comblouxhttp://www.blogger.com/profile/08018039222851710148noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-6132836746090502609.post-27944209389060922622012-02-01T06:58:00.000-08:002012-02-01T07:00:06.963-08:00Dernières cartographies de la fermeture résidentielle à Marrakech<div dir="ltr" style="text-align: left;" trbidi="on">
<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgCVDfbRRWlnTJZ2w_yoU1VTDfb0yANfAg9_zq2nql_tVfL4RUjlaWbTQzz2KmgMunpkZSuB6OZ8-LrNdfFvYg5aa_WQXbaakxGWIylXUvL-ySJnVdmiWvpa6p20zLxNaNgoK-a0_i1GIs/s1600/cartemarrag%C3%A9antevraieetpointager%C3%A9sidencesetcontoursvilleetzoneresid.png" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="320" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgCVDfbRRWlnTJZ2w_yoU1VTDfb0yANfAg9_zq2nql_tVfL4RUjlaWbTQzz2KmgMunpkZSuB6OZ8-LrNdfFvYg5aa_WQXbaakxGWIylXUvL-ySJnVdmiWvpa6p20zLxNaNgoK-a0_i1GIs/s320/cartemarrag%C3%A9antevraieetpointager%C3%A9sidencesetcontoursvilleetzoneresid.png" width="300" /></a></div>
<br />
<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhKyvdfiX55ry17VRNUu_aikADhGnyg0ZInxR18zLEwCioNbjwtNzaYMzKqR3imc8NNBkQZ9z_IHnVhO3FJkGbdXtFHhzwxnHjcUQ1brnjy86aBriLzSux-X9Gla7ktNbYdhMzqTqYv6v4/s1600/cartemarragooglemaps.png" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="320" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhKyvdfiX55ry17VRNUu_aikADhGnyg0ZInxR18zLEwCioNbjwtNzaYMzKqR3imc8NNBkQZ9z_IHnVhO3FJkGbdXtFHhzwxnHjcUQ1brnjy86aBriLzSux-X9Gla7ktNbYdhMzqTqYv6v4/s320/cartemarragooglemaps.png" width="263" /></a></div>
<br />
La fermeture résidentielle a proliféré principalement dans le quartier de Guéliz favorisée par la présence de populations étrangères ou originaires de Casablanca ou Rabat globalement aisées.<br />
<br />
Mais on retrouve majoritairement ces ensembles résidentiels fermés en périphérie urbaine au coeur de la palmeraie où les "gated communities" se multiplient ou encore dans les secteurs de Targa, route de Fès ou de Casa et enfin en direction de l'Atlas vers le Sud.</div>Amicale Sallanches Domancy Comblouxhttp://www.blogger.com/profile/08018039222851710148noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-6132836746090502609.post-36992666782710699142011-11-28T03:08:00.001-08:002011-11-28T03:10:41.494-08:00<div dir="ltr" style="text-align: left;" trbidi="on">
<b>Fermeture résidentielle et accessibilité</b><br />
<b><br /></b><br />
La « jeunesse » des résidences sécurisées et les stratégies d’implantation de celles-ci les différencient du phénomène de résidentialisation où des résidences anciennes sont progressivement fermées mais ne se situent pas forcément à proximité d'infrastructures de transport <br /> <br /> Pour la ville de Montpellier et plus largement pour les villes de province, le développement du bâti collectif et fermé en parallèle des lignes de transport (ici le tramway) est un phénomène prégnant, qui renforce l'attractivité des résidences sécurisées <div>
<br /></div>
<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgI6tIFp6GUAMDZJlQ4DfkG_MRsWW_puRmXoPwGrBiLkv_Q0h4IF36NiaeoLTPYz5WcP7HzQB-UGOHndXotrhUJ_zPugmWE1WEXzeRmkg8lm-L5eaoI0pBn38XDsRIZAngF0Ll2-HBuYo8/s1600/desserteportmarianne.png" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="300" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgI6tIFp6GUAMDZJlQ4DfkG_MRsWW_puRmXoPwGrBiLkv_Q0h4IF36NiaeoLTPYz5WcP7HzQB-UGOHndXotrhUJ_zPugmWE1WEXzeRmkg8lm-L5eaoI0pBn38XDsRIZAngF0Ll2-HBuYo8/s400/desserteportmarianne.png" width="400" /></a></div>
<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
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<div>
<br /></div>
</div>Amicale Sallanches Domancy Comblouxhttp://www.blogger.com/profile/08018039222851710148noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-6132836746090502609.post-85771045935707290272011-11-28T03:02:00.001-08:002011-11-28T03:03:53.261-08:00<div dir="ltr" style="text-align: left;" trbidi="on">
<b>La toponymie de la fermeture résidentielle à Montpellier</b><br />
<b><br /></b><br />
<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgcesCCf6VgqGpCennrbCo7ROqQZSusfrGb6cBNIuIw1bFnUdaRO58DlsVz-KZTuwL0yLOR4bzoxGU8Od7TPhAGZZQM2d9jo7hyejNZ-Y7Y6CFt2VioG2ZGvq-VWJCFgztRElWU9mGQaBI/s1600/toponymiefermeturer%25C3%25A9sudentiellemontpellier.png" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="290" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgcesCCf6VgqGpCennrbCo7ROqQZSusfrGb6cBNIuIw1bFnUdaRO58DlsVz-KZTuwL0yLOR4bzoxGU8Od7TPhAGZZQM2d9jo7hyejNZ-Y7Y6CFt2VioG2ZGvq-VWJCFgztRElWU9mGQaBI/s400/toponymiefermeturer%25C3%25A9sudentiellemontpellier.png" width="400" /></a></div>
<b><br /></b></div>Amicale Sallanches Domancy Comblouxhttp://www.blogger.com/profile/08018039222851710148noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-6132836746090502609.post-89206593058560147312011-11-28T02:57:00.001-08:002012-02-01T06:45:29.903-08:00<div dir="ltr" style="text-align: left;" trbidi="on">
<b>Cartographies de la fermeture résidentielle sur Marrakech</b><br />
<br />
<br />
<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgDPR2aTAg5TOlKAVdnFtRFxHPNlutukfygBZKJTI7ZowhxulfJouof1-Pl98F-Spw2ccbANJPxpUJBy775cjLwcSx8diP7WoweRSFh2RAX0YzfuWkyto_bHo5A9LnwE0sk1pkwwDCEuaY/s1600/r%25C3%25A9partitionfermeturer%25C3%25A9sidentiellemarrakechcarte.png" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="201" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgDPR2aTAg5TOlKAVdnFtRFxHPNlutukfygBZKJTI7ZowhxulfJouof1-Pl98F-Spw2ccbANJPxpUJBy775cjLwcSx8diP7WoweRSFh2RAX0YzfuWkyto_bHo5A9LnwE0sk1pkwwDCEuaY/s400/r%25C3%25A9partitionfermeturer%25C3%25A9sidentiellemarrakechcarte.png" width="400" /></a></div>
<br />
<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
</div>
<br />
<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjjQyG3Ofmv4761RSvzVFt1T2XMO3oUViTc_7bUFp7TiNk-Ij50ktI-oPdPeY4G0uIsEW7zBDZvWyDFlOa3E3NBRUKgz7Mjuuptz7IurdRrIW3xNStPAaAU0-JZJubq5oXE-pCaN2Hzn_Y/s1600/r%25C3%25A9partitionfermeturequartiersgu%25C3%25A9lizethivernage.png" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="301" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjjQyG3Ofmv4761RSvzVFt1T2XMO3oUViTc_7bUFp7TiNk-Ij50ktI-oPdPeY4G0uIsEW7zBDZvWyDFlOa3E3NBRUKgz7Mjuuptz7IurdRrIW3xNStPAaAU0-JZJubq5oXE-pCaN2Hzn_Y/s400/r%25C3%25A9partitionfermeturequartiersgu%25C3%25A9lizethivernage.png" width="400" /></a></div>
</div>Amicale Sallanches Domancy Comblouxhttp://www.blogger.com/profile/08018039222851710148noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-6132836746090502609.post-14657693483356511852011-11-28T02:43:00.001-08:002011-11-28T02:52:00.043-08:00<div dir="ltr" style="text-align: left;" trbidi="on">
<b>Cartographies de la fermeture résidentielle sur Montpellier</b><br />
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<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhw3Q05EjjdPSvh6qEHdJlJcz5robfV7gzXIii1cqRfSEenJPEdeeCHKuaM05-2JRmORk4o0HZUn-GlaVnAn9-qkE9b8dWvzjgVrpeu9nrkKcegrG7clGApcHggjl64KE07wTyuhUD_aZs/s1600/cartofermeturer%25C3%25A9sidentielle.png" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="345" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhw3Q05EjjdPSvh6qEHdJlJcz5robfV7gzXIii1cqRfSEenJPEdeeCHKuaM05-2JRmORk4o0HZUn-GlaVnAn9-qkE9b8dWvzjgVrpeu9nrkKcegrG7clGApcHggjl64KE07wTyuhUD_aZs/s400/cartofermeturer%25C3%25A9sidentielle.png" width="400" /></a></div>
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<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEj_3310XBhDte5hhSVDfYQg6CeprKP6bCUHPy2VVIpvcc8nVT3oa0Y4BsbxdGtS3GpBNhrXbysapjtMmZr4TLytHVaAYGsGvGUXXPqAu7k9SOmUd3H2C14N4caJ90F8xQawAEfHeFRe54s/s1600/cartofermeture2.png" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="224" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEj_3310XBhDte5hhSVDfYQg6CeprKP6bCUHPy2VVIpvcc8nVT3oa0Y4BsbxdGtS3GpBNhrXbysapjtMmZr4TLytHVaAYGsGvGUXXPqAu7k9SOmUd3H2C14N4caJ90F8xQawAEfHeFRe54s/s400/cartofermeture2.png" width="400" /></a></div>
</div>Amicale Sallanches Domancy Comblouxhttp://www.blogger.com/profile/08018039222851710148noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-6132836746090502609.post-18853790194057334012011-11-09T23:44:00.000-08:002011-11-09T23:44:12.341-08:00Bonne nouvelle !!! Good New !!!
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<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiiIH1THVfHkXrhbYl0QiuVham6XkIjjV_kLMkfZ3GIxLCkmohaLh1Yw0cqsu0Lh5iHaTac33Q4Dhi7y5rQ2yhHXYTCcLJy6d9b4GT4VNP9oYgJCTSatp2gJDxyOID_-oDQ9y9vZeJjMXY/s1600/COURSCASS.bmp" imageanchor="1" style="margin-left:1em; margin-right:1em"><img border="0" height="308" width="400" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiiIH1THVfHkXrhbYl0QiuVham6XkIjjV_kLMkfZ3GIxLCkmohaLh1Yw0cqsu0Lh5iHaTac33Q4Dhi7y5rQ2yhHXYTCcLJy6d9b4GT4VNP9oYgJCTSatp2gJDxyOID_-oDQ9y9vZeJjMXY/s400/COURSCASS.bmp" /></a></div>
Je donnerai prochainnement plusieurs cours sur les significations de la fermeture résidentielle dans le cadre de la formation du master TSADD de l'Université Montpellier III.
Il est plaisant que cette thématique soit abordée en profondeur à l'Université afin que dans le futur cet intérêt permette de renforcer le réseau de recherche sur la fermeture résidentielle fondé par le Professeur et Docteur Georg Glasze.Amicale Sallanches Domancy Comblouxhttp://www.blogger.com/profile/08018039222851710148noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-6132836746090502609.post-57482552889136856402011-10-17T06:01:00.001-07:002011-10-18T13:39:31.320-07:00Les chiffres de la délinquance et les incivilités qui influencent les promoteurs et les copropriétés dans le choix de la fermeture?- Le développement de la fermeture résidentielle dans les quartiers de Montpellier est-il directement en rapport avec le "facteur délinquance"? <br />- Il apparaît que pour les ensembles résidentiels les plus récents, ce ne soit pas un facteur décisif car dans ce premier cas, la fermeture du bâti rentre dans un processus plus global de standardisation des ensembles résidentiels dans les territoires de l'urbain.<br />->Un bâti, souvent, dans le cas de l'agglomération montpelliéraine, destiné à l'investissement locatif et où la fermeture apparaît comme un des facteurs clefs d'un investissement sécurisant (protection des biens privés comme collectifs favorisée, moins de dégradations sur le long terme...).<br />- Dans le cas des ensembles fermé plus anciens du parc de logements privé, les désagrément de type petite délinquance ont souvent joué dans la sécurisation des ensembles résidentiels mais pour certaines résidences seulement (touchées directement); processus qui s'est ensuite accéléré en touchant de manière "virale" les résidences environnantes (Processus préventif ou impulsion face au report des incivilités).<br />- Dans un troisième cas, le processus de fermeture résidentielle du parc de logements public a été impulsé par les politiques publiques, donc la ville, via le processus de résidentialisation principalement au sein des zones urbaines sensibles. Il a été largement question du facteur "délinquance" ou plus largement incivilités dans ce cas de figure mais pour quels résultats? Dans les faits, on observe bien souvent un report des incivilités ou encore un effet pervers au sein même de ces résidences qui consiste en l'isolement accru des populations et le renforcement des violences et trafics au sein même de ces ensembles (territorialisation accrue).<br /><br />Ci-dessous et en vis-à-vis les variations du taux de délinquance (doc Midi Libre issu des chiffres de la préfecture de l'Hérault) ainsi que la répartition des ensembles résidentiels fermés dans les quartiers concernés.<br /><br /><a onblur="try {parent.deselectBloggerImageGracefully();} catch(e) {}" href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhKzpvu84RiYQZZ82cwzZzcIjvbBQR6AfqkkqrclvdJBV46ilRrvUwNiOEK95WI4xgcknQ8R_7_vdaspZe52rQ23eDIretpLO5HTVijfXvGAjhyD0h2jzaVidtaUkjHEr2I5xXdGoD2E2I/s1600/irisaiguelongue.png"><img style="display:block; margin:0px auto 10px; text-align:center;cursor:pointer; cursor:hand;width: 400px; height: 359px;" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhKzpvu84RiYQZZ82cwzZzcIjvbBQR6AfqkkqrclvdJBV46ilRrvUwNiOEK95WI4xgcknQ8R_7_vdaspZe52rQ23eDIretpLO5HTVijfXvGAjhyD0h2jzaVidtaUkjHEr2I5xXdGoD2E2I/s400/irisaiguelongue.png" border="0" alt=""id="BLOGGER_PHOTO_ID_5664447086040515058" /></a><br /><a onblur="try {parent.deselectBloggerImageGracefully();} catch(e) {}" href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjKPFL8khR8YQ7u8HC17IclurT24hc535SLCY4WCSJlYxJtr0e87imzzTasaZAM6hWRmtyG_nNuYhVPUhbUfmr1HE6bex_oXJPWqpipTZ-2ZA7S-wDYW4GQUvqvM1KWH2mzoTdPrZrS1oA/s1600/iris+pr%25C3%25A8s+d%2527ar%25C3%25A8ne.png"><img style="display:block; margin:0px auto 10px; text-align:center;cursor:pointer; cursor:hand;width: 400px; height: 274px;" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjKPFL8khR8YQ7u8HC17IclurT24hc535SLCY4WCSJlYxJtr0e87imzzTasaZAM6hWRmtyG_nNuYhVPUhbUfmr1HE6bex_oXJPWqpipTZ-2ZA7S-wDYW4GQUvqvM1KWH2mzoTdPrZrS1oA/s400/iris+pr%25C3%25A8s+d%2527ar%25C3%25A8ne.png" border="0" alt=""id="BLOGGER_PHOTO_ID_5664446999227435842" /></a><br /><a onblur="try {parent.deselectBloggerImageGracefully();} catch(e) {}" href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiKgVOAJnLvHnXQX_wII3DRh5EtgiiySt8vhrLEely9BVo3Io7CcxhyphenhyphenZ6_q9S2FW3MXGSbl08yR4eghN5-OUzDwGXcvntlO-spd8Gww95wo2c4TvY0u3avNYz466k4HY8gBUQJBxOqaJC0/s1600/irisarceaux.png"><img style="display:block; margin:0px auto 10px; text-align:center;cursor:pointer; cursor:hand;width: 400px; height: 277px;" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiKgVOAJnLvHnXQX_wII3DRh5EtgiiySt8vhrLEely9BVo3Io7CcxhyphenhyphenZ6_q9S2FW3MXGSbl08yR4eghN5-OUzDwGXcvntlO-spd8Gww95wo2c4TvY0u3avNYz466k4HY8gBUQJBxOqaJC0/s400/irisarceaux.png" border="0" alt=""id="BLOGGER_PHOTO_ID_5664446861886405282" /></a><br /><a onblur="try {parent.deselectBloggerImageGracefully();} catch(e) {}" href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiGjIUqnD2VRP1bPP6y6-cl6J-7u7yTjXvEraDKyPDWAS_NMbDYiVTapGiyNN7qN4OO0SowMrNNWzVB1ml6cre4uO02q6TDOXN8c-FL8bJyU36DDfMvo4OZwqr_UMrDQo1yh3lDKi4CloY/s1600/iriscelleneuve.png"><img style="display:block; margin:0px auto 10px; text-align:center;cursor:pointer; cursor:hand;width: 400px; height: 328px;" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiGjIUqnD2VRP1bPP6y6-cl6J-7u7yTjXvEraDKyPDWAS_NMbDYiVTapGiyNN7qN4OO0SowMrNNWzVB1ml6cre4uO02q6TDOXN8c-FL8bJyU36DDfMvo4OZwqr_UMrDQo1yh3lDKi4CloY/s400/iriscelleneuve.png" border="0" alt=""id="BLOGGER_PHOTO_ID_5664446778821031986" /></a><br /><a onblur="try {parent.deselectBloggerImageGracefully();} catch(e) {}" href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEi5AAvmDyQ5vJK1rfcaUt9A9k3-ltOkAwEwD-JLGan2rZr5cqLjqkWsQee0xxpx8JCK8htiXmkH8tvMeYPq0s_427C2o6z2_Sn9SnxH5rSolQQRrfYpnXNMiuIeUN9jKhrwkfN6-JiRZ6A/s1600/iris+millenaire+gramont.png"><img style="display:block; margin:0px auto 10px; text-align:center;cursor:pointer; cursor:hand;width: 400px; height: 323px;" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEi5AAvmDyQ5vJK1rfcaUt9A9k3-ltOkAwEwD-JLGan2rZr5cqLjqkWsQee0xxpx8JCK8htiXmkH8tvMeYPq0s_427C2o6z2_Sn9SnxH5rSolQQRrfYpnXNMiuIeUN9jKhrwkfN6-JiRZ6A/s400/iris+millenaire+gramont.png" border="0" alt=""id="BLOGGER_PHOTO_ID_5664446653870148242" /></a><br /><a onblur="try {parent.deselectBloggerImageGracefully();} catch(e) {}" href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEizaHxjMxhqVLX5tceGHk-OZqGwo0BQSHDwcwXJfilmJtGUY0ipeSnPpbUDChMVpUBZ0mJPHzW608FtKg88JvXzvdHvM-zOkEJWjlX8TvEtVPxTX7OTPUY5HI7PLF_wcIcHX5Bn3k6Jd7I/s1600/paillade.png"><img style="display:block; margin:0px auto 10px; text-align:center;cursor:pointer; cursor:hand;width: 400px; height: 258px;" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEizaHxjMxhqVLX5tceGHk-OZqGwo0BQSHDwcwXJfilmJtGUY0ipeSnPpbUDChMVpUBZ0mJPHzW608FtKg88JvXzvdHvM-zOkEJWjlX8TvEtVPxTX7OTPUY5HI7PLF_wcIcHX5Bn3k6Jd7I/s400/paillade.png" border="0" alt=""id="BLOGGER_PHOTO_ID_5664446556612722722" /></a><br /><a onblur="try {parent.deselectBloggerImageGracefully();} catch(e) {}" href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEi1D2gObGZuPg9nHvymdUw05E2YIt5sOFu_TPNPM1WOyWvB-LIBoMQ2ABhGzAy3EyOXm3N-s7hHJxjiepFZME-rZbMx5JqRUCLAg2xEJLB6-cAMOrICk0fyDRREBMutoUmlcIwNf0Z_uco/s1600/PortMarianne.png"><img style="display:block; margin:0px auto 10px; text-align:center;cursor:pointer; cursor:hand;width: 400px; height: 189px;" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEi1D2gObGZuPg9nHvymdUw05E2YIt5sOFu_TPNPM1WOyWvB-LIBoMQ2ABhGzAy3EyOXm3N-s7hHJxjiepFZME-rZbMx5JqRUCLAg2xEJLB6-cAMOrICk0fyDRREBMutoUmlcIwNf0Z_uco/s400/PortMarianne.png" border="0" alt=""id="BLOGGER_PHOTO_ID_5664446437071856146" /></a><br /><a onblur="try {parent.deselectBloggerImageGracefully();} catch(e) {}" href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjmRphL3LLE2nJkjuNEgQuOskVidLmgCH2H-3__C59T2cDMXe44UJVVTywesSQ337qy-539BnSonavvRL-6y4k9UNtMnovkgbQNE5ZP-xFISTPwVrqvTXnZSwpRLC9nFbscjytdUtQ1qqk/s1600/iriscom%25C3%25A9die.png"><img style="display:block; margin:0px auto 10px; text-align:center;cursor:pointer; cursor:hand;width: 395px; height: 400px;" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjmRphL3LLE2nJkjuNEgQuOskVidLmgCH2H-3__C59T2cDMXe44UJVVTywesSQ337qy-539BnSonavvRL-6y4k9UNtMnovkgbQNE5ZP-xFISTPwVrqvTXnZSwpRLC9nFbscjytdUtQ1qqk/s400/iriscom%25C3%25A9die.png" border="0" alt=""id="BLOGGER_PHOTO_ID_5664446245857352914" /></a><br /><a onblur="try {parent.deselectBloggerImageGracefully();} catch(e) {}" href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgk7-l2dxazBZ668EsYi3kx-Hr1yx8qMDlAElrHtJaryQ5MkBtc8fTqGpzJCB0u30VDz1RDez-oEIHcMMsz0wBnM5szTaGDvA0TLn5HeLy5FnyibmZeBmBJl8AiTG4yEF4V3iXCRqaYDTo/s1600/chiffres+cambriolageparquartiers.png"><img style="display:block; margin:0px auto 10px; text-align:center;cursor:pointer; cursor:hand;width: 400px; height: 322px;" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgk7-l2dxazBZ668EsYi3kx-Hr1yx8qMDlAElrHtJaryQ5MkBtc8fTqGpzJCB0u30VDz1RDez-oEIHcMMsz0wBnM5szTaGDvA0TLn5HeLy5FnyibmZeBmBJl8AiTG4yEF4V3iXCRqaYDTo/s400/chiffres+cambriolageparquartiers.png" border="0" alt=""id="BLOGGER_PHOTO_ID_5664445914533820130" /></a>Amicale Sallanches Domancy Comblouxhttp://www.blogger.com/profile/08018039222851710148noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-6132836746090502609.post-48615811563010140332011-10-12T23:41:00.000-07:002011-10-12T23:53:07.278-07:00Toponymie de la fermeture résidentielleL'étude de la toponymie des ensembles résidentiels fermés est incontournable si l'on souhaite cerner les rapports entre le bâti, son environnement immédiat et le regard qu'ont porté sur lui ses concepteurs. Les noms des ensembles fermés et sécurisés font-ils sens? Se rapportent-ils à une simple localisation dans l'espace ou renvoient-ils à cette idée de fermeture d'un espace d'habiter?<br /><br />A l'aide du logiciel en ligne Wordle, l'ensemble des noms des ensembles résidentiels fermés montpelliérains a été analysé et seuls les termes récurrents sont ressortis adoptant une taille plus ou moins grande selon leur redondance. Le résultat de cette analyse vous est présenté ci-dessous:<br /><br /><a onblur="try {parent.deselectBloggerImageGracefully();} catch(e) {}" href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjzYXww0VaiY7YQ1OpMGHQUIrM6hsP09pCAyGy2wC-o6qvZffdBVotyp30ZAXrFoEEiFRP-LtsqKAUK38iOSv-yEJ4x-d_fJPTUMJr0MjedKYcJYd8_eVMKXx2aYRFjCICJcAy24Rnc810/s1600/nomr%25C3%25A9sidencewordle.png"><img style="display:block; margin:0px auto 10px; text-align:center;cursor:pointer; cursor:hand;width: 400px; height: 201px;" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjzYXww0VaiY7YQ1OpMGHQUIrM6hsP09pCAyGy2wC-o6qvZffdBVotyp30ZAXrFoEEiFRP-LtsqKAUK38iOSv-yEJ4x-d_fJPTUMJr0MjedKYcJYd8_eVMKXx2aYRFjCICJcAy24Rnc810/s400/nomr%25C3%25A9sidencewordle.png" border="0" alt=""id="BLOGGER_PHOTO_ID_5662866123871456034" /></a>Amicale Sallanches Domancy Comblouxhttp://www.blogger.com/profile/08018039222851710148noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-6132836746090502609.post-35732336910206316972011-10-12T23:28:00.000-07:002011-10-12T23:41:32.547-07:00Recensement complet des ensembles résidentiels férmés de la ville de Montpellier<a onblur="try {parent.deselectBloggerImageGracefully();} catch(e) {}" href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjdYF_xijcN79-kdZhpdFZ9RsExMWfrXbCHNU5G18RPEztvw3yN3Bm5J_w9KAn5a5hOVVstHrkY0Iu8CIDDmQ0gwB-zELMYpD_Jli5vh9j9EJp70699wosZXoLLcFgIxwjYMgKF2klVXSw/s1600/carter%25C3%25A9partitionensemblesr%25C3%25A9sidentielsferm%25C3%25A9s%252Bnoms.png"><img style="display:block; margin:0px auto 10px; text-align:center;cursor:pointer; cursor:hand;width: 400px; height: 228px;" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjdYF_xijcN79-kdZhpdFZ9RsExMWfrXbCHNU5G18RPEztvw3yN3Bm5J_w9KAn5a5hOVVstHrkY0Iu8CIDDmQ0gwB-zELMYpD_Jli5vh9j9EJp70699wosZXoLLcFgIxwjYMgKF2klVXSw/s400/carter%25C3%25A9partitionensemblesr%25C3%25A9sidentielsferm%25C3%25A9s%252Bnoms.png" border="0" alt=""id="BLOGGER_PHOTO_ID_5662861970222943122" /></a><br /><a onblur="try {parent.deselectBloggerImageGracefully();} catch(e) {}" href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhyBsBo0Fo8zs5qzAUGABGiKUx7B0GuOkBYpDTO7X84sQ-Be9kDOYm-7kh4EoXkYzoT4tSdX9bslf4UlnhmPHAmI9CnwG1UTN8T7ARVMZ3eef6afI85853KuuUOhZoQktKO9KENUBd70D0/s1600/repartitionfermeture.png"><img style="display:block; margin:0px auto 10px; text-align:center;cursor:pointer; cursor:hand;width: 400px; height: 217px;" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhyBsBo0Fo8zs5qzAUGABGiKUx7B0GuOkBYpDTO7X84sQ-Be9kDOYm-7kh4EoXkYzoT4tSdX9bslf4UlnhmPHAmI9CnwG1UTN8T7ARVMZ3eef6afI85853KuuUOhZoQktKO9KENUBd70D0/s400/repartitionfermeture.png" border="0" alt=""id="BLOGGER_PHOTO_ID_5662861676614895170" /></a><br /><br /><span style="font-weight:bold;">Conception: Cassandre DEWINTRE, Tous droits réservés, reproduction et utilisation sous réserve de l'autorisation de l'auteur</span>Amicale Sallanches Domancy Comblouxhttp://www.blogger.com/profile/08018039222851710148noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-6132836746090502609.post-46923386723341114522011-03-11T13:03:00.000-08:002011-03-11T14:03:28.223-08:00Salon de l'immobilier au Corum à Montpellier: Une date clé pour la recherche<a onblur="try {parent.deselectBloggerImageGracefully();} catch(e) {}" href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgMFLXfljlOELjjog9AZoFEeC58bLGz4t5C2CCYou5c3whFAFUbxV08Sd1YBEpu3ZTl-jjKoAoqhBGLCCHjiDF82zp4VKxwhr1IEa9xrMJR-xPzjDajCegFKKP4NpiRlycLxDte8Yad3Bs/s1600/salonimmo.png"><img style="display:block; margin:0px auto 10px; text-align:center;cursor:pointer; cursor:hand;width: 400px; height: 100px;" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgMFLXfljlOELjjog9AZoFEeC58bLGz4t5C2CCYou5c3whFAFUbxV08Sd1YBEpu3ZTl-jjKoAoqhBGLCCHjiDF82zp4VKxwhr1IEa9xrMJR-xPzjDajCegFKKP4NpiRlycLxDte8Yad3Bs/s400/salonimmo.png" border="0" alt=""id="BLOGGER_PHOTO_ID_5582932602484624466" /></a><br /><br />- Le salon de l'immobilier aura lieu au Corum à Montpellier du <span style="font-weight:bold;">18 au 20 mars</span> et réunira un grand nombre d'acteurs de la construction, de la promotion, de la presse et bien d'autres...<br /><br />- Ce salon remporte chaque année un grand succès auprès des populations de la Région et permet d'appréhender les grandes tendances en matière d'immobilier en Languedoc-Roussillon.<br /><br />- Il sera l'occasion pour moi d'engranger de nombreux entretiens auprès notamment des promoteurs qui bien souvent sont très difficilement accessibles et peu enclin à traiter du processus de fermeture résidentielle.<br /><br /><a onblur="try {parent.deselectBloggerImageGracefully();} catch(e) {}" href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjR69jFGiU52qnS8Or6SIVu-URw-atOyLopNbIMwVy_DkqNW2ciD2tP8d5SfDJSHBuMSXUE-2N6FTvM-yMsyTMV_l6vFSd58NS2CfAKulpCiRxGMm8xBPoO01POMAIEjH_eAwWzPLaBTWA/s1600/13.jpg"><img style="display:block; margin:0px auto 10px; text-align:center;cursor:pointer; cursor:hand;width: 400px; height: 199px;" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjR69jFGiU52qnS8Or6SIVu-URw-atOyLopNbIMwVy_DkqNW2ciD2tP8d5SfDJSHBuMSXUE-2N6FTvM-yMsyTMV_l6vFSd58NS2CfAKulpCiRxGMm8xBPoO01POMAIEjH_eAwWzPLaBTWA/s400/13.jpg" border="0" alt=""id="BLOGGER_PHOTO_ID_5582946291336883554" /></a><br /><a onblur="try {parent.deselectBloggerImageGracefully();} catch(e) {}" href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEh1EKVvVD9aQh6D3MrL4-D9tmpnB-uFbsqW8u3HUiDhBx6eXA_aRVwBaT_K-sIIaeLVDcAcPAmjcCLh0iUGwDyeXCN2SY5xWKB-5zokpe447j-hnF1p2zEOzgw8sRCiNuakijJLq25t6s4/s1600/1.jpg"><img style="display:block; margin:0px auto 10px; text-align:center;cursor:pointer; cursor:hand;width: 400px; height: 276px;" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEh1EKVvVD9aQh6D3MrL4-D9tmpnB-uFbsqW8u3HUiDhBx6eXA_aRVwBaT_K-sIIaeLVDcAcPAmjcCLh0iUGwDyeXCN2SY5xWKB-5zokpe447j-hnF1p2zEOzgw8sRCiNuakijJLq25t6s4/s400/1.jpg" border="0" alt=""id="BLOGGER_PHOTO_ID_5582946219708169874" /></a><br /><br />Site du salon: http://www.salonimmobiliermontpellier.com/salon_immo/index.html<br /><br />Cassandre DEWINTREAmicale Sallanches Domancy Comblouxhttp://www.blogger.com/profile/08018039222851710148noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-6132836746090502609.post-60898772302793876872011-03-11T11:51:00.000-08:002011-03-11T13:32:46.462-08:00Avant-goût de la répartition des ensembles résidentiels fermés par IRIS pour la ville de Montpellier...<span style="font-weight:bold;">Vue d'ensemble...</span><br /><br /><a onblur="try {parent.deselectBloggerImageGracefully();} catch(e) {}" href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgEKcOY9p63bRJatlWIpA_5mivov2YSEfltAWR3ksZHiDDvB3YbFE8zp15cjSSti-lCUG_bgnN_qp7HGlF1Gm6g2H62Lhl-gJSNUAzZVYrLB85leo05M5STBuK706dxWA4Ct3xpf5dr73A/s1600/reparttionr%25C3%25A9sid.png"><img style="display:block; margin:0px auto 10px; text-align:center;cursor:pointer; cursor:hand;width: 400px; height: 263px;" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgEKcOY9p63bRJatlWIpA_5mivov2YSEfltAWR3ksZHiDDvB3YbFE8zp15cjSSti-lCUG_bgnN_qp7HGlF1Gm6g2H62Lhl-gJSNUAzZVYrLB85leo05M5STBuK706dxWA4Ct3xpf5dr73A/s400/reparttionr%25C3%25A9sid.png" border="0" alt=""id="BLOGGER_PHOTO_ID_5582913348604644130" /></a><br /><br />- Ce graphique représente le nombre d'ensembles résidentiels fermés déjà recensés pour 12 des 30 IRIS (quartiers INSEE) montpelliérains.<br /><br />- Cet échantillon permet de constater la plus forte proportion de ces formes urbaines dans le nord de la ville et notamment au sein du quartier aisé d'Aiguelongue et du quartier plus populaire d'Alco.<br /><br />- Reste à compléter ce recensement au cours des prochains mois afin d'obtenir une vue d'ensemble de l'étendue du phénomène de fermeture résidentielle pour la ville de Montpellier.<br /><br /><a onblur="try {parent.deselectBloggerImageGracefully();} catch(e) {}" href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEghwUZac9T45pXVfydyoZ0uaDKjxVgKvyVPGRIarOYUAJTxBV5_x6qVOCcZPg82BD1TrFYeHk9JlL4GjBcQ2EfrhYeN_kHBbpHYdceySYfYGhaHrBxBNB27K_E79SZC3LE743w1TOuZFGA/s1600/quartierd%25C3%25A9j%25C3%25A0recens%25C3%25A9.png"><img style="display:block; margin:0px auto 10px; text-align:center;cursor:pointer; cursor:hand;width: 400px; height: 353px;" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEghwUZac9T45pXVfydyoZ0uaDKjxVgKvyVPGRIarOYUAJTxBV5_x6qVOCcZPg82BD1TrFYeHk9JlL4GjBcQ2EfrhYeN_kHBbpHYdceySYfYGhaHrBxBNB27K_E79SZC3LE743w1TOuZFGA/s400/quartierd%25C3%25A9j%25C3%25A0recens%25C3%25A9.png" border="0" alt=""id="BLOGGER_PHOTO_ID_5582921217551722898" /></a><br /><br /><span style="font-weight:bold;">Localisation de la fermeture résidentielle dans le quartier d’Aiguelongue</span><br /><br />- Nous avons recensé 30 ensembles résidentiels fermés dans le quartier d'Aiguelongue dont 5 lotissements fermés, 24 résidences sécurisées et un ensemble sécurisé de bâti mixte rassemblant habitat collectif et individuel. Ces ensembles résidentiels sécurisés se polarisent globalement dans le sud du quartier et plus précisément dans les IRIS Justice et Méric, à savoir les IRIS les plus densément peuplés et urbanisés.<br /><br /><a onblur="try {parent.deselectBloggerImageGracefully();} catch(e) {}" href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjMjofZtV33WsvoVL8-Oy_E0BrTpGMUDmR8DE-elMQLLXX_rW9-LuYRalkMgquugkuRQlodZgYlvAzVfdYon6lpEEalvWpcIqLjbcoP48qUJkAioNL-0B9L185Yj2NohoAiokX74R8ZvA8/s1600/aiguelongue.png"><img style="display:block; margin:0px auto 10px; text-align:center;cursor:pointer; cursor:hand;width: 400px; height: 269px;" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjMjofZtV33WsvoVL8-Oy_E0BrTpGMUDmR8DE-elMQLLXX_rW9-LuYRalkMgquugkuRQlodZgYlvAzVfdYon6lpEEalvWpcIqLjbcoP48qUJkAioNL-0B9L185Yj2NohoAiokX74R8ZvA8/s400/aiguelongue.png" border="0" alt=""id="BLOGGER_PHOTO_ID_5582937777943604546" /></a><br /><br />- Concernant leur répartition au sein des IRIS, nous observons que seulement quatre ensembles sécurisés se situent dans l'iris Aiguelongue et notamment à la frontière avec le quartier Hôpitaux-Facultés, donc à l'ouest sur l'avenue Val de Montferrand. Une seule résidence diverge dans sa localisation en se plaçant au sud et au centre de l'IRIS Aiguelongue, le long de la rue de la Roqueturière. Cet IRIS ne rassemble donc pas beaucoup d'ensembles sécurisés mais en détient tout de même, ce qui n'est pas le cas de l’IRIS Lunaret au nord du quartier. En effet, nous avons prospecté dans cet IRIS sans succès. Il y avait bien quelques immeubles et autres logements collectifs mais qui n'étaient pas enclos et sécurisés. C'est pour cela que cette zone a été grisée sur la carte de « localisation des ensembles résidentiels fermés dans le quartier d'Aiguelongue à Montpellier ».<br /><br />- Concernant ensuite les IRIS situés au sud du quartier, nous avons vu qu'ils comportaient environ 90 % des ensembles résidentiels sécurisés soit 26 sur 31. L’IRIS Méric regroupe à l'est du quartier le plus grand nombre d'ensembles, à savoir 14 résidences et lotissements clos confondus. Nous retrouvons ces ensembles principalement situés le long de l'avenue de la Justice de Castelnau, dans la rue Philippe Castan ainsi que dans la rue des Impressionnistes globalement. Deux ensembles se détachent néanmoins en se situant respectivement plus au sud dans la rue Ferran et au nord-ouest, à la frontière de l'IRIS Justice et de l'IRIS Aiguelongue, dans la rue de la Combe de Bonesta.<br /><br />Cassandre DEWINTREAmicale Sallanches Domancy Comblouxhttp://www.blogger.com/profile/08018039222851710148noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-6132836746090502609.post-30678575358859336362011-03-10T12:00:00.000-08:002011-03-10T12:01:48.104-08:00Localisation de la fermeture résidentielle et répartition socio-spatiale de la population à Marrakech<a onblur="try {parent.deselectBloggerImageGracefully();} catch(e) {}" href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgMLHgRChdWC6O3fS8dX-8OUDblObO_vwY5C5ItTkUWbVdDLIR5E86SA-9RtyMU24H-H_Sm0ET9999KZglmRh8edqqI1FeRxHf3xjR-DURyim5eH5rX8hP-6n7t_1oLc3Do88uF9fC9uXM/s1600/residferm%25C3%25A9esmara.png"><img style="display:block; margin:0px auto 10px; text-align:center;cursor:pointer; cursor:hand;width: 400px; height: 216px;" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgMLHgRChdWC6O3fS8dX-8OUDblObO_vwY5C5ItTkUWbVdDLIR5E86SA-9RtyMU24H-H_Sm0ET9999KZglmRh8edqqI1FeRxHf3xjR-DURyim5eH5rX8hP-6n7t_1oLc3Do88uF9fC9uXM/s400/residferm%25C3%25A9esmara.png" border="0" alt=""id="BLOGGER_PHOTO_ID_5582543718689599058" /></a>Amicale Sallanches Domancy Comblouxhttp://www.blogger.com/profile/08018039222851710148noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-6132836746090502609.post-46536545831527282552011-03-10T10:50:00.000-08:002011-03-10T11:45:42.867-08:00Répartition socio-spatiale de la population dans la ville de Marrakech<a onblur="try {parent.deselectBloggerImageGracefully();} catch(e) {}" href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgwP5M7rbFktzfTNAOsf0VAh-fyXFFXx9ddpl7-pSmjg39ZVQW_8J9Q2fE9TtcOhE_09Qu7-2T6_kSANt90kGVwfnNpaZPv2x79MR4jpChTjV3A4g-cUhRWna7SVBAXPJg-yVp2PcOPDas/s1600/popmarra.png"><img style="display:block; margin:0px auto 10px; text-align:center;cursor:pointer; cursor:hand;width: 400px; height: 244px;" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgwP5M7rbFktzfTNAOsf0VAh-fyXFFXx9ddpl7-pSmjg39ZVQW_8J9Q2fE9TtcOhE_09Qu7-2T6_kSANt90kGVwfnNpaZPv2x79MR4jpChTjV3A4g-cUhRWna7SVBAXPJg-yVp2PcOPDas/s400/popmarra.png" border="0" alt=""id="BLOGGER_PHOTO_ID_5582539651228956434" /></a>Amicale Sallanches Domancy Comblouxhttp://www.blogger.com/profile/08018039222851710148noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-6132836746090502609.post-61026962986220956342011-03-05T07:22:00.000-08:002011-03-05T09:42:25.985-08:00Le salon de l'immobilier marocain en Europe: Bilan de la visite- Globalement, ma visite au sein du salon de l'immobilier marocain en Europe a été assez décevante. <br /><br />- En effet, cette année du moins, très peu de stands, une quinzaine tout au plus étaient présents et ne regroupaient que deux acteurs de la promotion immobilière: Le Samanah Groupe Alain Crenn, ainsi que le Groupe Premium.<br /><br />- Néanmoins, malgré cette absence d'un bon nombre de promoteurs, due notamment à ce contexte d'instabilité dans les pays arabes rendant plus frileux une partie des investisseurs, l'accueil fût chaleureux et les entretiens précieux.<br /><br />- D'un côté le <span style="font-weight:bold;">Groupe Premium</span> avec son ensemble résidentiel phare "Premium Ressort & Spa", présente un produit immobilier qui se veut accessible à une population diversifiée et pas forcement très aisée allant de l'européen (retraité visant la résidence principale, couple à la recherche d'une résidence secondaire) au cadre marocain principalement résident de Rabat ou Cas et désireux d'investir dans une résidence secondaire.<br /><br /><a onblur="try {parent.deselectBloggerImageGracefully();} catch(e) {}" href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhGsk1N9O1pQ62vsoPfyVsqMqp3wfovXCmsOvHXjbsc31hMNI6bi1kCGLq8halKUemgkgQrkGTdsS4YTINFPTw9cZCsw-n_M-q46w6Uu1x_z0QTvkyuS89qP4U1NSM5iKwaqbMn1BeaiB4/s1600/premiumressort%2526spa1.JPG"><img style="display:block; margin:0px auto 10px; text-align:center;cursor:pointer; cursor:hand;width: 400px; height: 230px;" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhGsk1N9O1pQ62vsoPfyVsqMqp3wfovXCmsOvHXjbsc31hMNI6bi1kCGLq8halKUemgkgQrkGTdsS4YTINFPTw9cZCsw-n_M-q46w6Uu1x_z0QTvkyuS89qP4U1NSM5iKwaqbMn1BeaiB4/s400/premiumressort%2526spa1.JPG" border="0" alt=""id="BLOGGER_PHOTO_ID_5580628359612562626" /></a><br /><span style="font-style:italic;">(Le Premium Ressort & Spa)</span><br /><br />- Avec un prix de départ d'un peu plus de 100 000 euros environ pour un F2, le programme Premium Resort & Spa affiche des prix raisonnables surtout lorsque l'on considère la forte inflation des prix de l'immobilier marrakchis et les services offerts par la résidence. Le journal "le Post" décrit ce programme en ces termes:<br /><br />"Doté d'un investissement de plus d'un milliards de dirham, Premium Resort & Spa offre des duplex et des appartements dans un environnement sécurisé et intime. Le Resort est équipé de 5 grandes piscines, un spa avec piscine chauffée, un terrain omnisports et un centre commercial avec banque, pharmacie et restaurant." (http://www.lepost.fr/portfolio/2010/12/06/2330571_premium-resort-spa-marrakech-prend-forme_1_0_0_0_7.html#images)<br /><br /><a onblur="try {parent.deselectBloggerImageGracefully();} catch(e) {}" href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjG0R84-TaggjQFshP8PavX3Y6S4YRHF82j36JEG8qcSl0tHylWFebDAIeiSIJXxACgtxZ3JkiQT644PhJGpBxYhnHnHRFuiB8RNwEW2kPRkMQZwixKCL45bCK5EVL-OSzKOghvrVp1KWs/s1600/premiumressort%2526spa2.JPG"><img style="display:block; margin:0px auto 10px; text-align:center;cursor:pointer; cursor:hand;width: 400px; height: 268px;" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjG0R84-TaggjQFshP8PavX3Y6S4YRHF82j36JEG8qcSl0tHylWFebDAIeiSIJXxACgtxZ3JkiQT644PhJGpBxYhnHnHRFuiB8RNwEW2kPRkMQZwixKCL45bCK5EVL-OSzKOghvrVp1KWs/s400/premiumressort%2526spa2.JPG" border="0" alt=""id="BLOGGER_PHOTO_ID_5580628600953305858" /></a><br /><span style="font-style:italic;">(Le Premium Ressort & Spa)</span><br /><br />- Cet ensemble résidentiel, s'inscrit dans la catégorie des nouvelles formes urbaines apparues sur le territoire marrakchi depuis le début des années 2000. Entièrement sécurisé et prenant la forme d'un cloître, l'ensemble regroupe la plupart des équipement et services en son centre (piscines,spas, commerces....). L'entrée principale dédoublée comprend une voie pour les entrées et une pour les sorties qui est équipée de barrières automatiques, ainsi que de postes de surveillance sur ces deux côtés afin d'abriter les gardiens de la résidence. <br /><br /><a onblur="try {parent.deselectBloggerImageGracefully();} catch(e) {}" href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgYS5gR1Yu9JSwvqZFctRpz-wNWh_tw_vXyoXnyT6lzxTcE6HV-vXyZkbl6tYFXimwIBQrw69H53ZnXhz4dVWz6NCC59g7nMPjqDClPrglSkh4fc8S1jib1Xu88J24iQVB9vDmMZygluPU/s1600/premiumressort%2526spa3.JPG"><img style="display:block; margin:0px auto 10px; text-align:center;cursor:pointer; cursor:hand;width: 400px; height: 238px;" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgYS5gR1Yu9JSwvqZFctRpz-wNWh_tw_vXyoXnyT6lzxTcE6HV-vXyZkbl6tYFXimwIBQrw69H53ZnXhz4dVWz6NCC59g7nMPjqDClPrglSkh4fc8S1jib1Xu88J24iQVB9vDmMZygluPU/s400/premiumressort%2526spa3.JPG" border="0" alt=""id="BLOGGER_PHOTO_ID_5580628812428650594" /></a><br /><span style="font-style:italic;">(Le Premium Ressort & Spa)</span><br /><br />- Afin de se démarqué de la multitude des programmes immobiliers émergeant au Maroc et tout particulièrement à Marrakech, le Groupe Premium a pris le parti de se lancer dans une construction plus responsable en apportant des garanties telles que le respect d'une qualité certifiée (ISO 9001 V2008), la garantie décennale ou encore la gestion de syndic, ce qui rafraîchit l'image de la promotion immobilière au Maroc qui fût longtemps ternie par le manque de sérieux de certains acteurs de la construction.<br /><br /><a onblur="try {parent.deselectBloggerImageGracefully();} catch(e) {}" href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhAhJAzXWycsoAhumXF-JVjMPoSaOK0Mi9_-C89QRZGTS3BeNflAcjpUQsOaKQQgiAn6ODAGe9-hlzHIIILIA-ka2wk0cpo2ksH6pz4KKceIj76wtHs04zS9vC7ya4FPFWW8JG8X0zBsME/s1600/premiumressort%2526spa5.JPG"><img style="display:block; margin:0px auto 10px; text-align:center;cursor:pointer; cursor:hand;width: 400px; height: 266px;" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhAhJAzXWycsoAhumXF-JVjMPoSaOK0Mi9_-C89QRZGTS3BeNflAcjpUQsOaKQQgiAn6ODAGe9-hlzHIIILIA-ka2wk0cpo2ksH6pz4KKceIj76wtHs04zS9vC7ya4FPFWW8JG8X0zBsME/s400/premiumressort%2526spa5.JPG" border="0" alt=""id="BLOGGER_PHOTO_ID_5580628988744523202" /></a><br /><span style="font-style:italic;">(Le Premium Ressort & Spa)</span><br /><br />- D'autre part, le <span style="font-weight:bold;">Samanah Groupe Alain Crenn</span> était plus orienté sur les ensembles résidentiels inscrits dans la catégorie "Luxe" et très hauts standing, réservés cette fois aux catégories de populations les plus aisées; riches européens, mais aussi cadres marocains et personnalités du monde arabe, désireux d'établir en ces lieux leur résidence secondaire. <br /><br />- L'atout principal de ces ensembles résidentiels fermés? La présence systématique d'un parcours de golf serpentant au centre des villas individuelles. Un paradis pour les golfeurs aisés à quelques mètres de leur parcours, mais aussi une multitude de services localisés à l'intérieur de ces vastes domaines résidentiels.<br /><br /><a onblur="try {parent.deselectBloggerImageGracefully();} catch(e) {}" href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgATGggB4MQOEe_BBc9XCI-s6JxKDawIa5ZiKAABBWT-oCRIJrAlDBOd9A3XcyP2kL09cn4QuEV8DorOqjbgc_udJ3GywWMsqTp57bxwp4F-eLcQdieUX-IQX7_Fb0EynQmZtls2yT_D_k/s1600/dscf1605bhautedef.jpg"><img style="display:block; margin:0px auto 10px; text-align:center;cursor:pointer; cursor:hand;width: 400px; height: 255px;" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgATGggB4MQOEe_BBc9XCI-s6JxKDawIa5ZiKAABBWT-oCRIJrAlDBOd9A3XcyP2kL09cn4QuEV8DorOqjbgc_udJ3GywWMsqTp57bxwp4F-eLcQdieUX-IQX7_Fb0EynQmZtls2yT_D_k/s400/dscf1605bhautedef.jpg" border="0" alt=""id="BLOGGER_PHOTO_ID_5580643281020200850" /></a><br /><span style="font-style:italic;">(Le Samanah Country Club)</span><br /><br />- Pour exemple, le groupe commercialise un vaste domaine de 300 ha au sud ouest de Marrakech, sur la route d'Amizmiz: le "Samanah Country Club Marrakech". Celui-ci est composé d'un golf de 100 ha, son activité phare, mais aussi de 18 commerces et restaurants, d'un spa, de 6 courts de tennis ou encore de 4 terrains de pétanque; équipements et services qui procure à ce domaine résidentiel une quasi-autosuffisance pour ses résidents de ce fait très coupés de la ville de Marrakech et de sa population. <br /><br /><a onblur="try {parent.deselectBloggerImageGracefully();} catch(e) {}" href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhY0Un4AKDZ_NcTrp30SAdI8hJdGfAND5dOG9uhU4cbmPiGg5HKeXvMenp7q8eOhIJGJhSXLVg3ai-9ood-FfEjnE_gVVsPFV2xWrGc2eVWj0xyK5BoXBKq1Zxe33AoIX6KL65B1cecRvM/s1600/masse-agencimo-final.jpg"><img style="display:block; margin:0px auto 10px; text-align:center;cursor:pointer; cursor:hand;width: 400px; height: 270px;" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhY0Un4AKDZ_NcTrp30SAdI8hJdGfAND5dOG9uhU4cbmPiGg5HKeXvMenp7q8eOhIJGJhSXLVg3ai-9ood-FfEjnE_gVVsPFV2xWrGc2eVWj0xyK5BoXBKq1Zxe33AoIX6KL65B1cecRvM/s400/masse-agencimo-final.jpg" border="0" alt=""id="BLOGGER_PHOTO_ID_5580643485033801618" /></a><br /><span style="font-style:italic;">(Le Samanah Country Club)</span><br /><br />- Cet entre-soi qui suit le modèle des gated communauty américaines qui s'établissent sur de très grandes surfaces et notamment autour d'une activité commune, ici le golf principalement, n'est pas nouveau à Marrakech et s'inscrit dans la lignée de domaine comme le "Golf Club Amelkis" ou encore le "Palmeraie Golf Palace". De plus en plus nombreux dans la ville rouge, il regroupe dans un espace très sécurisé des population aisées et propriétaires, voire locataires (fait plus récent) de villas individuelles, chacune dotée de piscine et d'un jardin privatif avec vue sur le golf.<br /><br /><a onblur="try {parent.deselectBloggerImageGracefully();} catch(e) {}" href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiqpL9ko9zTBoyvv-Vzd822w7W8_-u_PhHDicnm-FxHNjt4D6O7O6Wl_tG_NQbVUCeO7UGE3gpJ_Cl0S2Hcjgl4Pz6RvV-hOeJwIcC8oiLKsq_ozr1j0BpBWdoBF_0xjdTrakznoD1PPWI/s1600/golf_amelkis_marrakech.jpg"><img style="display:block; margin:0px auto 10px; text-align:center;cursor:pointer; cursor:hand;width: 391px; height: 271px;" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiqpL9ko9zTBoyvv-Vzd822w7W8_-u_PhHDicnm-FxHNjt4D6O7O6Wl_tG_NQbVUCeO7UGE3gpJ_Cl0S2Hcjgl4Pz6RvV-hOeJwIcC8oiLKsq_ozr1j0BpBWdoBF_0xjdTrakznoD1PPWI/s400/golf_amelkis_marrakech.jpg" border="0" alt=""id="BLOGGER_PHOTO_ID_5580644098781300002" /></a><br /><span style="font-style:italic;">(Le Golf Club Amelkis)</span><br /><br />- Tout comme le groupe Premium, le Groupe Samanah revendique des garanties dans la construction de ces ensembles résidentiel afin notamment de se démarquer de ces concurrents directs mais également de rassurer les investisseurs sur le produit immobilier. Ainsi, Samanah Country Club a t-il reçu en 2009 l'Award du "Best International Golf Development" décerné par le groupe International Property.<br /><br /><a onblur="try {parent.deselectBloggerImageGracefully();} catch(e) {}" href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjQeGPikum9Kq0gFz9TDwZhR4n3Hfle-4MZGGa2HRWs5qZhCUKgz5dRKKaVzqXHe4GJdrsm5dvUSn7E6-6RQaDhpQ1QOnaSJaXq6og5371b3yFp4gkmESbHCWQQ61AZ_p6idxyahaojlXY/s1600/palmeraiegolf2.jpg"><img style="display:block; margin:0px auto 10px; text-align:center;cursor:pointer; cursor:hand;width: 400px; height: 270px;" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjQeGPikum9Kq0gFz9TDwZhR4n3Hfle-4MZGGa2HRWs5qZhCUKgz5dRKKaVzqXHe4GJdrsm5dvUSn7E6-6RQaDhpQ1QOnaSJaXq6og5371b3yFp4gkmESbHCWQQ61AZ_p6idxyahaojlXY/s400/palmeraiegolf2.jpg" border="0" alt=""id="BLOGGER_PHOTO_ID_5580644466791257810" /></a><br /><span style="font-style:italic;">(Le Palmeraie Golf Palace)</span><br /><br />- L'émergence de ces domaines XXL, fermés et créateurs d'entre soi comble certes une clientèle aisée à la recherche d'un cadre de vie dépaysant et de loisir très "haut de gamme", mais questionne sur le devenir d'une ville qui subit depuis plus de 20 ans une inflation préoccupante des prix du foncier. Dans ce contexte quel avenir pour les populations marrakchies? Exilées aux portes de la ville, dans des quartiers nouveaux crées par le Royaume mais isolés des principaux services et lieux de travail, celles-ci ressentent de manière croissante ce processus ségrégatif.<br /><br /><a onblur="try {parent.deselectBloggerImageGracefully();} catch(e) {}" href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgKUMpplZEzkvtI3k5yKcdgLzkmYKvXXpPm34rG6QC0eUjDmJrkh6FJdIGQEOX1CXKXzlhvjwptZo_C8lMAZfS4XdBStg6R3_euHC3Jlkbq1SPA2knJ70Q-mih43FZRljE-MN8e7JJADlk/s1600/palmeraiegolf.jpg"><img style="display:block; margin:0px auto 10px; text-align:center;cursor:pointer; cursor:hand;width: 266px; height: 300px;" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgKUMpplZEzkvtI3k5yKcdgLzkmYKvXXpPm34rG6QC0eUjDmJrkh6FJdIGQEOX1CXKXzlhvjwptZo_C8lMAZfS4XdBStg6R3_euHC3Jlkbq1SPA2knJ70Q-mih43FZRljE-MN8e7JJADlk/s400/palmeraiegolf.jpg" border="0" alt=""id="BLOGGER_PHOTO_ID_5580644308358590306" /></a><br /><span style="font-style:italic;">(Le Palmeraie Golf Palace)</span><br /><br />- Il reste à espérer que ces formes urbaines "extrêmes" de l'entre soi à Marrakech ne restent que des exceptions et que les prix du foncier puissent dans les prochaines années se stabiliser pour que la ville rouge reste symbole de mixité et de coexistence de populations diversifiées.<br /><br />Cassandre DEWINTREAmicale Sallanches Domancy Comblouxhttp://www.blogger.com/profile/08018039222851710148noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-6132836746090502609.post-60121175197429159052011-03-03T23:46:00.000-08:002011-03-03T23:46:49.753-08:00Marrakech 2010 De L'Oasis à La Métropolis<iframe width="425" height="344" src="http://www.youtube.com/embed/bJPtJtjJyq8?fs=1" frameborder="0" allowFullScreen=""></iframe>Amicale Sallanches Domancy Comblouxhttp://www.blogger.com/profile/08018039222851710148noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-6132836746090502609.post-14605502345108828132011-03-02T23:18:00.000-08:002011-03-05T09:43:22.118-08:00Le Salon de l'Immobilier marocain en Europe s'invite à Montpellier du 4 au 6 mars 2011<a href="http://simmeurope.com/index.html"></a><a onblur="try {parent.deselectBloggerImageGracefully();} catch(e) {}" href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEg7f44LJbKwyQ76_4YjfFZneBGmfBubI8jFvaVopdjCxGNcOMIjBc5c6RvjpX_SuHn0258dVOIuaEIxFUTmIVhyxrMJCvRh5Sy_bBF_NauqdTAITFDAXuNAOYpr0grvGp9v9VG7KWAS_uw/s1600/salon+immo+marocain.png"><img style="display:block; margin:0px auto 10px; text-align:center;cursor:pointer; cursor:hand;width: 400px; height: 176px;" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEg7f44LJbKwyQ76_4YjfFZneBGmfBubI8jFvaVopdjCxGNcOMIjBc5c6RvjpX_SuHn0258dVOIuaEIxFUTmIVhyxrMJCvRh5Sy_bBF_NauqdTAITFDAXuNAOYpr0grvGp9v9VG7KWAS_uw/s400/salon+immo+marocain.png" border="0" alt="" id="BLOGGER_PHOTO_ID_5579749881392044146"></a><br /><br />- Du 4 au 6 mars prochains se déroulera au Parc Expo de Montpellier le Salon de l'Immobilier marocain en Europe. <br /><br />- Cet évènement représente une opportunité non négligeable de récolter de précieuses informations sur les tendances du marché de l'immobilier, les nouveaux produits phares en la matière et l'intérêt porté par les populations européennes. <br /><br />- L'objectif sera pour moi de multiplier les entretiens avec les acteurs marocains de la promotion immobilière mais aussi avec les populations françaises et plus largement européennes intéressées par l'acquisition d'un bien au Maroc afin d'appréhender leurs critères d'achat.<br /><br /><iframe allowfullscreen='allowfullscreen' webkitallowfullscreen='webkitallowfullscreen' mozallowfullscreen='mozallowfullscreen' width='320' height='266' src='https://www.blogger.com/video.g?token=AD6v5dw2KE0NezF4v1n18I_V51L3gT5EjW3YyGp8RPgBGtlqcxIvsXdzn3T_muglkERq5bsJHH7IAx7263nhvN8jUA' class='b-hbp-video b-uploaded' frameborder='0'></iframe><br /><br /><iframe allowfullscreen='allowfullscreen' webkitallowfullscreen='webkitallowfullscreen' mozallowfullscreen='mozallowfullscreen' width='320' height='266' src='https://www.blogger.com/video.g?token=AD6v5dw1Jn2fMvd4H4HiA_xX0AMmKc4QwoiRtRP2eMRc2Dofc6ig2Q3KfRBRgxThslIjbP82nkckj-4fgvAwuPnqoA' class='b-hbp-video b-uploaded' frameborder='0'></iframe><br /><br /><iframe allowfullscreen='allowfullscreen' webkitallowfullscreen='webkitallowfullscreen' mozallowfullscreen='mozallowfullscreen' width='320' height='266' src='https://www.blogger.com/video.g?token=AD6v5dyXVbG3wRwoPj16MHRqMaXrFbDOxJYHNUjWRGUB8Xjo9CKMxO95RwlNy3FrIdMWWNZpwHYmri6AA42gXYWCmw' class='b-hbp-video b-uploaded' frameborder='0'></iframe><br /><br />Cassandre DEWINTREAmicale Sallanches Domancy Comblouxhttp://www.blogger.com/profile/08018039222851710148noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-6132836746090502609.post-9101903209845264102010-07-29T23:45:00.000-07:002010-07-30T03:23:17.182-07:00Le développement des ensembles résidentiels sur la route de Casa : Talmoulkt en exemple.- Tout au long du séjour à Marrakech, nous avons enchaîné les heureux hasards qui ont, à tout moment, permis d'appréhender de nouvelles facettes de la ville rouge.<br /><br />- Or, arrivés sur place, nous avons appris que notre agence locative nous avait alloué un autre logement. Au départ déconcertés, nous avons plus tard été réjouit de cette « migration » qui nous a permis d'accéder aux luxueux appartements de la résidence "Marrakech Garden" située sur la route de Casablanca au Nord de la ville.<br /><br /><a onblur="try {parent.deselectBloggerImageGracefully();} catch(e) {}" href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhglSKGA-bGaZFy8e1MNn8fsrPT5qLVfaB3AngT_SzLpTxxnPSCEFGzBgeU_CsgXIJXD2PjQbgRVjdtHdQneFnDxaQm1u4F9oPyY0iEfvyWzI63lCSzaVOY_S9p_PHvV7EKJEXFZgMv7AU/s1600/situation.png"><img style="margin: 0px auto 10px; display: block; text-align: center; cursor: pointer; width: 320px; height: 238px;" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhglSKGA-bGaZFy8e1MNn8fsrPT5qLVfaB3AngT_SzLpTxxnPSCEFGzBgeU_CsgXIJXD2PjQbgRVjdtHdQneFnDxaQm1u4F9oPyY0iEfvyWzI63lCSzaVOY_S9p_PHvV7EKJEXFZgMv7AU/s320/situation.png" alt="" id="BLOGGER_PHOTO_ID_5499631025217561106" border="0"></a><br /><br />- J’avais déjà pour ma part recensé via Internet l’ensemble résidentiel Talmoulkt qui était classé dans la catégorie des logements de prestige marrakchis sans pour autant connaître sa situation géographique. En effet, l’annonce ci-dessous insistait plus sur les équipements derniers cris de ces habitats que sur la localisation : <br /><br />« Talmoulkt, une résidence de charme, située à proximité des centres commerciaux et à 20minutes de l’aéroport international de Marrakech. Ce complexe résidentiel est un subtil mélange d’authenticité marocaine, de raffinement architectural servi dans un paysage et des décors inimitables. Au cœur de luxuriants jardins les villas sont construites sur des terrains de 200 à 900m² avec piscine privative, installation ADSL haut débit, wifi, climatisation et chauffage solaire. »<br /> <br />Source : http://www.newriads.com/<br /><br />- Ainsi, en parcourant de long en large notre artère de domiciliation, la route de Casa, nous avons découvert le complexe Talmoulkt situé plus précisément au bout d’un chemin goudronné et pourtant très caillouteux entouré de zones encore en friche (mélange de gravas et de détritus) mises à la vente, vouées à la construction de résidences de luxe.<br /><br />- Au milieu de ce chaos ambiant (du moins provisoire) s’élève Talmoulkt, impressionnant et pimpant ensemble résidentiel à l’américaine entouré de hauts murs couleur sable comme le sont les revêtements muraux des villas présentes en son sein.<br /><br /><a onblur="try {parent.deselectBloggerImageGracefully();} catch(e) {}" href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEihtMhM8WLSKGwWF4jQoOIJoMIJQo_PcUnh-uS3Nyveq7vM1fhvsiLcrK7Y5BT98W-Li9YcSS0TEBZ10YUsGXcW1EM6-pZDnJse_fnUAll4KmS4AVB2wysxf3NFuzheVbTxsg2utT8DxAA/s1600/talmoulktplandemasse.png"><img style="margin: 0px auto 10px; display: block; text-align: center; cursor: pointer; width: 320px; height: 268px;" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEihtMhM8WLSKGwWF4jQoOIJoMIJQo_PcUnh-uS3Nyveq7vM1fhvsiLcrK7Y5BT98W-Li9YcSS0TEBZ10YUsGXcW1EM6-pZDnJse_fnUAll4KmS4AVB2wysxf3NFuzheVbTxsg2utT8DxAA/s320/talmoulktplandemasse.png" alt="" id="BLOGGER_PHOTO_ID_5499627775212242834" border="0"></a> <br /><br />- Toutes sont semblables à quelques variations de taille près. En effet on distingue ici les villas « Marjana », « Aida », « Mabrouka », « Malaika » et « Yakouta » allant de 195 à 894 m². Toutes construites sur trois étages avec au sommet un toit-terrasse, elles allient dans leur architecture (« Portes d’entrée en mamouni, bois massif en cèdre pour votre intérieur, tadlakt , et bejmat pour habiller les murs, zelliges pour vos salles de bain, fer forgé traditionnel pour une protection optimale, carrelage de haut standing et marbre ») style traditionnel marocain (de façon très sobre du moins, loin des intérieurs plus clinquants des riads de la Médina) et style beaucoup plus contemporain. Toutes équipées d’une piscine individuelle, elles rassemblent également les mêmes équipements et meubles et rien ne manque dans ces villas où le principe du clef-en-main a été respecté à la lettre.<br /><br /><a onblur="try {parent.deselectBloggerImageGracefully();} catch(e) {}" href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgxglK89DmTVbWAGFgbe6j71HXfRVQqj6vEc6Udt5TzlkzEY381fq1kME0yM2tGiRaV0DBb3gfAiyuxvo535uPZ29XDP7ejWX0kgb3vAOWRVK88S0w4WJiyeBtFJ9HGKBX-CMS380qmmdU/s1600/389_vente_photo.jpg"><img style="margin: 0px auto 10px; display: block; text-align: center; cursor: pointer; width: 320px; height: 249px;" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgxglK89DmTVbWAGFgbe6j71HXfRVQqj6vEc6Udt5TzlkzEY381fq1kME0yM2tGiRaV0DBb3gfAiyuxvo535uPZ29XDP7ejWX0kgb3vAOWRVK88S0w4WJiyeBtFJ9HGKBX-CMS380qmmdU/s320/389_vente_photo.jpg" alt="" id="BLOGGER_PHOTO_ID_5499630314502925314" border="0"></a><br /><br />- Nous pouvons aisément rattacher ce géotype à celui de la gated community américaine dans le sens où de nombreuses similitudes se retrouvent ici réunies. Hauts murs d’enceinte infranchissables, deux entrées munies de barrières et gardées par des gardiens 24/24h, routes intérieurs larges, goudronnées et munies de trottoirs, aménagements paysagers très soignés face aux villas et multiples espaces verts créant de petites placette libre de logement au sein de l’ensemble.<br /><br />- La taille ainsi que la population cible sont également des éléments caractéristiques à prendre en compte dans cette mise en perspective. Rassemblant 92 villas, Talmoulkt peut être considéré comme un ensemble d’assez grande taille dans le contexte marocain et plus modeste dans le contexte étatsunien. La population ciblée est sans surprise aisée et ces villas sont vouées essentiellement aux populations européennes mais aussi, il ne faut pas l’omettre, aux riches marocains, cadres de Casablanca ou de Rabat.<br /><br />- Cet ensemble se différencie très clairement de ceux appréhendés en France et auraient plutôt tendance à se calquer sur les grands standings américains des gated communities. Néanmoins, le manque d’infrastructures de loisirs au sein de l’ensemble (comme par exemple des résidences avec golf implantées dans la palmeraie de Marrakech), le nombre modéré d’entités d’habitation à l’instar des ensembles résidentiels américain, ainsi que le deuxième sas que constituent les murs et clôtures autour de chaque villa nous fait envisager l’émergence de nouveaux géotypes de la fermeture résidentielle adaptés au contexte marocain et plus précisément marrakchi. Enfin, la situation très « urbaine » de cet ensemble résidentiel fermé le distingue de ceux présents aux Etats-Unis, d’ordinaire plus excentrés des zones urbaines dans des espaces très peu densément bâtis. <br /><br />- La route de Casa nous a donc réservée de belles surprises via la découverte de Talmoulkt mais aussi de par la mixité du bâti qu’elle semble encore rassembler. La promiscuité dans un même espace de nombreux douars, hôtels, zones de friches, résidences sécurisées, lotissements fermés et commerces font l’originalité des zones périphériques de Marrakech…Mais pour combien de temps ? <br /><br />- En effet, il semblerait qu’avec la pression touristique et foncière les douars ainsi que les immeubles d’habitation communs disparaissent, progressivement remplacés par des complexes résidentiels collectifs ou individuels de luxe, destinés à une clientèle étrangère (européenne, nord-marocaine…Pas locale du moins…). <br /><br />- Une observation de l’évolution de ces franges urbaines périphériques dans le temps s’avère donc indispensable pour comprendre les orientations et ambitions de la Ville Rouge.<br /><br />Cassandre DEWINTRE<br /><br />Talmoulkt: KSG Group / Wafa Immobilier<br />Site Internet: http://talmoulkt.com/<br /><br /><object width="400" height="145"><param name="movie" value="http://www.youtube.com/v/XOZrN2PrXUQ&hl=fr_FR&fs=1"></param><param name="allowFullScreen" value="true"></param><param name="allowscriptaccess" value="always"></param><embed src="http://www.youtube.com/v/XOZrN2PrXUQ&hl=fr_FR&fs=1" type="application/x-shockwave-flash" allowscriptaccess="always" allowfullscreen="true" width="640" height="385"></embed></object>Amicale Sallanches Domancy Comblouxhttp://www.blogger.com/profile/08018039222851710148noreply@blogger.com0